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Lu par : Jacqueline Duperret
Durée : 10h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 36001
Résumé:"Mais à l'hôtel il en va autrement, l'hôtel est le lieu de leur intimité, celui où ils se regardent, où ils s'approchent, farouches et fiers, jusqu'à sentir rayonner la chaleur de l'autre, de sa peau, avant même de l'avoir touchée. Avant même de l'avoir vue, cette peau qui n'attend que la caresse." Paul, étudiant et gardien d'hôtel, est fasciné par Amélia, l'occupante de la chambre 313. Tout chez elle est un mystère, ses allées et venues comme les rumeurs qui l'entourent. Lorsque Amélia disparaît, Paul ignore qu'elle s'est rendue à Sarajevo, à la recherche de sa mère, d'un pan inconnu de son histoire - et de la nôtre : celle de la dernière guerre civile qui a déchiré l'Europe. Dans ce roman incandescent, Jakuta Alikavazovic évoque ce qui est perdu et ce qui peut encore être sauvé.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 1h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 36000
Résumé:Texte antérieur à l'écriture de la Recherche, Journées de lecture fut composé, dans sa première version, comme une préface à un ouvrage de l'auteur anglais John Ruskin. Y éclôt toutefois une poétique infiniment singulière, Marcel Proust esquissant là sa propre conception de l'expérience de lecture, et avec elle, déjà, de celle du temps qui passe. "Ce qui diffère essentiellement entre un livre et un ami, ce n'est pas leur plus ou moins grande sagesse, mais la manière dont on communique avec eux..."
Lu par : Martine Devolz
Durée : 8h. 48min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 35997
Résumé:L'ennemie irréductible d'Artemis, Opale Koboï, entreprend son oeuvre la plus maléfique : anéantir l'humanité et s'autoproclamer reine des fées. Pour parvenir à ses fins, elle va libérer une armée de guerriers enterrés sous le domaine des Fowl il y a plus de mille ans. Le combat n'a jamais été aussi inégal, l'issue désespérée, le risque fatal. Jusqu'où ira Artemis pour protéger sa famille, le capitaine Holly Short... et l'humanité ? Dernier acte et bouquet final : suspense insoutenable, humour décapant, imagination sans limite... pour le tome le plus émouvant et le plus apocalyptique de la série.
Lu par : Gilbert Bezençon
Durée : 2h. 12min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 35996
Résumé:Quatrième de couverture: "Ponctuées d'humour, de dérision et parfois d'une touche de suspense, les nouvelles de H.-D. Golay appartiennent résolument aux meilleures du genre. Mettant en scène des gens qui ressemblent étrangement à votre voisin de palier, à votre collègue de travail ou à telle ou telle personne que vous croisez chaque jour dans la rue, l'auteur nous restitue plus vrai que nature leur comportement face à une situation exceptionnelle. Assaisonnement d'événements tantôt drôles,l tantôt tragiques, ce recueil de dix nouvelles est à lire d'une traite sans trop se poser de questions quant aux réactions parfois étranges des protagonistes."
Lu par : Karine Croquelois
Durée : 3h. 28min.
Genre littéraire : Littérature érotique
Numéro du livre : 35995
Résumé:Sans même les regarder, Cécile savait que ses tétons se dressaient sous son corsage, sans qu'elle n'y puisse rien. Dès que la rame se vida un peu, elle s'écarta de la barre et fit glisser sa main le long de la tige de métal. Lorsque celle-ci atteignit la hauteur de ses seins, elle eut la surprise de sentir ses doigts buter sur un doigt qui n'était pas le sien. Le doigt de quelqu'un qui n'était pas elle, dont la dernière phalange avait pris position entre la barre et son sein droit, et dont l'ongle, à intervalles réguliers, répétés et timides, en titillait le téton. Elle n'avait aperçu que le doigt, n'avait pas regardé l'homme à qui il appartenait, et restait paralysée. Pour Cécile, depuis la disparition de son mari, c'est métro-boulot-dodo. Jusqu'au jour où, dans un wagon bondé à l'heure de pointe, un homme mystérieux lui procure une sensation délicieuse, semblable à un effleurement : moment volé au temps qui la fait renaître à la vie. Le roman d'une initiation à l'amour que la jeune femme va parcourir avec la plus grande maîtrise.
Pour une psychologie de l'éveil: bouddhisme, psychothérapie et chemin de transformation personnelle et spirituelle
Welwood, John
Lu par : Jean Perrenoud
Durée : 14h. 44min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 35753
Résumé:Un certain nombre de psychologues et de thérapeutes estiment que la fine fleur de la psychologie est l'équivalent de la quête métaphysique. Les partisans de la spiritualité affirment au contraire que celle-ci est d'un tout autre ordre. Faut-il renvoyer définitivement dos à dos les " psy " et les " spi ", les uns s'intéressant à l'amélioration du moi alors que les autres visent à l'effacement de celui-ci ?La double formation de John Welwood, pratiquant bouddhiste de longue date et psychothérapeute de métier, lui a permis de comprendre de l'intérieur ces deux démarches. Selon lui, une perspective qui honore la gamme complète de notre expérience doit inclure à la fois le domaine humain proprement dit - la personne authentique dont la vie évolue au sein de la dualité - mais aussi la liberté inconditionnelle où la dualité même est transcendée.Entre la tendance réductionniste qui amalgame des niveaux de réalité distincts et l'échappatoire qui consiste à utiliser des idéaux mystiques pour mieux dénier nos besoins vitaux, John Welwood nous montre la voie du juste milieu. Tout en soulignant leur spécificité, il montre comment spiritualité et psychologie peuvent agir en synergie pour que tout être en recherche puisse parvenir au plein déploiement de lui-même et à l'accomplissement de son destin profond.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 7h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35754
Résumé:"C'est sans danger", lui crie son père à l'oreille. Mais elle n'entend pas. Ni lui. Il lui crie qu'elle doit sentir avec son corps que l'île est immuable, même si elle tremble, même si le ciel et la mer sont chambardés, une île ne disparaît jamais, même si elle vacille, elle reste ferme et éternelle, enchaînée dans le globe lui-même. Oui, c'est presque une expérience religieuse qu'il veut partager avec sa fille en cet instant, il doit lui apprendre ce principe fondamental : une île ne sombre jamais. Jamais". Ingrid grandit sur une île minuscule du nord de la Norvège, au début du XXe siècle. La mer est son aventure. Entre la pêche, les tempêtes et la pauvreté, elle possède les saisons, les oiseaux et l'horizon. Les invisibles est un roman sur une famille et des enfants forcés de grandir vite face aux éléments, face à une vie réglée par les besoins les plus simples. C'est un roman sur la fatalité et sur les ressources que les hommes déploient face à la rudesse du monde. La narration laconique, veinée de flamboyance poétique, accumule par touches subtiles les composants d'un tableau toujours plus vivant et profond, riche en métaphores. Et puis, il y a les vies de ces hommes et de ces enfants qui, sous la pression de la nature et du temps, deviennent des destinées. Et c'est tout le talent de Roy Jacobsen de rendre visibles "les invisibles".
Lu par : Anne de Kalbermatten
Durée : 5h. 17min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35755
Résumé:Zâl, 20 ans, est un funambule qui se livre à des performances sur les réseaux sociaux. La jeune Téa vient tout juste de quitter sa famille. Quant à Andras, un vieil homme bourru qui a abandonné la Hongrie vingt-cinq ans plus tôt, il vit reclus sur son passé. Tous trois se rencontrent, apprennent à s'apprivoiser puis décident d'aller ensemble à un festival à Budapest.
Lu par : Françoise Golaz
Durée : 4h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35743
Résumé:Dans un village des Caraïbes, la légende d'un trésor disparu vient bouleverser l'existence de la famille Otero. A la recherche du butin du capitaine Henry Morgan, dont le navire aurait échoué dans les environs trois cents ans plus tôt, les explorateurs se succèdent. Tous, dont l'ambitieux Severo Bracamonte, vont croiser le chemin de Serena Otero, l'héritière de la plantation de cannes à sucre qui rêve à d'autres horizons. Au fil des ans, tandis que la propriété familiale prospère, et qu'elle distille alors à profusion le meilleur rhum de la région, chacun cherche le trésor qui donnera un sens à sa vie. Mais, sur cette terre sauvage, la fatalité aux couleurs tropicales se plaît à détourner les ambitions et les désirs qui les consument. Dans ce roman aux allures de conte philosophique, Miguel Bonnefoy réinvente la légende de l'un des plus célèbres corsaires pour nous raconter le destin d'hommes et de femmes guidés par la quête de l'amour et contrariés par les caprices de la fortune. Il nous livre aussi, dans une prose somptueuse inspirée du réalisme magique des écrivains sud-américains, le tableau émouvant et enchanteur d'un pays dont les richesses sont autant de mirages et de maléfices.
Lu par : Philippe Diserens
Durée : 7h. 29min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 35751
Résumé:Dès les premières pages, L'invention des corps s'élance dans le sillage d'Alvaro, jeune prof mexicain, surdoué de l'informatique, en cavale après les tragiques événements d'Iguala, la nuit du 26 septembre 2014 où quarante-trois étudiants disparurent, enlevés et assassinés par la police. Rescapé du massacre, Alvaro file vers la frontière américaine, il n'est plus qu'élan, instinct de survie. Aussi indomptable que blessé, il se jette entre les griffes d'un magnat du Net, apprenti sorcier de la Silicon Valley, mécène et apôtre du transhumanisme, qui vient de recruter une brillante biologiste française. En mettant sa vie en jeu, Alvaro s'approche vertigineusement de l'amour, tout près de trouver la force et le désir d'être lui-même. Exploration tentaculaire des réseaux qui irriguent et reformulent le contemporain - du corps humain au World Wide Web -, L'invention des corps cristallise les enjeux de la modernité avec un sens crucial du suspense, de la vitesse et de la mise en espace... [Prix de Flore 2017]
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 9h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35748
Résumé:Il avait compris que c’était au coeur de l’enfance – où se trament nos peurs et nos joies – qu’il devait retourner. C’était là qu’il retrouverait, dans les failles du temps, les souvenirs perdus le long du chemin, et les mots, les phrases qui leur rendraient un peu de leur éclat, réveilleraient en lui l’écho des jours anciens. Il se mit à la tâche, livré d’abord aux errances, aux tâtonnements, traquant des ombres, courant le pays, perdant et retrouvant ses chemins… On lui racontait des histoires qu’il essayait de relier entre elles. Parfois des lueurs perçaient la nuit, puis s’éteignaient : des bribes de vérités qui s’effritaient dans le vent. Il tirait sur le fil fragile des jours passés, espérant qu’il ne casserait pas. Il tentait de donner à sa vie l’allure d’une histoire, quelque chose qu’on pourrait raconter, une espèce de roman… Heureusement, il y avait Les Clairières ! RD
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 9h. 22min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 35746
Résumé:Man Ninotte, la mère de l'auteur, meurt le 31 décembre 1999. Cet événement emporte l'écrivain dans une vaste réflexion poétique sur la Martinique, les origines de l'homme, l'évolution contemporaine du monde. La vie de cette femme énergique et lyrique lui permet d'évoquer le destin du peuple antillais, depuis la cale des bateaux négriers jusqu'au cauchemar des plantations où les victimes durent inventer de nouvelles formes de résistance. Le livre se structure à partir d'évocations de la vieillesse, de la mort, des obsèques de Man Ninotte, qui permettent des explorations de la petite enfance de l'auteur, associée à de multiples origines, celles de la Caraïbe, celles des Amériques, celles de l'humanité. Le défi qu'il se lance - de mener de front un récit très intimiste, souvent bouleversant, sur sa famille, dominée non seulement par la mère, mais aussi par la soeur aînée surnommée "la Baronne", et une analyse qui remonte au temps préhistorique de l'Homo sapiens, jusqu'à une géopolitique de l'urbanisme, du paysage, du rapport entre les cultures - est parfaitement relevé, avec tendresse, humour et légèreté. Parfois intervient "la Baronne" à laquelle le narrateur s'adresse et qui apporte une touche de dérision à l'intellectualisme de son frère. Mais il n'en est pas perturbé et poursuit ses réflexions sur différents sujets : la mort, mais aussi les marchés, les petits magasins, les repas, les vêtements ,les carnavals, l'école, l'église, la danse et la musique. Avec en arrière-plan cette origine tragique (appelée "digenèse" par Edouard Glissant) qui n'est autre que le ventre du bateau négrier : lieu terrible d'une initiation à une autre poétique de l'existence au monde. "Ce que les poètes écrivent ne constitue que les décombres de ce qu'ils ont su vivre. Et ce qu'ils ont su vivre n'est que l'écume de ce qu'ils ont pu deviner et dont le manque leur reste à vie, comme le sillage d'une lumière". Celle sans doute d'un très grand livre. [Source : 4ème de couverture]
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 18h. 16min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 35749
Résumé:Au Vietnam et en Californie, de 1975 à 1980. Avril 1975, Saïgon est en plein chaos. A l'abri d'une villa, entre deux whiskies, un général de l'armée du Sud Vietnam et son capitaine dressent la liste de ceux à qui ils vont délivrer le plus précieux des sésames : une place dans les derniers avions qui décollent encore de la ville. Mais ce que le général ignore, c'est que son capitaine est un agent double au service des communistes. Arrivé en Californie, tandis que le général et ses compatriotes exilés tentent de recréer un petit bout de Vietnam sous le soleil de L.A., notre homme observe et rend des comptes dans des lettres codées à son meilleur ami resté au pays. Dans ce microcosme où chacun soupçonne l'autre, notre homme lutte pour ne pas dévoiler sa véritable identité, parfois au prix de décisions aux conséquences dramatiques. Et face à cette femme dont il pourrait bien être amoureux, sa loyauté vacille... [Prix Pulitzer, Prix du meilleur livre étranger 2017]
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 35750
Résumé:Banni de la communauté juive à 23 ans pour hérésie, Baruch Spinoza décide de consacrer sa vie à la philosophie. Son objectif ? Découvrir un bien véritable qui lui « procurerait pour l’éternité la jouissance d’une joie suprême et incessante. » Au cours des vingt années qui lui restent à vivre, Spinoza édifie une œuvre révolutionnaire. Comment cet homme a-t-il pu, en plein XVIIe siècle, être le précurseur des Lumières et de nos démocraties modernes ? Le pionnier d’une lecture historique et critique de la Bible ? Le fondateur de la psychologie des profondeurs ? L’initiateur de la philologie, de la sociologie, et de l’éthologie ? Et surtout, l’inventeur d’une philosophie fondée sur le désir et la joie, qui bouleverse notre conception de Dieu, de la morale et du bonheur ? A bien des égards, Spinoza est non seulement très en avance sur son temps, mais aussi sur le nôtre. C’est ce que j’appelle le « miracle » Spinoza
Lu par : Martine Moinat
Durée : 8h. 28min.
Genre littéraire : Science-fiction
Numéro du livre : 35744
Résumé:Le monde entre dans l’âge de glace, il neige à Jérusalem et les icebergs dérivent le long des côtes. Pour les jours sombres qui s’annoncent, il faut faire provision de lumière – neige au soleil, stalactites éclatantes, aurores boréales. Dylan, géant barbu et tatoué, débarque au beau milieu de la nuit dans la petite communauté de Clachan Fells, au nord de l’Écosse... Dans ce petit parc de caravanes, il rencontre Constance, une bricoleuse de génie au manteau de loup dont il tombe amoureux, et sa fille Stella, ex-petit garçon, en pleine tempête hormonale, qui devient son amie. Autour d’eux gravitent quelques marginaux, un taxidermiste réac, un couple de satanistes, une star du porno. Les températures plongent, les journaux télévisés annoncent des catastrophes terribles, mais dans les caravanes au pied des montagnes, on résiste : on construit des poêles, on boit du gin artisanal, on démêle une histoire de famille, on tente de s’aimer dans une lumière de miracle. Dans ce roman éblouissant au lyrisme radical, peuplé de personnages étranges et beaux, Jenni Fagan distille une tendresse absolue qui donne envie de hâter la fin du monde. [Source : éditeur]
Lu par : Eline Roess
Durée : 12h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35747
Résumé:Quand les destins de Cristian et de Domenico croisent celui de Maddalena, toutes les certitudes s'évaporent, toutes les valeurs se perdent, pour donner naissance à une passion lourde de non-dits et de jalousie, coups de théâtre, trahisons et réconciliations. Car Cristian Chironi et Domenico Guiso ont grandi comme deux frères : ils partagent tout, la famille, l'école, le travail. Ce sont les années quatre-vingt, les années de la modernisation de la Sardaigne, mais aussi du terrorisme, une période de violence politique et de spéculation immobilière, de culte de l'individualisme et du profit roi. La famille Chironi est à l'apogée de son ascension sociale, ce qui n'empêche pas le sort de continuer à s'acharner contre elle. Si Cristian et Maddalena semblent faits l'un pour l'autre, c'est à Domenico que cette dernière, enceinte, est promise. Cristian a-t-il encore sa place à Nuoro ? Sa compromission dans une sombre histoire de trafic d'armes semble indiquer le contraire. Est-ce un piège tendu par les Guiso, père ou fils, pour des raisons économiques ou par vengeance ? On le croit mort, on le retrouve en Lettonie... Quoi qu'il en soit, le fils de Maddalena semble porter en lui la "génétique sans pareil " des Chironi.
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 9h. 18min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 35752
Résumé:"Dans cet univers de négation, la force de l'espérance a été ma source de survie." Raphaël a 18 ans lorsqu'il s'engage dans la Résistance. Le 8 janvier 1944, il est arrêté, torturé et emprisonné, avant d'être transféré au camp de Drancy. Il y croise une jeune femme, Liliane Badour, dont il tombe amoureux. A l'arrivée à Auschwitz, après la "sélection", il est désigné pour le travail forcé tandis que Liliane entre au camp de Birkenau. Alors que tout est organisé autour de la disparition systématique de la vie, Raphaël nourrit l'espoir de revoir Liliane. Avec l'aide d'autres prisonniers, il parvient à lui écrire et tente de la sauver. Plus d'une fois, Raphaël est miraculeusement épargné : il échappe à la chambre à gaz, à la pendaison après une évasion manquée, il survit aux marches et aux trains de la mort. A sa libération, il part à la recherche de Liliane. "Là-bas, nous disions que si quelques-uns s'en sortaient, notre seul devoir serait de raconter. Par respect pour les morts et pour le bien de la société." Simone Veil.
Lu par : Christiane May-Sudan
Durée : 9h. 23min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 35745
Résumé:New York, 1970. Shawn Pepperdine, jeune de Harlem, assiste horrifié au meurtre de son meilleur ami. Pour échapper aux assassins, il trouve refuge dans les sous-sols du Dakota, l'immeuble le plus mythique de Manhattan. Dans une ville en pleine ébullition, le Dakota reste, lui, immuable : un club très fermé, un château médiéval sur Central Park, un havre de paix des " rich and famous ". S'y côtoient Lauren Bacall, Leonard Bernstein et Rudolph Noureev. Ici, Polanski tournera les images du film Rosemary's baby. Devenu le premier portier noir du Dakota, Shawn côtoie ses résidents : Nigel, Abigail, Nathan, Cherie, Becky, Andrew, Tyler, et les autres. Quand la plus grande star du monde, John Lennon, emménage à son tour, l'immeuble et sa communauté s'enflamment... Dakota Song raconte l'histoire d'un jeune homme écartelé entre deux mondes et les destins entremêlés de sept New-Yorkais amoureux fous de leur ville. Un portrait survolté d'une Amérique en pleine révolution artistique, intellectuelle et sexuelle, celle de la Beatlemania et du disco, du Studio 54 de Warhol et du Chelsea Hotel, du scandale du Watergate et d'une décennie de violences.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 13h. 32min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 35741
Résumé:En 1985, dans les montagnes hostiles du Tyrol du Sud, trois jeunes gens sont retrouvés morts dans la forêt de Bletterbach. Ils ont été littéralement charcutés pendant une tempête, leurs corps tellement mutilés que la police n’a pu déterminer à l’époque si le massacre était l’oeuvre d’un humain ou d’un animal. On se transmet de génération en génération de terribles histoires sur cette forêt de Bletterbach. Trente ans plus tard, Jeremiah Salinger, réalisateur américain de documentaires marié à une femme de la région, entend cette histoire et décide de partir à la recherche de la vérité. À Siebenhoch, petite ville des Dolomites où ils se sont installés, les habitants font tout — parfois de manière menaçante — pour qu’il abandonne ses recherches. Même son beau-père, Werner, ancien responsable de la brigade de secours alpin, qui a découvert les trois cadavres. Même sa femme, inquiète pour la sécurité de son mari et de leur fille Carla. Le triple meurtre est comme porteur d’une malédiction. Comme si, à Bletterbach, une force meurtrière qu’on pensait disparue s’était réveillée. Une force aussi ancienne que la Terre elle-même.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 15h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 35739
Résumé:Le roman le plus engagé de Dickens. Les Temps difficiles, ce sont les débuts de la révolution industrielle qui transforme l'aimable campagne anglaise en un pandémonium d'usines, de canaux, d'installations minières, de fabriques, d'entrepôts, de banlieues misérables où vit à la limite de la survie le prolétariat le plus exploité qui sans doute fût jamais. Sous un ciel de suie, Coketown, la ville du charbon (Manchester en réalité), est d'autant plus l'image de l'enfer que la classe ouvrière n'y est pas encore organisée et qu'elle apparaît ainsi comme la victime toute désignée de politiciens sans scrupules et d'une bourgeoisie, parfois compatissante et troublée dans son confort moral, mais toujours persuadée de la divinité de ses droits. Le roman de Dickens correspond point pour point à l'analyse qu'en ces mêmes années et dans cette même Angleterre, Fr. Engels entreprenait de la naissance du capitalisme moderne.