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Recherche par mot-clé: Société -Sociologie

44 résultats. Page 1 sur 3.

Durée:5h. 1min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:75393
Résumé: Citoyens du monde, minorité créative, indignés, créatifs culturels, voilà les diverses dénominations que nous, acteurs du changement, portons. Il n’y a pas de définition qui fasse consensus car nos contours, nos engagements et nos actes peuvent être différents. Cependant, ce que nous partageons, c’est la ferme volonté de vouloir changer le monde. Nous aspirons à une vie plus qualitative, plus éthique, plus juste, plus humaine et plus respectueuse du vivant. Le changement de civilisation est déjà en route et il vient d’en bas. Nous sommes plus de 2 milliards de réenchanteurs, de citoyennes et de citoyens à réaliser des millions de révolutions tranquilles à travers la planète. Une force colossale qu’aucune puissance économique, politique ou militaire ne peut arrêter. Ensemble, nous construisons une société porteuse de sens, la nouvelle plaque tectonique du monde de demain.
Lu par:Pierre Biner
Durée:8h. 50min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:75118
Résumé: Depuis peu, les militants de la cause woke défrayent la chronique en raison des actions qu’ils mènent dans les universités pour y interdire toute forme de pensée considérée comme attentatoire aux principes qu’ils défendent. Dans les débats en cours, un point essentiel est passé inaperçu. Avocats et adversaires du wokisme partagent un même mot d’ordre. Il faut, affirment-ils tous, « reconstruire » après avoir « déconstruit ». Le projet est le même auquel étrangement souscrivent deux camps que, pourtant, tout distingue. En ce sens, le wokisme et l’antiwokisme se caractérisent pareillement par leur opposition à l’idée de déconstruction. Encore faudrait-il savoir ce que le mot signifie et se donner ainsi une chance de comprendre l’étrange « reconstructionnisme » qui prévaut aujourd’hui et dont la logique conduit fatalement à l’affrontement de deux identitarismes adverses. Car il importe moins, contre l’opinion unanime, de reconstruire enfin ce qui avait été hier déconstruit que de déconstruire encore ce qui prétend se reconstruire aujourd’hui. Selon une leçon que la littérature nous prodigue aussi, essentiellement réfractaire au diktat et aux simplifications d’un certain discours militant.
Lu par:Sophie Berard
Durée:3h. 52min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:74660
Résumé: L'auteur fait le constat que tandis que le monde extérieur est de plus en plus hostile (terrorisme, Covid-19, guerre en Ukraine), le foyer se transforme en cocon connecté dans lequel tout peut être regardé ou livré sans avoir à prendre le risque de sortir. P. Bruckner s'inquiète des possibilités qu'un tel comportement de repli pourrait entraîner à l'avenir.
Lu par:Valerie David
Durée:4h. 52min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:74606
Résumé: La croissance : un remède à tous les maux ! Tel est le discours martelé par nos dirigeants depuis des décennies, qu'il s'agisse de réduire le chômage, de régler le problème des retraites, de résorber les inégalités ou de surmonter la crise écologique. Et si la croissance n'était pas la solution, mais le problème ? Elle est désormais un facteur de crise, une menace pour la planète et un obstacle au progrès. Faut-il pour autant nous résoudre à une austérité punitive ? Certes non, affirme Jean Gadrey, qui prône une société privilégiant le "mieux-être" et non le "plus-avoir". Une société qui doit, et peut, viser le plein-emploi ainsi qu'un haut niveau de protection sociale pour tous. C'est le chemin d'une autre prospérité qui est ici proposé, plus juste, moins violente, et donc réellement durable.
Durée:6h. 31min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73239
Résumé: Le 7 janvier 1980, Gay Tales reçoit à son domicile new-yorkais une lettre anonyme en provenance du Colorado. Le courrier débute ainsi : "je crois être en possession d'informations importantes qui pourraient vous être utiles." ; homme, Gerald Foos, confesse dans cette missive un secret glaçant : voyeur, il a acquis un motel à Denver dans 'unique but de le transformer en "laboratoire d'observation". Avec l'aide de son épouse, il a découpé dans le plafond l'une douzaine de chambres des orifices rectangulaires le 15 centimètres sur 35, puis les a masqués avec de fausses cilles d'aération lui permettant de voir sans être vu. Il a ainsi épié sa clientèle pendant plusieurs décennies, annotant ans le moindre détail ce qu'il observait et entendait - sans jamais être découvert. A la lecture d'un tel aveu, Gay Talese e décide à rencontrer l'homme. Au travers des notes et des carnets du voyeur, matériau incroyable découpé, commenté et reproduit en partie dans l'ouvrage, l'écrivain va percer peu à peu les mystères du Manor House Motel. Le plus troublant 'entre eux : un meurtre non résolu, digne d'une scène de psychose, auquel le voyeur assisterait, impuissant. Le voyeur exige l'anonymat ; l'écrivain, soucieux de toujours livrer les véritables identités de ses personnages, s'en tient aux prémices de son enquête. Trente-cinq ans plus tard, Gerald Foos se décide à rendre publique sa machination et Gay Talese peut enfin publier ce livre dérangeant et fascinant. Le Motel du Voyeur interroge aussi, à travers la figure de Gerald Foos, étrange double pervers de l'auteur, la position du journaliste qui scrute le réel en observateur - en voyeur. Au-delà du fait divers, cette plongée hallucinante dans la psyché américaine, parcourt une sociologie criminelle des moeurs, et s'avère être le plus parfait des romans noirs, à mi-chemin du chef d'oeuvre de Truman Capote, De sang-froid et du journaliste et 1'Assassin de Janet Malcolm. Gênant, passionnant, troublant, autant le dire, roman ou enquête, vous n'avez jamais lu un tel livre.
Lu par:Pierre Biner
Durée:8h. 48min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73232
Résumé: Une vague de folie et d’intolérance submerge le monde occidental. Venue des universités américaines, la religion woke, la religion des « éveillés », emporte tout sur son passage : universités, écoles et lycées, entreprises, médias et culture. Au nom de la lutte contre les discriminations, elle enseigne des vérités pour le moins inédites. La « théorie du genre » professe que sexe et corps n’existent pas et que seule compte la conscience. La « théorie critique de la race » affirme que tous les Blancs sont racistes mais qu’aucun « racisé » ne l’est. L’« épistémologie du point de vue » soutient que tout savoir est « situé » et qu’il n’y a pas de science objective, même pas les sciences dures. Le but des wokes : « déconstruire » tout l’héritage culturel et scientifique d’un Occident accusé d’être « systémiquement » sexiste, raciste et colonialiste. Ces croyances sont redoutables pour nos sociétés dirigées par des élites issues des universités et vivant dans un monde virtuel. Comme dans La philosophie devenue folle, Braunstein s’appuie sur des textes, des thèses, des conférences, des essais, qu’il cite et explicite abondamment, afin de dénoncer cette religion nouvelle et destructrice pour la liberté. Un essai choc et salutaire.
Durée:4h. 38min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:73887
Résumé: Une analyse de la violence sous toutes ses formes, passées ou actuelles, notamment les guerres, le terrorisme, les génocides et les déportations. L'auteur examine la place que tient cette notion dans les représentations de la politique et de la vie en générale, à la lumière de l'anthropologie, de la psychologie, de la sociologie et de la philosophie.
Durée:8h. 25min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:72119
Résumé: Voici un des classiques les plus provocateurs de la pensée sociale, devenu depuis sa parution en 1951, un véritable best-seller et un ouvrage influent. Il est l’œuvre d’Eric Hoffer, docker et grand lecteur, et a été écrit au cours des années 1940 dans les gares de triage de San Francisco. Hoffer y dessine une théorie remarquablement suggestive du type de changement social qu’il résume sous le nom de « mouvement de masse ». À l’aide d’exemples concrets tirés d’un large éventail historique, l’esprit du fanatique et la dynamique des mouvements de masse y sont méthodiquement analysés. D’où viennent-ils ? D’une tentative désespérée pour compenser le manque de sens de la vie ; d’une régression – entraînée par la vitesse des changements – de la maturité de ceux qui ont grandi dans une société différente. Sont-ils identiques ? Qu’ils soient politiques ou religieux, radicaux ou réactionnaires, les mouvements de masse sont interchangeables car l’important est de faire partie du mouvement. Hoffer est bref, lisible et perspicace. Comment devient-on fanatique ou pas ? Lisez Hoffer.
Durée:7h. 58min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73131
Résumé: L'auteur fait se confronter deux réalités différentes. Celle construite par des groupes sociaux, tenue pour vraie sans jamais avoir été élaborée par ceux qui appartiennent à ces groupes, et celle arrachée à la terre, construite par une expérience sans cesse remise en cause, soumise à son contexte. Une exploration de la liberté intérieure pour ne pas se soumettre aux discours de haine.
Durée:5h. 8min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73068
Résumé: Un décryptage de la populaire émission télévisée Touche pas à mon poste, présentée par C. Hanouna. Bien qu'à but humoristique, le programme est devenu un lieu de débat accueillant tour à tour des gilets jaunes, des femmes voilées, des végans, des victimes de violences policières, des policiers, des Ouïghours, des anti-vaccins et des fascistes.
Lu par:Marc Lévy
Durée:4h. 24min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:73055
Résumé: Résultat d'un projet inédit réunissant le ministère français des Armées, l'Université Paris Sciences et Lettres ainsi que dix écrivains de science-fiction et de roman noir pour prévoir les conflits futurs à l'horizon 2030-2060. Deux hypothèses sont développées en quatre récits de fiction : une nation pirate consécutive au changement climatique et les conséquences des failles du monde numérique.
Durée:1h. 14min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:71800
Résumé: "Nous ne savons pas ce qui nous arrive et c'est précisément ce qui nous arrive" , écrit José Ortega y Gasset. Que nous arrive-t-il ? Qu'arrive-t-il à la France ? Au monde ? Notre impéritie vient-elle d'une myopie à l'égard de tout ce qui dépasse l'immédiat ? d'une perception inexacte ? d'une crise de la pensée ? d'un somnambulisme généralisé ? Tant de certitudes ont été balayées ! Comment naviguer dans un océan d'incertitude ? Comment comprendre l'histoire que nous vivons ? Comment admettre enfin que, en dégradant l'écologie de notre planète, nous dégradons nos vies et nos sociétés ? Comment appréhender le monde qui se transforme de crise en crise ? Comment concevoir l'aventure inouïe de notre humanité ? Est-ce une course à la mort ou à la métamorphose ? Serait-ce à la fois l'un et l'autre ? Réveillons-nous ! E. M.
Durée:17h. 55min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:72791
Résumé: 1969 représente pour l'auteur une année charnière dont l'héritage politique, culturel et intellectuel a façonné la fin du XXe siècle. Il met en lumière les conséquences des événements qui marquèrent cette année tels que la démission du général de Gaulle, l'élection de Nixon, le festival de Woodstock, l'assassinat de Sharon Tate ou les premières tentatives de paix au Vietnam.
Durée:15h. 54min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:71377
Résumé: Le coronavirus a cruellement mis à nu l'aberrante hiérarchie des métiers : au sommet, les superdiplômés qui occupent des postes prestigieux et bien rémunérés ; à la base, les métiers vitaux mais en réalité méprisés et mal payés. Alors même que ce sont ceux-là, les infirmiers, les livreurs, les manutentionnaires... qui, pendant le confinement, ont fait tourner la société, quand les cadres sont restés chez eux, en télétravail. L'intelligence cognitive est devenue l'unique critère de sélection méritocratique - la Tête a pris le pouvoir, au détriment de la Main et du Coeur, et façonné la société en fonction de ses intérêts. Dans les années 1970, la plupart des élèves quittaient l'école sans qualification ; aujourd'hui 40 % des postes sont réservés aux diplômés du supérieur. L'inflation artificielle d'une "classe cognitive" sélectionnée sur ses diplômes universitaires a suscité une désillusion massive parmi la jeunesse diplômée et une frustration chez celle qui ne l'est pas. Pourtant, une société démocratique doit pouvoir reconnaître et rétribuer justement tous ses membres, y compris ceux qui ne veulent pas, ou ne peuvent pas, passer par de grandes études et des postes de cadre pour réussir dans la vie. David Goodhart prône un rééquilibrage en faveur des métiers qui privilégient des qualités humaines sous-estimées et par conséquent sous-payées, comme la sensibilité, l'empathie, la générosité, l'habileté manuelle. La Tête, la Main et le Coeur est l'histoire de cette nouvelle lutte sociale du XXIe siècle.
Durée:4h. 59min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:70860
Résumé: Ce livre ne désigne pas des coupables ni ne proclame que rien ne sera plus comme avant. Il cherche à comprendre de l'intérieur l'univers étrange dans lequel nous vivons. Partant de l'expérience de la maladie, il montre comment l'épreuve du réel a été d'emblée recouverte d'un flux d'images et de paroles anxiogènes. Un président déclare le pays en guerre, des libertés fondamentales sont suspendues, la politique et la science s'emmêlent, les polémiques s'enchaînent sur fond de mal-être social, d'incohérence et de faiblesse de l'Etat, les hôpitaux font face après avoir subi d'insupportables contraintes budgétaires et un management déshumanisant... Comment s'y reconnaître ? Observant la première période de la crise sanitaire, l'auteur décrit une société malade qui doit affronter l'aléa historique et le tragique de notre condition. Face à l'épreuve, le pays a vu resurgir des "réserves d'humanité". Ce sursaut peut-il durer ? Ecrit dans un style vif et clair, mêlant le récit, l'analyse et l'humour, ce livre introduit une réflexion salutaire dans le chaos ambiant. Saurons-nous en tirer des leçons ?
Durée:3h. 43min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69444
Résumé: Jusqu'à présent, aucun journaliste ne s'était lancé un tel défi : infiltrer la police. Valentin Gendrot, adepte des reportages en immersion, a osé. Il a suivi une formation express avant d'intégrer un commissariat durant six mois. Celui du 19e arrondissement de Paris, un secteur réputé sensible. Une arme à la ceinture, le journaliste sous couverture a rejoint une brigade dont certains membres tutoient, insultent et distribuent régulièrement des coups à des jeunes hommes noirs, d'origine arabe ou migrants qu'ils surnomment " les bâtards ". Ce livre dévoile les coulisses d'une profession souvent accusée de violences, de racisme et au taux de suicide anormalement élevé. Un récit urgent, tant pour les victimes des violences policières que pour les policiers eux-mêmes.
Durée:4h. 44min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:67381
Résumé: L'ancienne ministre évoque le souvenir de sa grand-mère, petite fille pauvre placée chez un riche propriétaire puis employée à Paris comme domestique. Après des années d'humiliations et de mépris, elle rencontre un homme qui va l'aider à se battre pour changer son destin.
Durée:2h. 44min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:67116
Résumé: Nous sommes entrés dans l'ère de la transparence, qui semble bien structurer désormais tous les aspects de notre vie – du collectif à l'individuel, du politique à l'intime. Naît alors un carcan dans lequel les choses sont lissées, intégrées sans résistance dans les flux de la communication et dépouillées de leurs singularités. Comme sur un marché, tout est exposé, réduit à son prix, privé de récit. Les corps eux-mêmes sont dénués de sens ; les visages perdent leur scénographie ; le temps est atomisé. Nous voilà dans un " enfer de l'identique ", où les informations se succèdent sans combler le vide permanent dont nous sommes prisonniers, et où nous n'avons d'autre issue que de liker pour approuver. Ne tolérant aucune faille, la société de transparence nous confronte à un choix : être visible ou être suspect. L'homme peut-il encore s'échapper de cette société de contrôle total ?
Durée:57min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:67655
Résumé: On a aujourd’hui rarement un emploi stable avant 29 ans et un enfant avant 30 ans. Autant dire qu’entre les premières amours, les premiers petits boulots et l’âge adulte s’écoule une décennie. Longue jeunesse. Chemin sinueux pour apprendre «?à apprendre?», «?à aimer?», «?à voyager?» et «à travailler?». Y a-t-il encore un ordre idéal?? Comment devenir adulte en «?société mobile?»?? Jean Viard propose dans ce court texte des pistes pour que, cinquante ans après mai 1968, une politique de la jeunesse devienne un enjeu de société et de démocratisation essentiel.
Durée:15h.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:66841
Résumé: Longtemps, je me suis couché si tard, sans lire Proust... Mais, il m'est arrivé de coucher, ou de faire l'amour, avec des femmes singulières exerçant des métiers rares, de dormir seul, ou accompagné de mes doutes, donc j'écris dès le réveil. Alors il est là, l'homme qui vous écrit aujourd'hui, sexy, intelligent, comme aucun homme ne parvient à parler. Et sans doute comme toutes les femmes voudraient le lire. Surtout modeste. Je suis un mâle, je suis poli, je rêvais d'écrire à la suite de Simone de Beauvoir Le Troisième sexe. Sans doute n'en sommes nous pas si loin. Le Journal d'un mâle poli a été ma résurrection. Sans lui, je serai mort... À travers son journal quotidien, tenu durant plus d'une année, l'auteur croque notre société, hommes, femmes, Paris et ses fenêtres à la recherche du temps retrouvé, un Paname dandy et décalé, à travers différents portraits.