Contenu

Le fin mot de l'histoire: ils sont célèbres, qu'ont-ils dit avant de mourir ?

Résumé
T. Snégaroff recense les dernières paroles de trente personnalités célèbres, réelles ou fictives, de François Ferdinand à Hokusai en passant par Dark Vador et Isadora Duncan. Ces paroles ont en commun d'avoir été prononcées sans conscience d'une mort imminente. Elles sont replacées dans leur contexte avec des clés pour éclairer les enjeux de l'époque.

Pas disponible en CD.

Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 2h. 24min.
Édition: Paris, Tallandier :, 2015
Numéro du livre: 31280
ISBN: 9791021014039
CDU: 700

Documents similaires

Durée:10h. 44min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:72352
Résumé: Un livre de réflexions et d'introspection, un regard venu du passé, dans lequel on retrouve des chroniques écrites par Y. Dubois dans le journal Agri-Sept de 1984 à 1989 : des billets liés à l'actualité, aux problèmes agricoles, à la nature, aux animaux et aux activités de la terre, à la vie du village et de ses habitants.
Durée:4h. 36min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:72023
Résumé: Dans ce dialogue amical avec son éditrice Shira Hadad, Amos Oz se raconte. Celle-ci l'interroge sur son processus créatif, sur l'écriture, tout en l'amenant à évoquer sa vie, son passé. Comme assis à leur côté, nous découvrons certaines pensées intimes d'Amos Oz, le regard qu'il porte sur ses oeuvres, les thèmes qui l'ont occupé. Se dessine alors, à travers cet échange sincère, un autoportrait riche et tout en nuances d'un des plus grands écrivains de la litté rature israélienne.
Durée:15h.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:66841
Résumé: Longtemps, je me suis couché si tard, sans lire Proust... Mais, il m'est arrivé de coucher, ou de faire l'amour, avec des femmes singulières exerçant des métiers rares, de dormir seul, ou accompagné de mes doutes, donc j'écris dès le réveil. Alors il est là, l'homme qui vous écrit aujourd'hui, sexy, intelligent, comme aucun homme ne parvient à parler. Et sans doute comme toutes les femmes voudraient le lire. Surtout modeste. Je suis un mâle, je suis poli, je rêvais d'écrire à la suite de Simone de Beauvoir Le Troisième sexe. Sans doute n'en sommes nous pas si loin. Le Journal d'un mâle poli a été ma résurrection. Sans lui, je serai mort... À travers son journal quotidien, tenu durant plus d'une année, l'auteur croque notre société, hommes, femmes, Paris et ses fenêtres à la recherche du temps retrouvé, un Paname dandy et décalé, à travers différents portraits.
Durée:8h. 54min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:65558
Résumé: Quatrième de couverture: Mythologies Notre vie quotidienne se nourrit de mythes : le catch, le strip-tease, l'auto, la publicité, le tourisme... qui bientôt nous débordent. Isolés de l'actualité qui les fait naître, l'abus idéologique qu'ils recèlent apparaît soudain. Roland Barthes en rend compte ici avec le souci - formulé dans l'essai sur le mythe aujourd'hui qui clôt l'ouvrage - de réconcilier le réel et les hommes, la description et l'explication, l'objet et le savoir. «Nous voguons sans cesse entre l'objet et sa démystification, impuissants à rendre sa totalité : car si nous pénétrons l'objet, nous le libérons mais nous le détruisons ; et si nous lui laissons son poids, nous le respectons, mais nous le restituons encore mystifié. » Roland Barthes
Durée:7h. 29min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:65544
Résumé: Frédéric Beigbeder n'a cessé de tourner en dérision le monde auquel il appartient. Aujourd'hui, la frivolité devient une forme de militantisme. De la « Fashion Week » à la finale de la Coupe du monde de football, du Festival de Cannes à une attaque à main armée au bar du Ritz, de l'enterrement de Jean d'Ormesson à une visite à Charlie Hebdo : cela fait trente ans que Beigbeder est sur tous les fronts. Et sur tous les sujets, des plus frivoles aux plus graves, il garde le même ton, unique mélange de sarcasme et de tendresse, d'humour noir et de nuits blanches. Ces 99 essais le révèlent au sommet de son art. Dans ces textes, rien n'est vain car tout est lesté d'une discrète gravité : de toutes ses dérives, l'auteur a fait une philosophie. Pourquoi 99 ? Parce que ce chiffre lui a porté chance autrefois. On y voit le monde s'écrouler et au milieu, un type qui ne pense qu'à s'en amuser. Ce qui, quand on n'a pas d'autre choix, reste la plus profonde chose à faire.
Durée:4h. 52min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:65507
Résumé: Des histoires et des anecdotes sur la profession de journaliste avant l'arrivée d'Internet. L'auteur compare ce type de journalisme à celui d'aujourd'hui, avec ses avantages et ses inconvénients. En effet, s'il fallait se battre pour pouvoir dicter ses articles à son journal, il était néanmoins possible d'enquêter bien plus longtemps sur le terrain.
Lu par:Jean Frey
Durée:46min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:68606
Résumé: Dans l'univers de Proust, le modèle d'Albertine était un homme, et le personnage d'A la recherche du temps perdu a le goût des femmes comme des hommes. Par un savant effet de superposition, Albertine finit d'ailleurs par se confondre avec l'autre grand amour de Marcel dans le roman : Gilberte. Cela valait la peine de démêler les fils, et de faire un point à la fois drôle, décapant et subtil sur cette figure complexe de l'amour dévorant. Anne Carson s'y emploie, par brefs fragments, dans un livre intense qui constitue le bréviaire de tout proustien, et qui donne envie aux autres de lire la Recherche.
Durée:3h. 44min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:68035
Résumé: Jésus lui révèle successivement que le latin n'est qu'un argot et que la parole prend son origine chez l'ancêtre de l'homme, la grenouille. Ces révélations donneront lieu à une abondante production prophétique publiée à compte d'auteur dont La Grande Nouvelle, parue en 1900 sous la forme d'un prospectus tiré à dix mille exemplaires, se veut une synthèse. En 1913, un dernier livre, Les Origines humaines, vaut à Brisset de recevoir le titre de Prince des penseurs lors d'un canular monté par l'écrivain Jules Romains.
Durée:8h. 32min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:71973
Résumé: Dans la vie d’un lecteur, certains auteurs occupent une place à part : lectures inaugurales, compagnons de tous les jours, sources auxquelles on revient. La collection « Les auteurs de ma vie » invite de grands écrivains d’aujourd’hui à partager leur admiration pour un classique, dont la lecture a particulièrement compté pour eux. « Les yeux rivés sur L’Idiot, mon père m’en déconseillait sévèrement la lecture : ’’Destructeur, démoniaque et collant, trop c’est trop, tu n’aimeras pas du tout, laisse tomber !’’ Il rêvait de me voir quitter ’’l’intestin de l’enfer’’, désignant ainsi notre Bulgarie natale. Pour réaliser ce projet désespéré, je n’avais rien de mieux à faire que de développer mon goût inné pour la clarté et la liberté, en français, cela va sans dire, puisqu’il m’avait fait découvrir la langue de La Fontaine et de Voltaire. Évidemment, comme d’habitude, j’ai désobéi aux consignes paternelles et j’ai plongé dans Dostoïevski. Éblouie, débordée, engloutie. » Julia Kristeva
Durée:1h. 37min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:68300
Résumé: Alors que l’hygiène semble être une préoccupation constante de notre époque, et que nous nous détournons de ce qui s’abime et se corrompt, les déchets s’accumulent, la menace écologique est majeure et les maladies refont surface. En suivant le parcours de trois médecins – Parent-Duchâtelet confronté aux épidémies sur le navire Arthur vers les Antilles au XIXe siècle ; le docteur Adrien Proust (père de Marcel) dans sa lutte contre la peste et le choléra ; ou le mythe du docteur Destouches –, Gérard Macé dénonce un hygiénisme qui peut se transformer en eugénisme, ou en pureté imaginaire, quand la raison n’est plus à l’œuvre. Mais par la grâce de la littérature il nous rappelle aussi les métamorphoses sans lesquelles la vie ne pourrait triompher.
Durée:6h. 28min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:75449
Résumé: Il y a un « e » à génie mais combien de fois avez-vous entendu qu’une femme était géniale ? Première femme écrivain, voire premier écrivain tout court, musicienne, philosophe, éducatrice, activiste politique, Sappho (VIIe siècle avant J.-C.) fut, de son vivant, la première autrice à être reconnue comme géniale. Elle fut par la suite, de l’Antiquité à nos jours, sans cesse métamorphosée, quitte à être détournée, ce qui lui assure paradoxalement le privilège d’une nouvelle existence. Toujours trahie, toujours vivante, toujours géniale, telle est Sappho de Mytilène. Ce sont quelques-unes de ces vies, à la fois absolument réelles et fictives puisqu’elles ont été crues, neuf pièces d’un fascinant puzzle, que raconte ce livre. Sage aussi connue et révérée que Socrate chez les Grecs, Sappho devient tour à tour courtisane, sorcière païenne, activiste révolutionnaire, lesbienne sulfureuse et féministe iconique, miroir tranchant où se reflète l’image de la femme propre à chaque époque. À travers ces neuf vies de Sappho, emblème de toutes les femmes qui ont osé prendre la plume pour faire entendre leur voix, Laure de Chantal explore la question de la place que les sociétés ont réservé au génie féminin, à commencer par la nôtre.
Durée:3h. 4min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:74437
Résumé: "Dans un monde que l'on dit sans espoir, nous essayons de rester malicieux, et de continuer à faire des choses. De ne pas laisser la sidération gagner la partie. De déjouer la fatalité, oui, mais avant tout celle qu'on éprouve en soi-même." Dans un monde qui vacille, Blandine Rinkel interroge les diverses façons de traverser l'inquiétude pour vivre et créer. Elle esquisse ici un panorama de son époque et se fait l'écho d'une jeunesse qui préfère "essayer de faire exister des choses plutôt que de regretter ce qui aurait pu être". Tout tremble, mais le chaos contemporain nous invite à "voler de la joie", à cultiver une grande vitalité. Blandine Rinkel en fait preuve ici dans une conversation habitée par le goût de la littérature, de la pensée et de l'art d'être présent aux autres.