Épopée au pays-d'Enhaut : roman historique
Résumé
A la suite de sa récente chronique autobiographique Saint-Jean-Les temps changent, Georges Turrian nous entrâine sur les traces de ses ancêtres, au coeur de l'histoire du Pays-d'Enhaut, tout au long du deuxième millénaire...
Lu par :
Amélie Ardiot
Genre littéraire:
Roman historique/biographique
Mots-clés:
Roman HISTORIQUE
/
Littérature suisse
Durée:
2h. 41min.
Édition:
Yens sur Morges, Ed. Cabédita, 2003
Numéro du livre:
14379
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782882954015
Collection(s):
Espace et horizons
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Lu par : Adam Voxia
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Genre littéraire : Roman historique/biographique
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Résumé:Septembre 267 apr. J.-C. À la suite d’un coup d’État sanglant, le jeune esclave Eutychès sauve son maître Alypios, aristocrate gréco-romain, d’une mort certaine. Ce sera le point de départ d’une incroyable cavale qui les mènera tous deux des alpages du Valais jusqu’au nord de l’Italie, dans un empire romain en pleine crise. Alypios est un roman historique où s’opposent et s’entremêlent amour et haine, esclavage et liberté, noblesse et veulerie, vie et mort ; des combats le plus souvent absurdes dans lesquels, pourtant, les deux héros parviennent quelquefois, comme par accident, à voler des étincelles de liberté à leur destin.
Lu par : Bernard Grandjean
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Résumé:La Révolution française ne se limite pas à la prise de la Bastille et à la fuite du roi. Dès 1782, une révolution genevoise inspirée par Rousseau avait chassé les aristocrates. Plus tard, les mercenaires suisses au service du roi se sont révoltés contre leurs commandants. Durement châtiés et envoyés au bagne de Brest, ils ont été libérés par l'Assemblée nationale française et sont devenus de véritables héros populaires. Ce sont eux qui dans toute la France révolutionnaire ont popularisé le port du bonnet rouge, celui-là même que Louis XVI avait enfilé pour tenter de calmer les sans-culottes. Après les Dix petites anarchistes où Daniel de Roulet s'intéressait déjà à cette Suisse d'en bas peu présente dans la littérature et l'histoire nationales, il raconte cette fois le destin des mercenaires confédérés au service des rois et princes de l'Europe. Ils ont été deux millions sur la période et un quart d'entre eux ne sont jamais revenus, parce qu'ils étaient blessés, déserteurs ou morts. L'histoire des aristocrates helvétiques qui les enrôlaient est bien documentée, mais celle de la piétaille ne l'est pas. Ceux qui se révoltaient parce qu'ils avaient été grugés étaient sévèrement punis, souvent au mépris de la justice. C'est de leurs souffrances et de leur héroïsme que parle ce texte. Le bonnet rouge est écrit en prose coupée, ce qui lui donne une forme parfaitement adaptée à la concision du propos.