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Les vies de Chevrolet

Résumé
« Che-vro-let ! Che-vro-let ! » : début XXe siècle, l’Amérique est ébahie devant les prouesses de Louis Chevrolet. Né en Suisse en 1878, le jeune homme a grandi en Bourgogne où il est devenu mécanicien sur vélo avant de rejoindre, près de Paris, de florissants ateliers automobiles. En 1900, il quitte la France pour le continent américain. Très vite, au volant des bolides du moment, Fiat ou Buick, il s’impose comme l’un des meilleurs pilotes de course. En parallèle, il dessine, conçoit et construit des moteurs. Ce n’est pas tout, avec Billy Durant, le fondateur de la General Motors, Louis crée la marque Chevrolet. Billy Durant la lui rachète pour une bouchée de pain et obtient le droit d’utiliser le nom de Chevrolet en exclusivité. Des millions de Chevrolet seront vendues sans que Louis ne touche un sou. Peu lui importe. L’essentiel est ailleurs. Pied au plancher, Michel Layaz raconte la vie romanesque de ce personnage flamboyant qui mêle loyauté et coups de colère, bonté et amour de la vitesse. À l’heure des voitures électriques, voici les débuts de l’histoire de l’automobile, avec ses ratés, ses dangers et ses conquêtes.
Durée: 3h. 3min.
Édition: Genève, Ed. Zoé, 2021
Numéro du livre: 70746
ISBN: 9782889279159

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Lu par:Michel Joyet
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Résumé: Cornelius G. a bien existé. Alors pourquoi proposer à la lecture la «vie imaginaire» d’une personne réelle maintenant décédée? De quelle imagination s’agit-il? La sienne? Non, il n’a laissé aucun écrit qui donnerait accès à sa vie intérieure et n’a donné qu’une seule interview à la fin de sa vie. Le livre que lui consacre Marie Perny n’est donc pas une biographie. L’affaire G. éclate en 2013 et va faire la Une des médias, notamment en Suisse allemande. À cette époque, l’autrice, qui travaille dans un musée, apprend que l’homme lègue un important ensemble d’œuvres d’art au Kunstmuseum de Berne. Elle découvre alors que la vie de cet homme a une indéniable dimension romanesque: Cornelius G. vit seul. On l’aperçoit chez lui, assis dans sa cuisine, le dos au mur, veillant sur une collection d’art exceptionnelle dont l’histoire est très compliquée. Il parle à ses tableaux. Que leur dit-il? Que lui disent-ils? Marie Perny, avec un bel art littéraire, nous entraîne dans ce dialogue avec des œuvres devenues malgré elles le reflet d’une bien sombre époque.
Durée:3h. 51min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74475
Résumé: Installée en Suisse depuis son plus jeune âge, elle ne s’était jamais préoccupée de son père biologique, un ingénieur britannique avec qui sa mère avait eu une liaison alors qu’elle-même travaillait sur le chantier du réacteur. Mais la dépêche marquant la fin d’un cycle, celui de l’utopie nucléaire, ébranle la narratrice au point qu’elle décide d’en savoir plus sur son géniteur. La voici à Holyhead, au pays de Galles, où il a vu le jour. La chance lui fait obtenir une adresse dans le Michigan. La lettre qu’elle écrit restant sans réponse, elle s’autorise à inventer une vie à cet homme qu’elle ne connaît pas et qui ne l’a jamais reconnue. Les quelques jalons dont elle dispose déterminent les étapes de sa recherche : elle se retrouve à visiter les centrales où a travaillé l’ingénieur mécanicien reconverti dans le nucléaire, sur l’île d’Anglesey d’abord, puis à Taïwan et enfin, après la parenthèse coréenne, à Monroe, au bord du lac Érié. Partie sur les traces d’un père, Rinny Gremaud va trouver des centrales atomiques. Sans se départir de la distance et de l’ironie qui font le sel de ce livre, mais aussi sa grande pudeur, elle va magnifiquement entrelacer enquête journalistique et quête intime, faisant de ce generator un personnage de papier qui s’enrichit du silence de son modèle
Durée:11h. 44min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:38599
Résumé: Jacques Vallotton nous dévoile la « road story » d’un journaliste qui roule de nuit entre Lausanne et le Val d’Anniviers. Pour lui, ce voyage n’est pas banal, car il quitte le micro et dit adieu à 40 ans de métier. Seul derrière son volant, il se sert des lieux et des paysages qu’il traverse pour éveiller sa mémoire. Cela lui permet de faire revivre quelques points forts de sa vie et de sa carrière. Durant son trajet, il sera poursuivi en particulier par le souvenir obsessionnel d’un ancien Président de la Confédération dont il soupçonne une part d’ombre, sans avoir eu la possibilité d’enquêter à ce sujet. Un acte de censure l’en a empêché, violant ainsi la liberté d’informer et, par là même, la liberté d’expression. Au fil des kilomètres resurgissent des événements de la grande et de la petite histoire de ce coin de pays qui se sont passés dans la deuxième moitié du XXe siècle, en particulier dans les cantons de Vaud et du Valais. C’est l’occasion de rappeler quelques affaires qui avaient fait les manchettes à l’époque, comme Epurex, Dorsaz, Savro. Des faits oubliés ou inédits du monde politique et économique refont surface tout au long d’un parcours qui joue le rôle de révélateur. Et le journaliste, enfin libéré de son dernier emploi, peut aborder les coulisses insoupçonnées des médias, la presse n’étant guère bavarde sur sa cuisine interne. Ce récit fait aussi ressortir l’ampleur de la transformation de la société et des techniques de communication en un demi-siècle. L’homme de presse, du plomb au numérique, a vécu ce prodigieux bond en avant. Sur le plan personnel, il a aussi évolué et cela donne une épaisseur humaine à ce trajet qui s’achève à l’aube au pied d’un mélèze séculaire. L’auteur de "Jusqu’au bout des apparences" a choisi la liberté de ton d’une autofiction pour son récit.
Durée:1h. 40min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:39281
Résumé: Sous forme de prolongement du Journal d'Amiel, écrivain suisse dont l'œuvre fait dix-sept mille pages, Roland Jaccard imagine les derniers moments de la vie d'Amiel. Chaque jour est le dernier pour Henri-Frédéric Amiel et c'est pourquoi il conjure son angoisse de la mort en tenant son journal. Roland Jaccard se substitue à lui alors qu'il agonise et se remémore ce que fut sa vie. Et, paradoxalement, il y trouve plus de raisons de se réjouir que de se lamenter. Cet inlassable séducteur tergiverse sans fin sur les avantages et les inconvénients du célibat. Travaux pratiques à l'appui. Ce mélancolique fait tourner les têtes sans pour autant y sacrifier la sienne. Rien ne saurait pourtant lui faire oublier sa tendre Cécile qui s'est suicidée à la fleur de l'âge...
Durée:4h. 17min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:76421
Résumé: Peut-on raconter que sur le chemin de l'école on a croisé des enfants décharnés, affamés, malades et qu'on s'y est habitué ? Qu'on a vécu dans une grande maison blanche avec des domestiques et giflé son amie noire ? Si oui, comment en parler ? En quête de son enfance vécue au Rwanda et à Madagascar - une période des plus heureuses de son existence -, Fanny Wobmann tente de se la remémorer entre passé ambigu et frustration des souvenirs. Doucement, une histoire se dessine, mais comment se l'approprier ? Des sapins du Jura neuchâtelois aux baobabs malgaches, s'élabore un récit poétique et politique qui décortique les rapports de pouvoirs et revisite l'enfance d'une manière atypique, tandis que le présent se vit comme une forêt en mouvement.