Contenu

Jette ton pain: [roman]

Résumé
Quatrième de couverture : Saisissantes remémorations poursuivies à longueur de nuits d'insomnies par une femme demeurée célibataire, durant lesquelles remontent à sa conscience toutes les séquelles d'une vie déjà longue, riche en erreurs de comportement regardées bien en face, en hontes bues, en souvenirs enchanteurs ou dérisoires, en blessures infligées ou reçues et plus encore en désirs inassouvis dont celui, devenu obsessionnel à force d'être contrarié par les circonstances, d'écrire un jour quelque chose qui ressemblerait à un livre...
Durée: 9h. 44min.
Édition: Paris, Gallimard, 1979
Numéro du livre: 14491
ISBN: 9782880150973

Documents similaires

Durée:6h. 24min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:11571
Résumé: Rivaz, fille du grand leader socialiste vaudois prônant des idées avant-gardistes, établit dans ce roman un constat lucide des rapports de force régissant la société professionnelle des années 1920. Campé à Genève, le récit met en scène des travailleurs d'une organisation internationale où les femmes subissent les humeurs de leurs chefs et veillent à satisfaire leurs désirs sur commande avant d'être ignorées par eux dans la rue, mais qui démontrent finalement plus de force que ces hommes incapables de prendre leurs responsabilités. Bien entendu, un amour fou en fait basculer une dans le désespoir... Un roman qui se présente comme une amorce des revendications féminines et qui se caractérise par la multiplicité des points de vue et un va-et-vient constant entre le passé et le présent.
Durée:9h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:11031
Résumé: « Le récit que, dans L'Alphabet du matin, Alice Rivaz fait de son enfance heureuse et protégée n'occulte pas les tensions familiales nées du heurt des idées paternelles avec les convictions religieuses de sa mère, née Ida Etter, dont un début de noviciat chez les diaconesses de Saint-Loup avait renforcé le rigorisme moral. La dénonciation de l'injustice sociale, la défense des humbles et les opinions pacifistes défendues au sein de la famille, Alice Rivaz les a retrouvées ensuite sur son lieu de travail. Ayant renoncé à gagner sa vie en donnant des leçons de musique après avoir obtenu un diplôme de piano au Conservatoire de Lausanne, elle a suivi une école de dactylo qui lui a permis d'être engagée en 1925 au Bureau International du Travail à Genève. Elle a fait toute sa carrière dans ce milieu international, chargée de recherches et d'enquêtes qui ne lui laissaient que peu de temps pour sa vocation littéraire. Il a fallu la guerre et la suspension des activités du BIT à Genève pour qu'elle puisse s'y consacrer. » Françoise Fornerod
Durée:5h. 41min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14114
Résumé: ... Dans les textes réunis dans Ce nom qui n'est pas le mien (1980), la romancière parle aussi de son enfance, d'expériences et de souvenirs personnels, mais elle s'exprime surtout sur la littérature, sur ses débuts et les raisons du choix d'un pseudonyme, sur le travail mystérieux de la création, sur la place des femmes dans le monde des lettres ; à une admirable évocation de Ramuz s'ajoute un portrait de la romancière Alice Curchod...
Durée:10h. 51min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:13357
Résumé: Quand l'amour n'éclôt pas et reste fantasmé, des peurs sont à l'oeuvre. Alice Rivaz les dévoile et elle n'hésite pas à, explorer les situations comiques, heureuses ou tragiques qui en résultent. Œuvre de maturité par excellence, Le Creux de la vague, une suite à Comme le sable (1946), n'est publié que vingt et une années plus tard : Alice Rivaz semble s'octroyer le temps et la distance nécessaires pour comprendre la situation de la Suisse au sein de l'Europe de l'avant-guerre. Ainsi, ses fines analyses de nos aspirations et de nos erreurs, tant personnelles qu'historiques, se lisent indépendamment de l'oeuvre qui la précède, surtout si on aime les contrastes que crée la neige au printemps. (Erika Scheidegger)
Durée:4h. 57min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:17641
Résumé: Dans son avant-propos écrit lors de la réédition de Nuages dans la main, Alice Rivaz retrace le climat tempétueux de la guerre d'Espagne constituant le fond de son roman : " Durant toutes les années précédant le conflit mondial armé qui valut à l'humanité cinq millions de cadavres, j'avais suspendu à une des parois de mon bureau une immense carte de l'Europe où mes camarades et moi posions chaque matin un regard angoissé sur l'Espagne. " Avec ce texte engagé, ancré dans l'histoire, Alice Rivaz nous offre un roman passionnant au parfum de tragédie qui fera date dans l'histoire littéraire.
Durée:5h. 40min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:6716
Résumé: Publié en 1973 à un moment où Alice Rivaz était au sommet de son art, "De mémoire et d'oubli" peut être considéré comme l'un de ses livres majeurs. Il est constitué de dix-neuf courts récits, nourris de choses vues, entendues, devinées, supputées, imaginées ou vécues. On y retrouve ses thèmes favoris : la passion et la compassion pour les humbles, la quête inassouvie de vérité et surtout une sourde et violente révolte contre la souffrance et la mort.
Lu par:Alice Rivaz
Durée:52min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:15407
Résumé: Bien que sa famille ne voie pas d'un oeil favorable ses premières tentatives littéraires, d'où le pseudonyme de Rivaz, l'écrivain, Grand Prix Ramuz 1980, entend dire la condition féminine en toute liberté: elle sera l'une des premières en Suisse à parler des femmes à partir d'un vécu féminin qu'elle assume entièrement, malgré les tabous, les hypocrisies et les masques imposés. Elle s'en explique ici avec une belle sincérité, avouant ce que beaucoup d'autres taisent.
Durée:3h. 17min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:73572
Résumé: "Je crois que je n'aime plus mon mari..."Ainsi s'ouvre le journal dans lequel Jeanne raconte les désillusions de sa vie avec Philippe. Au fil des pages, elle observe ses congénères masculins, époux en tête; note les conversations qu'elle tient avec collègues et amies au sujet de l'amour; et livre une réflexion sans dogmatisme ni discours idéologique sur la condition des femmes et leurs relations aux hommes, "dans un mélange d'acuité impitoyable et d'espoir obstiné" (Mona Chollet).
Durée:7h. 59min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:75448
Résumé: Zakir n’a plus de pieds. On les lui a coupés. L’autorité, pour être précis son représentant local, a ordonné qu’il soit empêché de marcher. On aurait pul’immobiliser entier dans une cage ou une prison, mais c’eût été le laisser dans l’idée qu’il remarcherait un jour et il n’en était pas question. Du même coup, on évitait l’embarras d’avoir à nourrir et loger un criminel tout en minimisant le risque de fuite. La détention présente le double défaut de coûter cher aux pouvoirs publics et de stimuler l’esprit d’évasion du reclus. C’est un bien mauvais calcul. Privé de pieds en revanche, le corps de Zakir devenait un pénitencier qu’il se chargerait lui-même d’entretenir à ses frais et dont il n’aurait aucune chance de sortir vivant. Libre à lui de se débrouiller à sa façon. On aurait aussi pu l’exécuter, mais c’eût été perdre l’occasion d’en faire un exemple durable. Moralité: qui veut ses pieds garder ne tentera pas de passer la frontière. La puissance de l’autorité ne se grandit-elle pas d’obliger le délinquant à faire lui-même la promotion de la loi désormais taillée dans sa chair? Le pourquoi de la frontière, le pourquoi de l’interdiction et l’attrait de la transgression, tout cela mérite réflexion. Le fait est que, depuis une vingtaine d’années, Zakir ne sort plus de chez lui et qu’à moins d’une révolution inimaginable, il n’aura plus jamais la faculté ne serait-ce que d’aller observer cette frontière qui pique toujours autant la curiosité.» Le jeune Gédéon, simple manoeuvre employé à la numérisation des fonds de bibliothèque, découvre toutes sortes de rapports confidentiels sur l’état du monde, désormais divisé entre surface ouvrière et cités connectées souterraines. Il s’instruit à sa façon et, forcément, s’interroge. À quoi désormais servent l’écriture et le papier?
Durée:5h. 20min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:22904
Résumé: À l'heure où l'industrie de la musique est engagée depuis le début des années 2000 dans une mutation historique, à l'heure où l'âge du disque est en train de se clore, cet ouvrage fournit un éclairage indispensable pour en comprendre les enjeux à la fois techniques, économiques et culturels. Mondialisation du marché, formation de grands groupes multimédias, rapports entre majors et indépendants, évolution des techniques d'enregistrement, métissages des musiques du monde entier, mutation des formes de l'écoute, autant de problèmes qui gagnent à être analysés ensemble et replacés dans une perspective de long terme qui permet de mettre en évidence les changements profonds provoqués par l'apparition du disque dans le rapport qu'entretiennent les sociétés contemporaines avec la musique. C'est pourquoi il sera question ici à la fois de l'histoire des techniques, depuis le cylindre jusqu'au MP3 en passant par le 78 tours, le microsillon et le disque compact ; de l'histoire de l'industrie du disque, avec ses studios, ses ingénieurs du son, ses directeurs artistiques, ses producteurs ; de l'histoire des musiciens, qui ont vu les conditions d'exercice de leur art bouleversées par l'apparition de l'enregistrement sonore ; de l'histoire des publics enfin, dont on oublie trop souvent à quel point leur manière d'écouter la musique a, elle aussi, beaucoup évolué depuis le phonographe à pavillon jusqu'au baladeur numérique. Cette histoire foisonnante sera évidemment l'occasion de croiser chemin faisant les nombreux artistes, qui, tous styles confondus, ont contribué à faire de l'enregistrement musical un moyen majeur de diffusion de la musique : Enrico Caruso, Michael Jackson, Glenn Gould, les Beatles, Miles Davis, Charles Trenet, Elvis Presley, et bien d'autres.
Durée:4h. 41min.
Genre littéraire:Arts
Numéro du livre:24064
Résumé: Qu'est-ce qu'un bel édifice ? Quelle influence peut avoir l'architecture sur notre humeur ? Une maison peut-elle apporter le bien-être ou la sérénité ? Dans la plupart de ses livres, Alain de Botton s'intéresse à notre bonheur et cherche les moyens de nous rendre la vie plus harmonieuse. Il se penche ici sur notre cadre de vie et sur l'architecture des lieux où nous vivons et travaillons. En quoi l'un et l'autre influent sur notre mode de pensée, nos comportements, notre existence au quotidien, tel est le sujet de L'Architecture du bonheur. Avec une éblouissante érudition (et beaucoup d'humour), Alain de Botton nous entraîne à travers le monde, de Paris à Tokyo, de Londres à Brasilia, à la recherche de la maison idéale.
Durée:5h. 22min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32889
Résumé: C'est l'automne et Claire trouve dans les affaires que sa mère lui a léguées une lettre faisant mystérieusement mention de deux personnes qu'elle n'a jamais connues : Tatiana et Enzo. Intriguée, elle décide de mener l'enquête pour découvrir qui ils sont. Petit à petit, le mystère envahit son quotidien d'habitude si bien rangé et elle part sur les traces de ces deux inconnus, accompagnée d'un archiviste récemment rencontré. Le voyage qu'elle entreprendra la mènera sur les traces d'un passé inconnu qui la forcera à se redécouvrir. De l'Italie à la Suisse, des années 1960 aux années 2000, ce roman entre en résonnance avec la réalité de tant de personnes aujourd'hui: le déracinement, la recherche d'un lieu de paix et de travail, l'identité de celles et ceux qui se construisent entre deux lieux, les conflits mais aussi les rapprochements entre des êtres humains qui doivent apprendre, et réapprendre, à vivre ensemble