Contenu

La Méditerranée: lien plus que barrière, [donnée] le 14 avril 1986 à Lausanne

Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 1h. 25min.
Édition: Lausanne, Rencontres de la Rotonde, 1986
Numéro du livre: 17318
Collection(s): Les rencontres de la Rotonde
CDU: 390

Documents similaires

Lu par : Jehan Despert
Durée : 1h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17311
Résumé:
Lu par : Alain Decaux
Durée : 1h. 7min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17317
Résumé:Alain Decaux donne une conférence sur Alexandre Dumas et le rapport qu'il entretenait avec la région méditérannéenne...
Durée : 1h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17347
Résumé:
Lu par : Jean d' Ormesson
Durée : 1h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17348
Résumé:
Lu par : Jean Starobinski
Durée : 1h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17380
Résumé:Jean Starobinski, né à Genève (Suisse) le 17 novembre 1920, est un historien des idées et théoricien de la littérature. Il est en outre médecin, ayant étudié les lettres classiques et la médecine, à l'université de Genève (Suisse), où il a obtenu un doctorat ès lettres et un doctorat en médecine. (wikipedia)
Durée : 1h. 37min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17386
Résumé:
Lu par : Roger Francillon
Durée : 1h. 23min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17407
Résumé:
Durée : 8h. 6min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 37199
Résumé:Etude ethnolinguistique de l'histoire des langages secrets dans l'histoire. Jargons criminels ou langues sacrées, tous ces dialectes ont pour but de cacher le sens aux communs des mortels, jouant le sens et le son des mots l'un contre l'autre.
Lu par : Manon
Durée : 9h. 29min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 37613
Résumé:Il arrive que la presse n’ait pas bonne presse. Ce fut le cas, il y a cinquante ans, durant les événements de mai et juin 1968. On vit alors fleurir des affiches qui ne faisaient pas dans la nuance. L’une montrait une bouteille de poison accompagnée de cette mise en garde : « Presse. Ne pas avaler. » Une autre rendait un verdict sans appel : « Toute la presse est toxique. » D’autres encore, visant l’audiovisuel public, présentaient un policier casqué avec ce commentaire : « La police vous parle tous les soirs à 20 h. » Or, au même moment, on pouvait trouver dans les librairies un livre qui contredisait cette vision uniforme d’une presse ligotée et de journalistes asservis. Ce livre, c’est celui-ci, La Presse, le Pouvoir et l’Argent de Jean Schwœbel, sorti aux Éditions du Seuil précisément en ce printemps 1968. La nouvelle édition de cet ouvrage pionnier permet de mettre en évidence l’actualité d’une tradition, celle de rédactions se battant pour l’indépendance de leurs médias. « Résister, c’est créer. Créer, c’est résister » : cette formule a souvent inspiré la génération de la Résistance, celle de Jean Schwœbel et de ses collègues, dont les combats inauguraux nous aident, aujourd’hui, à inventer les réponses qui manquent. L’un des grands mérites de ce livre est de nous transmettre cette énergie vitale. Il fait plaisir, en nos temps saisis par les peurs et, hélas, travaillés par les haines, d’y lire un éloge intraitable du non-conformisme. Jean Schwœbel n’hésite pas à plaider pour une presse qui inquiète ses lecteurs, les dérange et les bouscule. Une presse qui préfère les politiser au sens le plus noble du terme, de souci du commun et de l’autre, plutôt que de les divertir et de les distraire.
Lu par : Camille Croset
Durée : 4h. 2min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 35154
Résumé:La Havane que vous découvrirez au fil de ces pages est celle que j'ai connue, celle de mes aventures, mais aussi celle de mes lectures, de mes écrivains de prédilection et de mes fantômes – des fantômes que j'ai choisis, ou de ceux qui m'ont choisie. C'est La Havane de ma mère, et en l'absence de ma mère, La Havane est devenue ma mère, une mère lointaine et à jamais regrettée. C'est La Havane bagarreuse et bambollera (tapageuse) de mon père. La Havane particulièrement fervente et joyeuse de ma grand-mère. La Havane de ma génération, née – année fatidique – en 1959. La Havane de la pénurie et du désarroi, la ville de la fête et celle des sévices. La ville des évasions, des rencontres et des retrouvailles provoquées. La ville bordée par la mer, tour à tour d'or ou d'argent, […]. La ville des infortunes, des persécutions, des crimes passés sous silence, des vols quotidiens que l'on commet pour survivre. La ville des grands amours et des orageuses déceptions, des passions, de la douleur, du souvenir, de l'oubli... J'ai recréé les mystères de cette ville, ceux qui m'ont séduite, en les mêlant à des êtres et des situations de fiction, nés de l'imaginaire populaire ou de ma propre invention.
Durée : 4h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 68053
Résumé:Treize histoires de fantômes, d’amour et d’amitié, d’admiration et de stupeur. Treize portraits subjectifs, mais vrais, rigoureux, qui ressuscitent des êtres que j’ai rencontrés et aimés, quelquefois malgré eux. Des peintres Marc Jurt, René Feurer, des éditeurs Simone Gallimard, Vladimir Dimitrijevic, Bernard de Fallois, des écrivains Michel Butor, Nicolas Bréhal, Jacques Chessex, Aragon, un philosophe, Jacques Derrida, des gens célèbres ou inconnus, Roger Dragonetti, André Dalmas, Juste Olivier, disparus dans les couloirs du temps. Ne pourchassons pas ces fantômes qui nous hantent, ne les trahissons pas et aimons-les : ce sont les seuls à savoir qui nous sommes.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 1h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 8747
Résumé:"Je n'ai rien à vous dire que vous ne sachiez déjà." Christian Bobin décide "simplement" de nous parler "à partir de ce don d'inexistence également réparti entre chacun de nous. (...) Cette inaliénable égalité devant le vide, l'horreur du vide, la souveraineté du vide". Dans le silence cristallin de ce vide, comprenez ces moments d'essence pure dont se brodent nos vies.