Marité « Sors de table, va dehors! »

Quatrième de couverture: Le personnage s'était comme évanoui dans la nuit, comme si son nom avait été rayé de la distribution des rôles. Sans l'état civil et un document irréfutable parvenu jusqu'à moi par miracle, ce Livret de service établi par le bureau de recrutement de la Légion étrangère, dont j'aurais à tirer quelques enseignements, chacun de ses descendants eût été en droit de douter de son existence en qualité de pater familias. Après tout, tant de braves ?lles furent engrossées par des enjôleurs sans nom. Donc ce Voisard-là fut bel et bien. Mais qui était-il, notre grand-père des oubliettes? Dans le ?ou de sa légende, je le vois, moi, Voisard dit «Quéquan» de la troisième génération, je le vois qui me fait signe de sa pauvre lanterne parmi les brumes où il est censé avoir disparu, ces bruines acides des souvenirs que les vivants repoussent comme des mouches. Je le suis dans sa nuit où ­l'étoile du Berger lui aura de tout temps fait faux bond.

Quatrième de couverture: A une époque où la figure de l'enseignant semble avoir perdu prestige et crédibilité, Fabio Pusterla - professeur de lycée et poètes parmi les plus reconnus de sa génération - a choisi de raconter ce métier en partant du bas, du quotidien, du rapport direct avec la classe et avec l'adolescent dans sa singularité. Entre récit, méditation et pamphlet, ce livre se propose d'offrir quelques pistes de réflexion pour ne pas oublier la valeur et le sens de l'école. Cette institution qui, malgré ses difficultés, constitue un bien commun indispensable, encore à même de produire ces " gouttes de splendeur " dont Fabrizio De André parlait dans une célèbre chanson.

Quatrième de couverture: Entre souvenir et évocation...

Quatrième de couverture: La Part des anges raconte la vie d’un homme qu’un mal invisible déstabilise. Mais tout ne disparaît pas. Daniela Hersch-Tausky nous tient en haleine car elle déploie peu à peu les pièces du puzzle. L’inattendu est au rendez-vous, la bienveillance et l’amour n’ont pas de frontières.

Quatrième de couverture: Ma face Poker, explore un univers qui aurait pu être sombre, avec des cartes mal distribuées au départ. Et pourtant... "Et si c'était ça le secret?" se questionne Caroline Mauron, recueilleuse de récits de vie. L'incroyable personnalité d'Anouchka, bien décidée à faire abstraction de sa myopathie, l'éblouit. A votre tour de vous laisser subjuger.

Quatrième de couverture: Le récit d’une amitié Ce récit aurait pu s’intituler comme David l’avait suggéré : «David avant et après avec Olivier». Car oui, ce texte est une création commune. David s’y raconte puis Olivier entre à son tour dans la ronde.

Quatrième de couverture: Souvenirs d'enfance de deux grands-mamans, l'une issue d'une famille paysanne en terre fribourgeoise, l'autre d'une famille vaudoise dont le père était instituteur de campagne

Quatrième de couverture: « La vie de Romane est extra-ordinaire. A neuf ans, presque dix, son existence bascule, sa vie se retrouve suspendue, fra­gile, à un fil. Elle s’accroche, chaque jour devient un combat pour la vie. Ce livre est le récit de l’inattendu, de tous les imprévus qui nous font prendre conscience d’une évidence : la vie est extra-ordinaire. C’est aussi un récit choral faisant une place à ceux et celles qui accompagnent chaque jour cette renaissance et dont la parole est encore trop souvent enfermée dans un silence pesant. Un livre qui fait réfléchir et dérange parfois pour la franchise de son propos. L’histoire d’un mercredi pourtant ordinaire qui marque une fracture entre un avant et un après. »

Quatrième de couverture: Ce livre raconte le quotidien de la famille Plattner, composée des parents et de 3 enfants en bas âge, dont 2 présentent des troubles autistiques.

Quatrième de couverture: 17 juin 1990. Jean Marzon est victime d'un accident. Sa vie change à tout jamais. Il est laissé pour mort en bordure d'une sortie d'autoroute. Son histoire touchante met en lumière les difficultés mais aussi les joies après une lésion cérébrale.

Quatrième de couverture: Traversée par l’autoroute depuis près de soixante ans, la ville de Morges l’a été plus longtemps encore par les éclats de voix et les éclats de rire d’Alfred Friderici. Directeur avec son frère Paul de la plus grande structure de transport routier en Suisse, le Grand Fred, qui se présentait toujours comme chauffeur, se dépensa sans compter pour les siens, pour ses amis, son métier et son entreprise. Seule celle-ci, qui lui échappa finalement, ne lui rendit pas ce qu’elle avait reçu de lui. Son fils Pierre, avec la complicité du journaliste Jean Steinauer, raconte la vie ordinaire d’un homme qui ne l’était pas, et soulève le capot des poids lourds. Voici des aventures picaresques, des personnages hauts en couleurs, des secrets de famille et des luttes de pouvoir. Chabrol aurait adoré.

Quatrième de couverture: Quelle voix donner à la douleur ? Quelle voix donner à cet invisible qui met le corps au supplice, qui transforme les nuits et les jours en un brasier immense, consumant toute force, toute envie ? Du cri jusqu'au murmure, dans l'urgence d'une respiration nouvelle, l'auteur lui donne ici une voix dont l'écho fait battre le coeur : celle de l'espoir.