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Argent content: précis anecdotique de banque au long cours

Résumé
« Les banques sinistrées des années 2 000 auraient-elles perdu de vue le savant dosage qu'elles doivent en permanence exiger de leurs équipes entre le sens des affaires, le jugement des risques et les réflexes des opérateurs ? » Posté sur les marchés hautement concurrentiels de la finance internationale, un banquier revit son quotidien dans la bonne humeur et fait découvrir son métier... Puisant, au fil de sa carrière pour les remettre en scène, autant de dossiers chauds que de moments choisis, l'auteur homme de terrain livre un récit aussi vivant et détendu que révélateur sur les marchés financiers.

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Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 8h. 20min.
Édition: Aix-en-Provence, Éd. Persée, 2009
Numéro du livre: 24848
ISBN: 9782352164142
CDU: 300

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Résumé:"Tout mon être était d'Afrique du Nord, berceau historique des tribus berbères. C'est à quarante-cinq ans passés que j'ai pris la pleine conscience de cette lointaine appartenance. Il était temps d'amorcer un rapprochement, de partir à la découverte, de comprendre pour mieux aimer. Mais avant d'entreprendre le voyage, j'ai voulu récapituler ce que je savais. J'ai remonté le fil de mon existence pour repérer ce que je n'avais pas vu, pas saisi, de ce monde berbère qui m'avait fait signe sans que je lui réponde. La mémoire offre de beaux voyages, surtout quand on chevauche des mots." C'est effectivement à un "beau voyage" que nous convie Eric Fottorino, une quête infiniment personnelle qui devient passionnante découverte : une région, une histoire, des traditions millénaires, une langue, un peuple, des peuples car, comme s'en amuse l'historien Gabriel Camps, il est finalement plus facile de citer les pays d'où ne viennent pas les Berbères, tant leurs origines sont partout, ou presque, du Nil à l'Afrique noire, de l'Inde aux contrées nordiques... De Ouarzazate à Fès, en passant par les gorges du Thodra, la vallée du Dadès et les dunes de Merzouga, Eric Fottorino raconte les Berbères, juifs et arabes, femmes façonnant l'argile et hommes cultivant la terre, artisans et commerçants, opposants politiques et cinéastes engagés... Il prolonge aussi la quête des origines qui est la sienne et qu'il a racontée dans ses deux ouvrages L'homme qui m'aimait tout bas et Questions à mon père, en allant vers la Tunisie de son père adoptif et le Maroc de son père naturel.
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Résumé:Elle était belle, très belle. Intelligente, altière. On la disait " magique ". Elle fut aussi la femme du " diable "... Jenny von Westphalen et Karl Marx ont été mariés trente-huit ans. Etrange alliance que celle d'une aristocrate prussienne et d'un révolutionnaire impécunieux... Ils ont vécu une authentique histoire d'amour. D'une espèce terrible. " Celle qui enchaîne une femme à un homme de génie. " Ensemble, ils ont tout connu : la bohème, l'exaltation révolutionnaire, la faim, les persécutions policières, l'exil... Si Jenny fut aimée, elle fut aussi trahie et versa des larmes amères lorsqu'en 1851 leur domestique donna naissance à l'enfant de Karl...
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:Biographie de J. Kerouac, poète et romancier américain. " Pour moi ne comptent que ceux qui sont fous de quelque chose, fous de vivre, fous de parler, fous d'être sauvés, ceux qui veulent tout en même temps, ceux qui ne bâillent jamais, qui ne disent pas de banalités, mais brûlent, brûlent, brûlent comme un feu d'artifice. " A vingt ans, un soir de beuverie, Jack Kerouac (1922-1969) déclare à ses amis qu'il sera le " plus grand écrivain du monde ". Il a le projet balzacien et proustien d'une œuvre dont les séquences seront à ranger sous un label unique. Le sien se nommera " Légende de Duluoz " et scandera son parcours terrestre partagé entre solitude, désespoir, extase et jubilation, au travers de son Amérique tant aimée et d'une quête divine, car écrire était pour lui une prière adressée à Dieu.
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Résumé:"D'abord le passé..." Premiers mots adressés par le général de Gaulle à André Malraux. Première rencontre. Il est 11 heures du matin, le mercredi 18 juillet 1945, au ministère de la Guerre, rue Saint-Dominique, à Paris. Deux légendes se font face : le chef de la France libre et la figure mythique de l'écrivain engagé dans la lutte antifasciste de l'entre-deux-guerres. Sans s'embarrasser ni de circonlocutions ni de formules de politesse, le général de Gaulle s'attaque directement à l'essentiel : André Malraux et ses engagements passés. D'abord surpris ("Surprenante introduction"), celui-ci commence alors par expliquer la raison profonde de son engagement : "Je me suis engagé dans un combat pour, disons, la justice sociale. Peut-être, plus exactement : pour donner aux hommes leur chance." Puis, il enchaîne en expliquant ses combats dans les années 1930 contre le fascisme : "J'ai été président du Comité mondial antifasciste avec Romain Rolland, et je suis allé avec Gide porter à Hitler - qui ne nous a pas reçus - la protestation contre le procès de Dimitrov et des autres soi-disant incendiaires du Reichstag". Il poursuit en parlant de la guerre d'Espagne pendant laquelle il a combattu aux côtés du gouvernement républicain espagnol contre les militaires du général Franco, en prenant bien soin d'ailleurs de préciser qu'il ne s'est jamais compromis avec les communistes de Staline : "Puis il y a eu la guerre d'Espagne, et je suis allé me battre en Espagne. Pas dans les Brigades internationales, qui n'existaient pas encore, et auxquelles nous avons donné le temps d'exister : le parti communiste réfléchissait." Enfin, André Malraux termine par une profession de foi : "Puis il y a eu la guerre, la vraie. Enfin est arrivée la défaite, et comme beaucoup d'autres, j'ai épousé la France..." Le coup de foudre est réciproque entre les deux hommes. Débute alors une amitié indéfectible sur les hauteurs pendant plus de vingt-cinq années. Pourtant, cette première rencontre n'a pas été une évidence. Elle a même été tardive.