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La folie d'amour: entretiens avec soeur Emmanuelle

Résumé
Soeur Emmanuelle, qui a vécu vingt-deux ans pauvre parmi les pauvres d'un bidonville du Caire, s'est peu exprimée sur sa relation intime avec le Dieu qui nourrit son action humanitaire. Comment faire partager en effet ce qui est l'ordre de l'incommunicable? Quels mots conviennent pour l'expérience spirituelle?
Durée: 8h. 59min.
Édition: Paris, Flammarion, 2005
Numéro du livre: 14072
ISBN: 9782082105286
CDU: 280

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Durée : 6h. 27min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 30779
Résumé:Les principaux thèmes de cette nouvelle encyclique, très attendue, sont l'écologie humaine et l'écologie naturelle. "Vous ne pouvez pas aimer Dieu sans aimer ce qu'il a créé. (...) L'Eglise ne s'occupe pas directement de l'environnement, mais elle attire l'attention sur la question. L'Eglise doit accompagner l'humanité et l'Encyclique ira dans cette direction." Le pape fait aussi observer qu'il n'y a pas de respect de la Création sans renouveau du coeur de l'homme : "Mais cela n'est possible que si Adam - l'homme formé de la terre - à son tour se laisser renouveler par l'Esprit Saint, s'il se laisse remodeler par le Père sur le modèle du Christ, nouvel Adam." - Thèmes : Pollution - Bouleversement climatique - Eau - Perte de la biodiversité - Détérioration de la qualité de vie humaine - Dégradation sociale - Inégalité planétaire - Sagesse des récits bibliques - Mystère de l'univers - Destination commune des biens - La racine humaine de la crise écologique - Technologie - Crise et conséquence de l'anthropocentrisme moderne - Ecologie intégrale (économique, sociale, culturelle, quotidienne) - Bien commun - Justice entre les générations - Politique internationale - Education et spiritualité écologique - Miser sur un autre style de vie - La conversion écologique - Joie et paix - Trinité
Lu par : Jean-Luc Dupuis
Durée : 3h. 7min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 70347
Résumé:Questions posées aux chrétiens par la Covid-19 Nous connaissons tous des crises dans nos vies. Celle qu'a provoqué la Covid-19 a la particularité d’être commune aux populations du monde entier. En essayant de réfléchir à un certain nombre de réactions que cette crise a suscitées en nous et autour de nous, nous pouvons peut-être nous préparer à en affronter d'autres. Or, au-delà de l’angoisse légitime qu’elle suscite, cette crise sanitaire pose aussi de réelles questions théologiques. Dieu a-t-il envoyé cette maladie comme un avertissement ? Peut-il nous en libérer ? À qui peut-on faire confiance pour ne pas être paralysés par la peur de l’avenir ? Vouloir tout maîtriser est-il une solution face à ce genre de crise ? Que devient notre liberté quand nous devons nous plier à des règles de plus en plus strictes pour freiner la propagation du virus ? Le salut est-il dans plus d’individualisme ou plus de solidarité ?
Durée : 5h. 49min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 69871
Résumé:Etre rabbin, c’est vivre avec la mort : celle des autres, celle des vôtres. Mais c’est surtout transmuer cette mort en leçon de vie pour ceux qui restent : « Savoir raconter ce qui fut mille fois dit, mais donner à celui qui entend l’histoire pour la première fois des clefs inédites pour appréhender la sienne. Telle est ma fonction. Je me tiens aux côtés d’hommes et de femmes qui, aux moments charnières de leurs vies, ont besoin de récits. » A travers onze chapitres, Delphine Horvilleur superpose trois dimensions, comme trois fils étroitement tressés : le récit, la réflexion et la confession. Le récit d’ une vie interrompue (célèbre ou anonyme), la manière de donner sens à cette mort à travers telle ou telle exégèse des textes sacrés, et l’évocation d’une blessure intime ou la remémoration d’un épisode autobiographique dont elle a réveillé le souvenir enseveli. Nous vivons tous avec des fantômes : « Ceux de nos histoires personnelles, familiales ou collectives, ceux des nations qui nous ont vu naître, des cultures qui nous abritent, des histoires qu’on nous a racontées ou tues, et parfois des langues que nous parlons.
Lu par : Paula Viala
Durée : 9h. 55min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 26126
Résumé:Dans ce livre, j'ai tout d'abord relaté les circonstances qui m'ont mise en contact avec le monde religieux lamaïste et celui des sorciers de tout genre qui gravitent autour de lui. Ensuite, je me suis attachée à grouper un certain nombre de traits saillants concernant les théories occultes ou mystiques et les pratiques d'entraînement des Tibétains... Mon but a simplement été de donner une idée de la manière dont sont envisagés, dans un des pays les moins connus du monde, certains faits rentrant dans le champ des études psychologiques.
Durée : 5h. 53min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 71964
Résumé:Zarathoustra a-t-il existé, quand et où a-t-il vécu ? Quels sont les textes sur lesquels reposent sa religion et que disent-ils ? Quelles sont les principales notions et figures qui composent le panthéon zoroastrien ? Quels sont les rituels importants – cérémonies funéraires ou rites d’initiation – et les fêtes qui rythment le calendrier zoroastrien ? Enfin qui sont les zoroastriens, aujourd’hui et dans l’histoire ? Telles sont les questions auxquelles Michael Stausberg, professeur de sciences religieuses à l’université de Bergen (Norvège) et spécialiste du zoroastrisme, répond dans cet ouvrage clair et concis, en faisant appel aux plus récents travaux d’édition de textes avestiques et moyen-perses, ainsi qu’aux études ethnographiques menées auprès des communautés zoroastriennes de par le monde.
Lu par : Vincent Daugé
Durée : 9h. 27min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 70975
Résumé:Le croisement des conceptions de Foucault et celles de Lefort sur la modernité s'accompagne, dans cet ouvrage, d'une analyse des différences entre l'image d'une société travaillée par les technologies disciplinaires et celle marquée par l'émergence de la démocratie moderne, comme mutation symbolique profonde. La problématisation des relations entre le pouvoir et le corps, des comportements et des actions des individus, chez Foucault, s'articule autour de l'examen, chez Lefort autour des différences des formes de sociétés et des principes générateurs des relations que les hommes entretiennent entre eux et avec le monde. Un point de convergence important apparaît toutefois chez les deux penseurs : la question des foyers disséminés de contestation, des résistances et des conditions de la liberté, comme réel enjeu de nos sociétés contemporaines.
Durée : 4h. 11min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 33646
Résumé:Figure du sage appelant à l' « insurrection des consciences » et au refus de toute aliénation consumériste, Pierre Rabhi est aujourd'hui le chantre de la sobriété librement consentie. Servis par un indéniable sens de la formule, ses appels à la modération et au respect de la terre emportent une adhésion considérable.Devenu un porte-parole de l'agroécologie pensée comme une éthique de vie mais aussi un philosophe du changement de paradigme, il ne s'était cependant jusqu'alors jamais exprimé sur nombre de sujets touchant autant à sa biographie et à son expérience qu'à son regard sur le monde et l'histoire. Nostalgie, peur et amour, violence, hospitalité et migration, libéralisme, démocratie et politique, Sahara, Europe et Israël, Krishnamurti, Albert Einstein et René Dumont, Shoah, guerre de 1914 et « Marseillaise », OGM et privatisation du vivant figurent parmi les thèmes abordés « en toute liberté ».Cet abécédaire intime vient à point pour éclairer les racines de sa propre « insurrection » et de son intime conviction : en nous changeant nous-mêmes, nous pouvons changer le monde.
Lu par : Emmanuel Berjot
Durée : 11h. 56min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 29625
Résumé:Aborde les étapes et symboles du baptème et met l'accent sur l'importance de l'identité baptismale de tout chrétien, qu'il soit prêtre, ou laïc, religieux, diacre ou évêque.
Durée : 3h. 59min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 21702
Résumé:« [...] Et j'aime mieux vous dire tout de suite qu'il s'agit d'un traité I té définitif. Avant lui des broutilles, des tentatives maladroites, des égarements fâcheux, et c'est la planète tout entière qui continue de vagabonder de paniques, en fourvoiements. Or nous sommes tout de même en 2001,'' et il serait grand temps de faire quelque chose. On n'a que trop tardé. Que depuis trente mille' ans on recule pour mieux sauter, 'soit, je veux bien l'admettre. Mais un jour advient où trop, c'est trop, et où il est impérieux ,de saisir le taureau par les cornes. Par cette métaphore j'ai nommé la Vie, et ses mystères. Ses lots de questions insolubles et notre démarche chancelante faite de millions de bourdes inlassablement répétées. Alors qu'il est si simple, avec un petit traité tout bonnement efficace, de diriger valeureusement nos pas. Alors qu'il est si facile, en quelques cent feuillets, d'apporter un soulagement à nos errances. »
Durée : 7h. 28min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 24496
Résumé:L'athéisme en tant qu'il nie l'existence de Dieu ou la divinité de Jésus n'est pas le pire refus de Dieu possible. D'aucuns ont trouvé Dieu et pourtant ne le servent pas, le servent d'autant moins. Ils se perdent dans la mesure même où ils l'ont trouvé. Ceux-là ne sont pas athées, ils reconnaissent tous les articles de la foi catholique et, néanmoins, refusent Dieu de la manière la plus radicale, en connaissance de cause. Ceux-là surpassent l'athéisme et nous découvrent un lieu plus ténébreux, d'autant plus ténébreux qu'il se sert de la lumière pour épaissir ses ténèbres. Tel est le lieu du démoniaque. Il concerne premièrement les démons, sans doute, mais un chrétien ne saurait l'ignorer, car il désigne aussi une possibilité tragiquement sienne, celle d'une perdition qui s'ouvre au coeur même de la chrétienté. Le démoniaque n'est pas tant de vouloir le mal, que de vouloir faire le bien sans obéir à un autre, de vouloir faire le bien par ses seules forces, dans un don qui prétend ne rien recevoir, dans une espèce de générosité qui coïncide avec le plus fin orgueil.
Lu par : Michel Guesdon
Durée : 13h. 44min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 24107
Résumé:Il existe, au sud du département de la Vendée, une étroite bande de plaine qui fut longtemps regardée comme étrangère et païenne par cette autre partie qui constitue la Vendée profonde et traditionnelle : le bocage vendéen. L'antagonisme entre ces deux régions était tel que les curés issus du bocage étaient portés à se considérer comme bannis par leur évêque lorsqu'ils étaient nommés à une paroisse de la plaine. Et que sera créée, dans la première moitié du XXe siècle, une société de religieux qui se donnèrent pour but d'évangéliser cette contrée impie : les missionnaires de la plaine. L'opposition entre plaine et bocage tenait en partie à la géographie. Le bocage vendéen, pays de terres exigeantes et de lourds labours, au relief accidenté, avait produit des hommes rudes, farouchement attachés à leurs traditions. Les gens de la plaine au contraire, habitués à tirer profit d'une terre moins ingrate, passaient aussi pour être de moeurs moins sévères. L'histoire elle-même a contribué à forger ces différences. Au début du XVIIIe siècle, sous l'impulsion du père de Montfort, le bocage vendéen fit l'objet d'un important travail d'évangélisation, auquel échappèrent peu ou prou les habitants de la plaine. Ce qui explique sans doute que ceux-ci soient restés à l'écart des guerres qui allaient ravager la Vendée pendant la Révolution.
Lu par : Catherine Garcia
Durée : 6h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 21877
Résumé:Notre expérience s'est pensée, en Europe, à partir d'une séparation de plans : vital/moral/spirituel ; même ce verbe le plus élémentaire, " nourrir ", a été pris dans la scission du concret et du symbolique : nourrir son corps ou nourrir son âme (dans Platon et les Pères de l'Eglise). Or, en suivant cette expression commune en Chine de " nourrir la vie ", nous voici conduits à remonter à l'inséparation de ces plans ; comme, en lisant le grand penseur de l'Antiquité chinoise, Zhuangzi, à creuser l'écart avec l'idéal grec de la connaissance ainsi qu'avec l'idée du bonheur, conçu comme finalité. Le Sage est sans destination et même sans aspiration ; il " évolue " dans le tao, est-il dit, " tel le poisson dans l'eau "... Certains de nos partis pris les plus massifs s'en voient ébranlés, et d'abord ceux de l'" âme " et du " corps " : si nourrir sa vie peut se dire de façon unitaire, c'est d'abord qu'on nourrit le plus foncièrement en soi le " souffle-énergie ". Se profile alors une autre intelligibilité - à dégager du mysticisme suspect dans lequel les marchands du " développement personnel " voudraient aujourd'hui nous plonger. Ou de ce que le zen est plus intelligent que ce que nos panneaux publicitaires en ont fait.