Contenu

Souvenirs, souvenirs....: 02: Tu le sais bien, le temps passe

Résumé
La journaliste politique raconte son parcours et sa vie personnelle depuis l'élection de J. Chirac en 1995 jusqu'à celle d'E. Macron en 2017. Elle décrit le caractère souvent complexe et opaque des personnalités politiques de la période tels que F. Mitterrand, P. Séguin, A. Juppé, L. Jospin. ou encore N. Sarkozy.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 14h. 52min.
Édition: Paris, Bouquins, 2021
Numéro du livre: 73013
ISBN: 9782382921043
CDU: 002

Documents similaires

Durée:13h. 8min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:68448
Résumé: " Je serai journaliste ", se promet très tôt la jeune provinciale de Périgueux. Pourquoi ce métier ? Par goût de l'écriture ? Pour partir en reportage et raconter le monde ? Non, pour être libre. Après une enfance heureuse au sein d'une famille aimante et protectrice, Catherine Nay accomplit peu après son arrivée à Paris un rêve qui fut celui de tous les journalistes débutants dans les années 1960 : entrer à L'Express, la meilleure école de presse à cette époque, sous la double houlette de Jean-Jacques Servan-Schreiber et, surtout, de Françoise Giroud. Elle y trouve une sorte de seconde famille. La figure de Françoise Giroud, dont elle nous révèle ici des aspects inattendus, domine ces années. Elle incarne pour elle un modèle à la fois d'observatrice des moeurs de son temps et de femme de caractère. Catherine Nay a obéi dans sa propre existence à ce même désir de liberté et d'indépendance. Elle évoque ici pour la première fois sa rencontre en 1968 avec l'un des grands acteurs de la Ve République, Albin Chalandon, resté cinquante ans plus tard le grand amour de sa vie. Devenue familière des coulisses du monde politique, elle nous offre dans le premier volume de ses mémoires, entre portraits à vif et anecdotes savoureuses, un récit original et perspicace, plein d'humour, d'intelligence et de vivacité, des règnes successifs de Pompidou, Giscard et Mitterrand, jusqu'à l'élection de Jacques Chirac, une chronique intime de cet univers de passions où s'affrontent des personnages hors normes dont elle recueille les confidences, décrypte les facettes les plus secrètes ou les mieux dissimulées. Sous le regard de cette enquêtrice aguerrie, le pouvoir apparaît tel qu'il est, avec ses rites, ses pratiques, ses grandes et petites rivalités : une comédie romanesque faite de sensibilités particulières, par-delà les idées et les convictions. Catherine Nay la raconte sans cacher ses coups de coeur ni ses partis pris. Librement !
Durée:5h. 2min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:1664
Résumé: Le métier de "reporter au long cours" n'est pas une sinécure... Ajoutons le fait d'être femme, une femme qui bourlingue "là où il se passe quelque chose" ça devient carrément l'aventure... Et quand c'est une femme seule...
Durée:7h. 42min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:16535
Résumé: La mémoire du coeur, un livre publié peu après son départ fracassant de l'Express, en 1997. "Stoppée net dans (son) aventure à la tête de l'Express", la journaliste vedette de la télévision y relate "trente ans de fièvre et de poursuites", rythmant son travail de mémoire de quelques portraits ironiques, de considérations sur le microcosme de la presse et de la politique et de ses rencontres avec l'Histoire. Le premier des récits de Christine Ockrent concerne bien sûr l'interview en 1979 de l'ancien premier ministre du Shah d'Iran, Amir Abbas Hoveyda, dans sa prison d'Erevan, peu avant son exécution...
Lu par:Manon
Durée:5h. 34min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:30055
Résumé: « A quoi bon la culture puisque le monde tient désormais en deux catégories : like et unlike ? C'est ainsi qu'on subit jusqu'à la nausée les dénonciations d'Edwy Plenel, les indignations d'Edgar Morin, la nostalgie totalitaire d'Alain Badiou ou les leçons de morale de Cécile Duflot, qui ont au moins un point commun avec Marine le Pen : ils sont « antisystèmes ». Le « système », c'est le mal. Ça ne veut rien dire, mais ça défoule. Le prêt-à-s'indigner médiatique, c'est la trop mince couche de glace sur laquelle titubent nos démocraties modernes. Il alerte sur la disparition des escargots, mais reste indifférent à la résurgence de l'antisémitisme. Qu'il s'agisse de la réintroduction des ours, d'un licenciement à la Poste ou du meurtre de Juifs perpétrés par un djihadiste dans une école, c'est le sociologisme qui, immanquablement, dit le bien et le mal, repris par les rédactions, les chroniqueurs, les humoristes, les parlementaires, sous les yeux de plus en plus indifférents des citoyens désespérés. Les autres points de vue sont insultés, ridiculisés, marginalisés, refoulés aux confins de l'hérésie. On n'a jamais vu dans l'Histoire qu'une telle censure morale des points de vue puisse durer bien longtemps. Face à ce mur derrière lequel agonise le débat démocratique, Malaise dans l'inculture propose la réhabilitation du marteau-piqueur. »
Durée:20h. 40min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:26653
Résumé: "- A toi, je peux le dire, c'était le jour le plus triste de ma vie." Cet aveu, lâché un soir de septembre 2007, devant une amie très chère, dans un moment d'abandon, Nicolas Sarkozy ne le confessera plus jamais à personne. Il disait vrai pourtant, mais qui aurait pu le croire ? Ce triste jour étant le 6 mai 2007. Celui même de son élection à la Présidence de la République. Le couronnement de son ambition depuis ses vingt ans. Ce n'est pas le poids des responsabilités à venir qui assaille et inquiète le nouveau Président : c'est le désastre de sa vie privée. Le vainqueur du 6 mai est un vaincu de l'amour. C'est à partir de cette douleur originelle que Catherine Nay recompose toute l'histoire du quinquennat sarkozyste : de ses audaces à ses échecs, du blin-bling à la crise financière, de l'homme-orchestre des sommets européens au chef de guerre. Anecdotes, coulisses, secrets d'Etat alternent ici avec l'analyse — parfois empathique, parfois sévère — de ce que furent les grandes ambitions d'un règne perturbé par le désordre du monde. Et si c'était à refaire ? Dans ce roman d'un Président, Catherine Nay enquête, révèle, éclaire.
Durée:8h. 4min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:30589
Résumé: « Après plus d'un an de présence en Indochine, je connaissais ce qu'on peut filmer dans la guerre. Au départ, on se dit : "Tiens, il faut filmer l'ennemi." Non, l'ennemi, il ne faut pas le filmer. Il faut filmer les gens avec qui l'on est. L'ennemi, si on le voit, il vous voit. Et il tire le premier ! »Pierre Schoendoerffer« La guerre est un combat contre, au minimum, un ennemi. Impossible de la couvrir sans être avec les combattants d'un des camps. Au Liban, en Bosnie, au Tchad, au Nicaragua, à Gaza, en Libye, en Somalie, en Afghanistan, en Iral et j'en passe, cela a été le cas, pour moi et pour d'autres. Difficile de relater la guerre au plus près sans être avec un des protagonistes. »Patrick Forrestier
Durée:5h. 31min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:32613
Résumé: La compagne du fondateur du journal Hara-Kiri raconte 20 ans de sa vie passés avec lui : la vie dans les coulisses de l'hebdomadaire, la faillite, les problèmes financiers, la création de Charlie-Hebdo puis de Grodada, etc.
Durée:7h. 12min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:71109
Résumé: A partir d'archives et d'entretiens avec des acteurs centraux, l'auteur décrit le fonctionnement passé et présent de France Inter et explique comment elle est devenue un pouvoir culturel et politique au sein de la société médiatique. Il évoque les émissions emblématiques, les figures clés de la radio comme R. Dhordain, son premier directeur, l'évolution des programmes ou les crises internes.
Durée:3h. 17min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:68718
Résumé: La critique des médias est à la mode : tribunes libres, pamphlets, émissions parodiques dénoncent - à juste titre - les journalistes aux ordres, les manipulations de l'information, l'emprise de la « pensée unique »... Et pourtant, rien ne change : nombre de lecteurs et de téléspectateurs partagent ces indignations, sans modifier pour autant leurs habitudes de « consommation » des médias. Et ces derniers, loin d'être ébranlés par ces critiques, semblent même en être confortés. C'est ce paradoxe surprenant qu'explore cet essai original, fruit de la collaboration entre une journaliste et un philosophe. À partir de nombreux exemples puisés dans l'actualité récente - du fonctionnement des « Guignols de l'info » au traitement du conflit algérien ou de la guerre au Kosovo -, Florence Aubenas et Miguel Benasayag livrent une analyse décapante des mécanismes de fabrication de l'information et de leurs effets. En montrant la façon dont l'idéologie de la communication façonne le travail quotidien des journalistes, ils mettent à jour les illusions qu'elle véhicule : l'obsession de la recherche des « faits vrais », l'idéal de transparence, loin de mieux rendre compte du réel, contribuent à le rendre inintelligible. Et la « révélation » des scandales, loin d'entraîner des révoltes citoyennes, contribue à fabriquer une société de l'impuissance. Pour sortir de ces impasses, pour sortir aussi du confort illusoire du radicalisme « anti-médias », les auteurs explorent les voies de ce que pourrait être un autre journalisme, un autre rapport des citoyens à l'information.
Durée:5h. 52min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:72265
Résumé: Les souvenirs d'enfance d'une soixantaine de personnalités recueillis de 2008 à 2012 sur le plateau de La traversée du miroir sur France 5 : Ségolène Royal, Yann Queffélec, Emma de Caunes, Marie-Claude Pietragalla, Manuel Valls, Line Renaud, François Hollande, etc. Le journaliste dévoile également son passé
Durée:6h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:69692
Résumé: «Autrefois, j’avais un ami. Je l’ai rencontré il y a bien longtemps, par un jour d’hiver, sautant de sa voiture et grimpant quatre à quatre les marches du lycée Franklin. C’est le souvenir le plus vivace que j’aie de lui, une impression inégalable d’éclat et de beauté. Figé sur les marches, rempli d’admiration et de honte, j’étais égaré dans ma condition de "nouveau", égaré en moi-même. Il m’a sauvé – des autres, de ma propre jeunesse. Des années plus tard, alors que cet homme était devenu une image détestée, j’ai tenté de le sauver. J’aurais aimé qu’on sache qui il était vraiment.» Lorsque Adam Vollmann, journaliste au New Yorker, voit s’afficher un soir sur les écrans de Times Square le portrait d’un homme recherché de tous, il le reconnaît aussitôt : il s’agit d’Ethan Shaw. Le bel Ethan, qui vingt ans auparavant était la star du lycée et son seul ami, est accusé d’avoir violé et tué une jeune Mexicaine. Refusant de croire à sa culpabilité, Adam retourne à Drysden, où ils se sont connus, pour mener l’enquête. Mais à mesure qu’il se confronte au passé, toutes ses certitudes vacillent… Roman haletant et réflexion virtuose sur la puissance du récit, Le monde n’existe pas interroge jusqu’au vertige une société aveuglée par le mensonge, où réalité et fiction ne font qu’un.
Lu par:Aziz Mouline
Durée:1h. 37min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73094
Résumé: La situation de la télévision française face à l'omnipotence de l'industriel et homme d'affaires Vincent Bolloré. L'auteure alerte sur la concentration des médias entre les mains de quelques-uns, plaide pour plus de liberté et propose des solutions pour y parvenir.