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Ce lien qui ne meurt jamais

Résumé
Présentation de l'éditeur : " Aucun livre ne m'a autant coûté. Sa matrice est un journal intime que j'ai entrepris de tenir dès les premières semaines du deuil, après le suicide de notre fils Samuel, âgé de 24 ans... Au plus épais du brouillard qui avait alors avalé tous mes repères, il me semblait discerner quelques lucioles sur le sentier incertain que je suivais en funambule. Cinq ans plus tard, j'ai repris des éléments de ce document autobiographique en les rédigeant à la troisième personne, et en les accompagnant de méditations ou de réflexions formulées en "je". Déjà, j'avais commencé à aborder publiquement ces sujets demeurés largement tabous dans nos sociétés occidentales : la mort, le suicide, l'au-delà, notre rapport aux réalités invisibles... Et, chaque fois ces interventions suscitaient des confidences de la part de personnes bouleversées qui m'encourageaient à témoigner. Le chemin de vérité qui mène à une Vie plus forte que l'irréparable n'est pas l'apanage des croyants. Le clivage est ailleurs. Il dépend de l'orientation choisie : malgré ou à travers la mort de notre proche, désirons-nous ardemment aller vers ce qui vit ou décidons-nous d'étouffer ce désir en nous ? "
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 6h. 31min.
Édition: Paris, Albin Michel, 2007
Numéro du livre: 15208
ISBN: 9782226180506
CDU: 179.92

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Résumé:Parce que le siècle qui s'achève fut plus qu'aucun autre lardé de crimes collectifs, il lui faut des témoins. Et parce que l'imposture, soudée au crime, lui a survécu, il importe que ces témoins soient, par l'expérience, la culture, le désintéressement et le courage, dignes de foi. En voici un, qui étudie depuis bientôt quatre-vingt-treize ans les fureurs du temps, en éprouve sur elle les effets, et sait, de chaque épreuve affrontée, nourrir ses analyses du mal à venir. Des vices du régime colonial aux horreurs du système concentrationnaire, et de la pratique de la torture à l'usage du terrorisme ou de l'esclavage, elle a su éclairer l'une par l'autre les atteintes faites au genre humain, et créer une science de l'épreuve. C'est pourquoi jean Lacouture, qui la connaît, l'interroge et l'admire depuis plus de quarante ans, a voulu écrire la vie de Germaine Tillion, ethnographe, résistante de 1940, déportée à Ravensbrück, sociologue du nazisme, interlocutrice des combattants algériens, ennemie de la torture, avocate de l'émancipation de la femme méditerranéenne - vie qui manifeste à grands périls courus que tout témoignage est un combat, avec l'autre et pour l'Autre.
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Résumé:Publié pour la première fois en 1931 aux éditions Fasquelle, Emile Zola raconté par sa fille révèle les débuts dans la vie d’Emile Zola : son enfance à Aix-en-Provence, où il rencontre celui qui deviendra son plus proche ami, Paul Cézanne, ses débuts à Paris, où il écrit ses premiers textes, notamment du théâtre, et hésite entre le journalisme et la littérature. Il pratiquera les deux, avec la gloire que l’on sait. Ce livre, c’est aussi un témoignage inestimable sur l’intimité d’Emile Zola, jusqu’à son intimité littéraire : sa façon de travailler, par exemple. Denise Le Blond-Zola raconte comment il procédait pour préparer ses célèbres enquêtes « de terrain », entreprise indispensable à la rédaction de la plupart des romans des Rougon-Macquart. Ainsi découvre-t-on la rigueur et l’austérité auxquelles s’astreignait Zola, dans sa maison de Médan. Le labeur, mais aussi les joies, puisque sa fille revient sur les soirées passées avec des auteurs fameux, ses amis : Léon Daudet, Guy Maupassant, Yvan Tourgueniev, les frères Goncourt (ceux-ci jusqu’à un certain points, car ils étaient enragés de jalousie). Enfin, on constate de l’intérieur la violence à laquelle il a été confronté l’écrivain lors de l’Affaire Dreyfus. Denise Le Blond éclaire les coulisses de la publication de « J’accuse », du procès de son père et de sa décision de partir, une fois condamné, pour Londres. Et, bien sûr, sa mort tragique, dont le retentissement fut international, et dont on se demande aujourd’hui si elle n’a pas été un assassinat. Avec admiration, tendresse et rigueur, Denise Le Blond Zola fait revivre pour elle, pour nous, pour la littérature, un père attentionné, un citoyen courageux, un romancier.
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