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Chroniques d'un coeur d'artichaut

Résumé
… Cette fois, c'est Madame qui s'enfuit en Italie faire un pèlerinage sur la tombe de son premier amour, laissant son amant dans l'expectative. Claude-Inga Barbey mêle à ce récit central une autre intrigue: un journaliste machiavélique, «le Chacal», cherche des victimes à malmener dans son émission de télé-réalité. Chroniques d'un coeur d'artichaut vire donc à la farce et dégomme les travers de notre société voyeuriste et déshumanisée.( femina.ch)
Durée: 4h. 51min.
Édition: Delémont, Ed. d'autre part, 2009
Numéro du livre: 16935
ISBN: 9782940350179 (vol. 1)

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Résumé: Note de l'éditeur: Dans le lieu clos de son asile, une femme se souvient de son enfance massacrée et de son parcours de vie chaotique. Au-delà de la simple évocation biographique, le récit de Claude-Inga Barbey révèle une somptueuse écriture, nourrie aux sources les plus fécondes du conte et du roman féminin.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Gilda, l'héroïne du livre, s'est fait quitter par son prince. Ça semble un peu mièvre, dit ainsi, mais c'est bien ce qui s'est passé. Il l'a séduite, voulue, désirée, prise. Un homme beau, plus jeune qu'elle, une statue vivante qu'elle couvait, qu'elle admirait, qu'elle cajolait, qu'elle entretenait. Elle a largué un premier mari pour cet Ulysse, l'a épousé, lui a fait un enfant. Mais emprisonné dans cet amour, contrôlé, chargé de famille, dévirilisé, le bel homme doit sauver sa peau et s'en va. C'est le chagrin de Gilda qu'on suit dans ce livre, ses tentatives pour regagner son homme, ou l'oublier, ou le remplacer par un prétendant, jusqu'à sa résolution finale de ne plus juger mais d'accepter que chacun suive sa route...
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Résumé: "L’autre jour, j’étais assise sur un banc à l’arrêt du bus. Un homme passe devant moi, petit, râblé, la soixantaine. Il s’assied à ma gauche. Sur le trottoir d’en face, une jeune fille passe, très jolie. J’entends siffler l’homme à côté de moi. Une fois, deux fois, plusieurs fois. Personne à l’arrêt de bus n’ose regarder ce vieil homme qui siffle une jeune fille, mais on n’en pense pas moins... "Vieux cochon... à son âge... Il pourrait au moins siffler plus doucement..." Finalement, je me tourne et le regarde. Il sifflait un pigeon ramier perché sur un fil électrique. Il espérait simplement que le pigeon lui réponde. La vie quotidienne nous offre des merveilles. Ce sont ces petites choses à voir qui rendent la vie plus supportable, parce que souvent, elles consolent." Le sexe des quinquas, les bancomats récalcitrants, les vacances à ne pas louper, les souvenirs sélectifs, les mots durs ou doux, la cigarette et ses artefacts électroniques, etc. Ce sont autant de petits instantanés lucides donc souvent un peu amers, mais surtout drôles et réconfortants, que nous offre ce recueil de chroniques. Oui, le temps passe, la jeunesse aussi, mais parfois c’est presque plus facile quand on a un peu perdu nos illusions et nos rêves de grandeur. La vie se révèle souvent plus simple et parfois plus belle en pastel. Même si on cultive immanquablement quelques regrets…
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:15285
Résumé: « Elle, elle attend son accident, sa rencontre avec le pare-chocs du camion. Rencontre qui la conduira inévitablement en position horizontale devant ces docteurs silencieux que sont les hommes. Ils apprécieront le choix judicieux du soutien-gorge, la fiabilité des étiquettes... (Tous ces lavages à la main dans le petit lavabo de sa salle de bains pour préserver l'élasticité de la culotte...) Ils constateront la propreté parfaite de son indispensable combinaison. Ce sera son moment de grâce, l'apogée d'une vie consacrée au perfectionnement de son apparence. »
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Genre littéraire:Nouvelle
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Résumé: ...Un recueil de nouvelles, donc, comme son titre le laisse entendre, mais un recueil divisé en 2 parties. Dans un premier temps, Claude-Inga Barbey nous livre 4 nouvelles, 4 destins de gens ordinaires et dont le trait commun est cette forme sournoise d'entrave à la vie que fait peser sur eux un douloureux passé. Betty, que seul la mort de sa mère indigne libérera du poids de la vie, Edith, inféodée à un époux hostile, qui cherche dans l'imaginaire des histoires qu'elle dessine pour les enfants, l'improbable consolation de la perte de ses parents, Louise, enfant de l'assistance publique, qui est incapable de croire à l'amour de Vincent tant elle se croit peu digne d'amour et d'intérêt, et cet homme, enfin, qui n'a pas de nom dans la dernière nouvelle, abusé sexuellement par son beau-père et qui ne trouvera que dans une sorte d'abandon sauvage un sentiment d'existence. Un indéfectible sentiment d'abandon ancré toujours dans une enfance blessée, fait de chacun de ses êtres des analphabètes de l'amour. Et puis, dans une seconde partie du livre, ce sont des textes brefs que nous propose Claude-Inga Barbey, qui relèvent moins de la nouvelle que de la chronique, ou même de l'instantané. Une quinzaine de textes dans lesquelles l'auteur croque des instants de vie, cristallise un quotidien dans lequel elle débusque ces palpitations de l'âme, ces fragments d'émotions qui conditionnent nos actes et trahissent nos blessures. (www.rsr.ch)
Durée:3h. 23min.
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Résumé: Quelque chose a changé. Je me sens comme une maison dans laquelle quelqu’un serait entré en mon absence. Le fait est que nous avons tous changé. Nous sommes aux aguets. Pandémie, guerre, climat, les mauvaises nouvelles se succèdent, et tous nous nous demandons: qu’est-ce qui va encore nous tomber sur la tête? En même temps, quelque chose est en train de naître tout autour. Et je commence à voir, dans ce ciel bleu acier, de légères et sporadiques vapeurs, des vapeurs de désobéissance… Et la désobéissance, cela peut être une façon subtile de reprendre le contrôle quand on ne maîtrise plus rien...
Lu par:Lisette Vogel
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Résumé: Ça commence comme dans un village à la Pagnol. Un petit patelin dans lequel rien ne se passe jusqu’à l’arrivée d’un inconnu, forcément nocif. Il pourrait transformer le hameau en Clochemerle, mais c’est plutôt au village gaulois d’Astérix qu’il va se confronter. Yvan Sjöstedt calibre les caractères de ses personnages selon les besoins du scénario. Et crée un méchant. Un vrai, susceptible de détruire la tranquille harmonie du village. C’est vrai qu’avec un maire prénommé Carpette, on aurait pu s’attendre à la résignation face aux desseins de l’inconnu qui arrive comme un poil sur la soupe. Ce poil, justement, qui irrite autant les acteurs que les lecteurs, conclura finalement toute l’imagination de l’auteur qui livre un délicieux petit roman au ton vif, voire déluré. Après le scénario sur-documenté de la bande dessinée « Farinet, le faux-monnayeur », Sjöstedt lâche la bride dans un petit délire sans limite, hormis celle de nous faire sourire un brin, un poil !
Lu par:Lisette Vogel
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Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:73242
Résumé: Un roman drôle et décapant qui traite de sujets profonds : et si l'art pouvait nous (re)donner de la force, du courage, de la confiance, de l'envie ? De plus en plus de thérapeutes conseillent aux gens déprimés, en deuil ou en rupture de se ressourcer en allant voir un tableau qui a parfois traversé les siècles et les continents, et a un message libérateur à transmettre. La vie passe et on se retrouve à 50 ans, souvent fraîchement divorcée et hélas plus toute fraîche sur le marché ingrat de la séduction. A cet instant précis, on peut gémir sur l'injustice du temps qui file, sur ces salauds de mâles qui font leur crise, cassent leur vie comme on casse une construction en Lego et n'arrivent plus à la reconstruire, sur l'ingratitude des jeunes qui nous considèrent au boulot comme des vieux cons avec notre vie de bureau bien réglée " en présence " comme on dit désormais, alors qu'eux sont mobiles, exigeants, online, volatiles, égocentrés, vénaux assumés, tout ce que nous avons toujours rêvé d'être sans jamais oser le réclamer, on peut geindre sur nos parents âgés qui ont eu une retraite en platine dont nous ne bénéficierons jamais et qui ont le mauvais goût de vivre hyper longtemps, avant de nous bouleverser quand ils meurent parce que ce sont nos parents et qu'après eux c'est nous qui sommes au bord du précipice, on peut grincer sur nos enfants merveilleux forcément merveilleux mais pour lesquels on panique car on se dit qu'ils ne trouveront ni emploi ni logement et qu'ils resteront agglomérés à nous et à leur portable, confinés ad vitam aeternam à la maison pour se protéger du monde extérieur. Oui on peut se plaindre de tout ça et je le fais régulièrement car c'est très jouissif de se plaindre même si cela ne mène à rien. Mais la réalité, c'est qu'on bouge encore.."
Durée:3h. 36min.
Genre littéraire:Humour-satire
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Résumé: Quand nous découvrons Geoffroy, le héros de ce roman, il est coincé dans un ascenseur, simple métaphore de l’existence pour cet employé timoré qui échoue superbement à faire son chemin. Doté d’un jumeau à qui tout réussit, il végète dans une entreprise d’emballage dont il va claquer la porte pour se consacrer au tri des pommes. Repéré par une metteuse en scène d’avant-garde qui porte haut l’art du vide, il subit les autres sans cesser de s’interroger, tant sur son absurde parcours que sur sa capacité à tout supporter. Il faudra un ficus compatissant pour qu’il ose enfin sortir du cadre. Car il suffit parfois d’une plante de salon pour révéler une tragédie intime et bouffonne.
Lu par:Jean Frisch
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Genre littéraire:Humour-satire
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Résumé: Dans cette nouvelle farce, le facétieux Gottraux s'attaque à la «malbouffe».Faire du papet industriel, le promouvoir au plan mondial et devenir richissime: tel est le moteur d'une course-poursuite entre de voraces hommes d'affaires, des politiciens hantés par le déficit et une police bienveillante, protectrice des valeurs du terroir. Les personnages, sont, pour la plupart, les 34 anciens candidats socialistes vaudois au Conseil national.Martial Gottraux est un admirateur de José Bové (lire également en page 26) et verrait bien les socialistes s'engager plus concrètement dans la lutte contre la «normalisation du goût» imposée par les grandes industries. «Lutter contre la nourriture industrielle, c'est lutter pour la culture et pour l'une de nos dernières sphères de liberté: la gustativité...
Durée:5h. 23min.
Genre littéraire:Humour-satire
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Résumé: Bujard et Panchaud, deux compères à la relation aussi symbiotique que conflictuelle, abordent avec légèreté leur nouvelle vie d'étudiants. Ah, la Bohème ! (et que dire de la Moravie !) Cependant, confrontés pour la première fois à la réalité des obligations matérielles et ménagères - comment choisir entre une lessive extraordinaire et une lessive ordinaire ? - ils prennent peu à peu conscience de leur statut de consommateurs. Empêtrés dans une société d'achats compulsifs et de dépenses obligatoires, ils tentent de lui échapper par divers moyens, littéralement et dans tous les sens. Leurs efforts tantôt burlesques, tantôt désespérés sont relatés avec humour dans une écriture vive et serrée.
Durée:2h. 44min.
Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:16676
Résumé: «La vieillesse ne sert à rien. Si j'avais créé le monde, j'aurais mis l'amour à la fin de la vie. Les êtres auraient été soutenus, jusqu'au bout, par une espérance confuse et prodigieuse. » Henri Roorda van Eysinga est né à Bruxelles en 1870. D'origine hollandaise, il vécut la plus grande partie de son existence dans le canton de Vaud, à Clarens et à Lausanne, où il se suicida à l'âge de 55 ans. Ses écrits et ses chroniques, des essais philosophiques s'inscrivant dans la lignée d'Alphonse Allais et de Desproges, - Le roseau pensotant, Le débourrage des crânes est-il possible? ou encore Le pédagogue n'aime pas les enfants - portent un regard amusé, caustique et sévère sur la société. A sa mort, en 1925, il laisse un ouvrage intitulé dans un premier temps Le pessimisme joyeux qui deviendra Mon suicide, le public ayant, selon lui, un goût plus prononcé pour le mélodrame.