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L'année du chien

Résumé
David, gestionnaire de fortune travaillant dans une banque privée, a toujours mené une vie dont les valeurs principales sont l'ambition et le pouvoir ; il a une femme, Nat, que tous les hommes désirent. Et de l'argent, beaucoup d'argent. Mais un jour, à cause d'un séjour à l'hôpital pour soigner une grave maladie, sa soeur Lisa, la seule « humaniste » de la famille, demande à David de garder son chien auquel elle tient énormément... David s'ouvrira-t-il à d'autres valeurs ? Un roman sur le Bien et le Mal, qui habitent en chacun de nous, qui montre qu'un élément déclencheur anodin peut aussi nous sauver et faire basculer une existence dans la véritable humanité. Jean-Jacques Belet vit entre la Suisse et la Thaïlande. Après vingt-cinq ans passés dans le milieu de la finance, il se consacre à l'écriture et aux voyages. "L'Année du chien" est son premier roman.
Durée: 5h. 7min.
Édition: S.l., Jean-Jacques Belet, 2002
Numéro du livre: 12251

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Durée:5h. 39min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:72089
Résumé: Ô combien la vie peut être riche et aventureuse ! Ce recueil raconte la vie de treize personnages tout à fait ordinaires qui ont quitté leur pays – la Suisse – pour vivre des aventures extraordinaires. Au Sahel par passion pour le désert ; en Russie comme précepteur des enfants du dernier tsar ; à Paris puis à Londres grâce à la création de figurines de cire ; à Paris pour participer à la Révolution française ; en Egypte et ailleurs aux côtés de Napoléon ; dans le monde entier à bord des aéronefs de son invention ; en Grèce aux côtés de lord Byron et des révolutionnaires grecs. Madame Tussaud, Jean-Paul Marat, Regula Engel, Hans Jakob Meyer, Eduard Spelterini, Isabelle Eberhardt, Pierre Gilliard et les cinq autres protagonistes de cet ouvrage : des gens tout simples qui ont émigré pour chercher une vie meilleure dans le vaste monde. Ils croyaient en leurs capacités et ont suivi leurs rêves malgré les obstacles et les échecs
Lu par:Marie Meylan
Durée:7h. 1min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:68599
Résumé: Si j’excepte le séjour d’une année que je fis à Rome, où mes supérieurs de l’Abbaye de Saint-Maurice m’avaient envoyé pour y achever mes études théologiques, c’est à quarante-deux ans que je fis mon premier voyage, moi qui, depuis, n’ai cessé de parcourir les pays que j’aime, cherchant à y découvrir de nouveaux visages, des sagesses nouvelles, de nouveaux cœurs amis. A quinze ans j’ignorais l’existence des bananes, et c’est au couvent, âgé de plus de vingt ans, je m’en souviens, que je dégustai mon premier pamplemousse ! Quand j’étais petit, j’habitais donc la Gruyère, le Pays des herbes grasses, des foins luxuriants, le pays, par conséquent, où le lait, si ce n’est le miel, devait couler à flots, comme sur la terre de Canaan.
Lu par:Pierre Biner
Durée:10h. 5min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:68490
Résumé: Il a incarné à lui seul tout un pan du cinéma français des années 70-80, même s’il a continué de jouer jusqu’en 2015. Discrètement mais porté par l’assurance de son talent, il s’est imposé comme l’un des rares monuments authentiques du septième art. Les plus grands l’ont sollicité à leur côté : Buñuel, Clouzot, Hitchcock, Sautet, Melville, Chabrol, Resnais, Godard, Demy, Ferreri, Moretti, Costa-Gavras, Malle, De Broca, Lelouch, Boisset, Deville, Tavernier, Girod, Rouffio, Granier-Deferre, Doillon, Rivette, Ruiz, de Oliveira, Chahine, Miller, Larrieu, Carax, Angelopoulos… Une liste presque interminable que bien des comédiens peuvent lui envier. Car elle est unique. Cet incroyable parcours lui a permis d’accrocher à sa riche carrière des titres comme Le Mépris, César et Rosalie, La Grande Bouffe, Les Demoiselles de Rochefort, Vincent, François, Paul et les autres, Le Sucre, Le Charme discret de la bourgeoisie, Les Noces rouges, Le Trio infernal, Le Doulos… et pléthore d’autres. Non content d’accumuler les rôles puissants au cinéma, Michel Piccoli a brillé au théâtre.
Durée:5h. 17min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:67881
Résumé: Biographie Jean-Louis Kuffer revisite ses goûteux quartiers d’enfance. Entre un «bonheur de phrase» et la mécanique proustienne du souvenir, l’écrivain manie la magie des mots. Éloge de la mémoire en léger décalage. Il y a du Nabokov en Jean-Louis Kuffer, tant l’univers n’est rien pour l’un comme pour l’autre comparé à «un seul souvenir d’un individu et à son expression par des mots». Cela donne un recueil de textes brefs, où le lecteur est invité à emboîter le pas des phrases truculentes de Jean-Louis Kuffer pour rejoindre ici les chapeaux du grand-père et de l’écrivain Robert Walser, là les exotiques hauteurs lucernoises des années cinquante, ou encore un fumeux été 68, un spectateur atypique d’une gay pride, une épique et cruelle réunion littéraire sur un navire de la CGN, les paysages du Haut-Lac, Mlle Saligot à l’école, une peur érotico-freudienne du loup ou le «soliloque de Marcelin, l’ado-tramway». …Recréer l’instant, ce présent de légende, voilà ce goût immodéré pour l’écriture, pour les mots et les phrases, les plaisirs et les jours, quand «on est ici comme au bord du ciel, le dos à la forêt suspendue, à rêver à tous les bleus de là-bas». Dans l’universalité des petites légendes de Jean-Louis Kuffer, le présent s’affirme avec force. Le passé n’est que moyen de conjuguer ce souci de l’instant avec plus d’acuité. La lecture n’est donc pas là affaire de souvenir, mais d’imaginaire compréhension du présent. (…) Parce que, souligne Kuffer: «À un moment donné, plus rien ne compte qu’un certain bonheur de phrase.»
Durée:6h. 34min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:39508
Résumé: Bernard Schneider se livre. L’ancien président du tribunal du Val-de-Travers publie ses mémoires aux éditions Attinger sous le titre « Juge de campagne ». L’homme de 75 ans, aujourd’hui aveugle, dévoile une multitude d’anecdotes qui ont marqué son activité professionnelle au Vallon. Mais aussi avant son arrivée à Môtiers. Avocat à La Chaux-de-Fonds, il postule à la présidence du Tribunal de district du Val-de-Travers en 1978. Il s’installe dans l’appartement du concierge du Tribunal
Durée:20h. 1min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:75075
Résumé: L’image que nous gardons de Ludwig Hohl est celle d’un penseur vivant dans une cave à Genève, sous les pages manuscrites pendues à des ficelles. Anna Stüssi raconte les années errantes d’un insoumis qui ont précédé cette sédentarité. Ludwig Hohl n’a obtenu une certaine reconnaissance qu’à la fin de sa vie. Sa pensée, qui ne se contente pas de saisir les contours patents des phénomènes, est d’une incroyable modernité. Il l’a élaborée dans les années 1920-1930, loin de sa patrie. La biographie d’Anna Stüssi embrasse cette période-là de sa vie. Le jeune Hohl fuit l’étroitesse de la Suisse, d’abord à Paris, dans le quartier Montparnasse. Infatigable flâneur, il est toujours en route, dans les Alpes, à Marseille, Vienne et, finalement, dans la ville paisible de La Haye, où il fixe les contours d’une manière très personnelle de penser. Quand il revient en Suisse pour des raisons de détresse matérielle, il transporte dans une valise une oeuvre presque achevée: les mille pages des Notes. Anna Stüssi a travaillé sur de nombreux documents non publiés. Elle en a tiré le portrait sensible d’un individu qui ne cesse d’utiliser ses propres expériences et les circonstances menaçantes de l’époque pour les transposer avec une grande force poétique.
Durée:1h. 30min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:71589
Résumé: «Ce livre est destiné à ma fille, comme un fragment de sa propre histoire. Un morceau de mémoire qui, s’il s’éteint sans avoir été transmis, disparaîtra. Mais cette histoire est aussi pour vous. Finalement, Fernand, mon grand-père, pourrait être le vôtre et son parcours de vie déclencher l’ouverture de la porte…» Voici le récit et les faits d’armes d’un homme debout qui, du haut de ses 94 ans, coule des jours heureux à Genève. Après une enfance brisée, Fernand a réussi à se reconstruire. Enfant placé, pour fuir les internements administratifs, il s’engage à 16 ans dans la Légion étrangère ! Envoyé en Indochine, il reviendra quatre ans plus tard en Suisse, marqué à vie. Il est difficile d’évoquer ces années douloureuses à jamais gravées en lui. Sa petite-fille, aujourd’hui journaliste rassemble ici quelques souvenirs personnels et familiaux, couplés à des sources d’archives de première main. Orchestrés avec brio en de multiples aller-retours entre le passé de Fernand et le nôtre pour donner corps au travail de mémoire, les passages volontairement courts s’éclairent les uns les autres en une très belle mosaïque de vie.
Durée:2h. 55min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:34772
Résumé: Un père peut-il être un homme comme les autres ? Metin Arditi évoque le souvenir du sien, mort il y a vingt ans. En pélerinage dans les Grisons, où son père aimait aller, à sa table de travail, dans un bar d'hôtel, Metin Arditi rappelle à lui les souvenirs. Au fur et à mesure qu'ils reviennent, le portrait se précise, le non-dit s'entend, la vérité affleure. Revenant à son enfance stambouliote, il retrouve son père avec des yeux de petit garçon ébloui : un homme toujours élégant, admirable et admiré, héros d'une famille juive cosmopolite. Il revit ses onze années d'internat en Suisse, un inoubliable amour d'adolescent avec Géraldine Chaplin, les leçons de sagesse offerts par ce père qu'il voyait à peine, et notamment : "Les livres, c'est autre chose. » Au fil de l'écriture, il revient sur l'éloignement et ses déchirures, l'affrontement sur la question juive, et la quête de l'estime d'un père qu'il continue de chercher après sa mort. Un récit bouleversant, d'homme à homme.
Durée:14h. 3min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:20873
Résumé: « J'ai dû en franchir des barrières, des murs, des frontières, des pays, des préjugés et les aspects plus ou moins avoués du machisme. » Reporter, écrivaine et photographe, Laurence Deonna s'inscrit dans la lignée des grandes voyageuses : Isabelle Eberhardt, Ella Maillart, Anne-Marie Schwarzenbach. Née en 1937, elle leur succède. Autre temps. Autre parcours de vie. Un point commun : l'aventure. Vient s'y ajouter la franchise qui est le luxe de sa génération : une femme qui peut tout dire, ou presque, et même s'étendre sur ses amours-qui-ne-durent-pas-toujours. Son irrésistible sens de l'humour, joint à une volonté inoxydable, lui ont permis de survivre tant aux tragédies familiales, qu'à celles, parfois insoutenables, du terrain du reportage. Son éditrice l'a définie ainsi : « Ce n'est pas qu'une journaliste, c'est une créatrice. » Un fil rouge tisse ces Mémoires empreintes à la fois de légèreté et de gravité : le pacifisme, l'empathie et la compassion, particulièrement envers les femmes. Vétérane des années 60, Laurence Deonna a parcouru en solitaire des pays devenus depuis périlleux. Elle a connu des situations cocasses, comme de réussir à émouvoir le Conseil des Ministres du Yémen, en leur chantant « Les Feuilles Mortes » de Prévert et Kosma. Des situations hasardeuses, comme d'être la seule, en 1984, à pénétrer dans la redoutable prison politique d'Evine, à Téhéran. Elle s'est trouvée face à de cruels chefs d'Etat, comme Idi Amin Dada et Saddam Hussein, ou d'autres encore de la même veine sanglante. « Les êtres lumineux étaient souvent des sans-grades, eux restent dans mon cœur », dit-elle.
Durée:6h. 36min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:15464
Résumé:
Durée:1h. 20min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:15729
Résumé: Nous sommes dans le hall d'un luxueux hôtel de Saint-Moritz. La narratrice parle de son désir et de son attente comme d'un incendie sur la neige. Ena Berstein, la femme aimée, est une déesse inaccessible, dont la vision lointaine sèche la bouche et détruit le coeur. Dans sa postface, Alexis Schwarzenbach nous raconte comment il a retrouvé le manuscrit aux archives de Berne ; un vrai travail d'archéologue pour reconstituer un texte oublié et jamais répertorié. Voir une femme remplit aussi, du point de vue de son contenu, un espace que l'on croyait vide. Annemarie Schwarzenbach avait écrit à un proche, à 20 ans, qu'elle ne pouvait "aimer que des femmes avec une passion véritable". Or, avec la découverte de Voir une femme, il apparaît clair qu'Annemarie Schwarzenbach, à 21 ans déjà, avait écrit un texte de "coming out" soigneusement et sauvagement construit, où rien n'était dissimulé.
Durée:6h. 10min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:1666
Résumé: Elle avait onze ans, " Anna ", ce jour d'automne où elle vit pour la première fois cette ville faite de tuiles et de briques, de verdure éclatante, et puis ce lac " bistre " couvert de nuages. C'était une Milanaise de bonne famille qui avait perdu, trois ans auparavant, son père dans des circonstances atroces, et qui rejoignait sa mère, devenue femme de chambre dans une pension vaudoise. Elle vécut longtemps dans une pension pour fillettes italiennes. Un bien triste orphelinat que cette maison humide, exiguë, où l'on vous privait de manger à cause de trois grains de poussière trouvés sous votre lit. Elle était sise à la rue de la Rasude, à proximité des Imprimeries Réunies, où Anne venait parfois bavarder, en cachette, avec un gentil monsieur à cheveux gris qui lui remettait des feuilles blanches. Anne y calligraphiait des poèmes. Tous les matins, un douloureux cortège de petites gamines encerclées de religieuses grimpait les rues de la ville, de la Rasude à la Grotte, de Saint-François à la rue Pichard, de la rue Haldimand au Valentin. C'est là, à l'Ecole catholique, qu'Anne Cuneo trouva ses premiers germes d'épanouissement. Elle apprit le français mieux que personne, s'intéressa à la littérature, perdit la foi et découvrit le besoin de voyager.