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Quand j'étais enfant, je lisais des livres

Résumé
Le présent recueil convoque une pensée élaborée sur la longue durée pour approfondir les grands thèmes qui n'ont cessé de nourrir son travail d'écrivain et d'accompagner son parcours philosophique : de la fragmentation sociale à l'oeuvre dans nos sociétés à la vulnérabilité de l'homme, en passant par la question - pour elle centrale - de la foi. S'élevant contre la tentation contemporaine de séculariser et de rationaliser le monde à outrance, ce livre d'intervention, qui interroge les choix politiques et économiques de notre temps et les limites de plus en plus patentes d'un capitalisme manipulateur, constitue un plaidoyer contre l'austérité sous toutes ses formes et défend la primauté de l'éthique pour accéder à des solutions authentiques allant de pair avec un nécessaire dépassement de soi. Marqué par une tension permanente entre les injonctions du collectif et l'aspiration humaine à la solitude (la poésie étant à considérer comme le plus bel usage que l'on puisse faire de cette dernière), cet ouvrage sans égal, d'une ironie parfois mordante, rend un hommage d'une rare profondeur tant au sens de la communauté qu'à la nécessité pour l'homme de ne pas se laisser réduire aux seules frontières de son espèce.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 9h. 47min.
Édition: Arles (Bouches-du-Rhône), Actes Sud, 2016
Numéro du livre: 32007
ISBN: 9782330057978

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Résumé:Lu par Manon Dans l'ouest américain, à Fingerbone, au bord d'un lac gelé grandissent et vivent dans leur maison familiale les deux soeurs orphelines Ruth et Lucille, qui sont confiées d'abord à leur grand-mère, puis à deux grands-tantes et à Sylvia, une tante devenue clocharde.
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Résumé:Publié en 1930, ce récit est un essai, rédigé sur le mode de la visite touristique, dénonçant le mode de vie des Américains : une mise en garde lancée contre les avancées de la science, de l'industrie et du commerce qui ne sont pas forcément porteurs d'une amélioration de la vie de l'humanité. Georges Duhamel (1884-1966) fut médecin, mais aussi essayiste, romancier, poète, et auteur dramatique. Elu membre de l'Académie française en 1935, il est surtout connu pour son humanisme moderne et son pacifisme ardent. Prix Goncourt en 1918.
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Résumé:La croissance : un remède à tous les maux ! Tel est le discours martelé par nos dirigeants depuis des décennies, qu'il s'agisse de réduire le chômage, de régler le problème des retraites, de résorber les inégalités ou de surmonter la crise écologique. Et si la croissance n'était pas la solution, mais le problème ? Elle est désormais un facteur de crise, une menace pour la planète et un obstacle au progrès. Faut-il pour autant nous résoudre à une austérité punitive ? Certes non, affirme Jean Gadrey, qui prône une société privilégiant le "mieux-être" et non le "plus-avoir". Une société qui doit, et peut, viser le plein-emploi ainsi qu'un haut niveau de protection sociale pour tous. C'est le chemin d'une autre prospérité qui est ici proposé, plus juste, moins violente, et donc réellement durable.
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Résumé:"La nation rassemblée et l'état d'urgence décrété, nous vivons un moment souverainiste. Mais à quel prix, et sous quelles conditions, pouvons-nous vivre ensemble ? Cette question fait clivage. Le souverainisme est ce nouveau spectre qui hante le monde. Rien de plus normal pourtant, car la question de la souveraineté est fondatrice de la démocratie. Elle fonde la communauté politique, ce que l'on appelle le peuple, et définit un ordre politique. Partout en Europe et dans le monde s'exprime la volonté populaire de retrouver sa souveraineté. Que ce soit face aux incohérences de l'Union européenne sur la crise des réfugiés, ou face aux questions suscitées par le déni de la souveraineté grecque des institutions de la zone Euro, la souveraineté est la question d'aujourd'hui. Si elle a pris une place centrale dans le débat, c'est bien parce qu'elle touche à quelque chose d'essentiel : la liberté. Celle de faire et de décider, en son propre nom comme de manière collective. Mais qui dit souveraineté dit aussi peuple et laïcité. Aujourd'hui plus que jamais, il est impératif de rejeter les définitions du peuple fondées sur l'ethnie ou la religion, et d'affirmer la nature historique et politique de cette notion. Faire disparaître du champ politique le principe de souveraineté ne peut se justifier que par une volonté de faire disparaître aussi le principe de démocratie. Il ne faut alors pas s'étonner de ce que la société glisse vers l'anomie et la guerre de "tous contre tous"." J.S. Un essai de sciences politiques pour nous aider à penser la société et reconstruire le lien républicain.