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J'ai couru vers le Nil

Résumé
Au Caire en 2011, les destins des militants Asma et Mazen, des étudiants Khaled et Dania, d'Achraf l'acteur raté et de sa domestique Akram, du communiste désabusé Issam et de sa femme Nourhane, présentatrice de télévision ambitieuse. Liés les uns aux autres, chacun vit la révolution égyptienne à sa façon, entre dissidence, fidélité au régime, actes de lâcheté et engagements héroïques.
Durée: 14h.
Édition: Arles (Bouches-du-Rhône), Actes Sud, 2018
Numéro du livre: 65439
ISBN: 9782330109042

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Lu par : André Cortessis
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Résumé:Elles sont grandes darnes ou simples bourgeoises, débutantes ou femmes du monde. Elles vivent à la Renaissance, en pleine Révolution française, au début ou à la fin du XIXe siècle. Elles fréquentent que les rois, que les anarchistes, que les philosophes. Le plus souvent, elles sont éclipsées par leur père. par leur frère, par leur mari, voire par leur créature. Mais leur point commun n'est pas leur sexe :c'est le courage avec lequel elles s'élancent dans le vide - celui de la page blanche - pour découvrir en vol des espaces inconnus. Le portrait que Virginia Woolf consacre à chacune d'entre elles fait à chaque fois vibrer une sensibilité unique, précieuse, plus rare que ne furent jamais les diamants. Son livre n'est pas celui d'une militante. De salons en imprimeries, dans la paisible campagne de Madame de Sévigné ou parmi l'activité bouillonnante des poètes métaphysiques, Virginia Woolf, si rarement à l'aise en société, ne construit pas un mausolée aux Grandes Dames. Parmi les figures éternelles du génie féminin, la plus drôle d'entre elles se choisit des amies, simplement.
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Genre littéraire : Société/économie/politique
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Résumé:Après le retour à un pouvoir autoritaire en Égypte et l’écriture du roman J’ai couru vers le Nil, consacré aux acteurs de la révolution égyptienne, Alaa El Aswany s’est livré à une réflexion fouillée sur la dictature, qu’il nous expose ici. Inlassable chroniqueur et militant de la cause démocratique, fervent pédagogue, il conduit une analyse clinique de la dictature, tant comme système idéologique que comme réalité persistante et insoutenable pour de nombreux peuples. Il ne s’agit pas d’une autopsie de la démocratie, mais bel et bien de la radiographie d’un mal récurrent à la fois dans notre histoire et dans notre monde contemporain. En neuf chapitres, étayés par de nombreux faits et anecdotes historiques, il étudie le syndrome, ses causes, ses symptômes, sa propagation, la prévention possible. Concret, précis, volontiers provocateur, toujours libre, l’auteur, qui s’attaque aux racines du mal, et rappelle ce faisant que la dictature est loin d’être l’apanage des pays arabes, délivre également un message d’espoir, professant sa confiance en l’humanité. Et fait, en filigrane, une nouvelle déclaration d’amour à son pays, l’Égypte, et à ses compatriotes.
Durée : 7h. 36min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:Au début des années 1990, Iman Mersal découvre chez un bouquiniste «L’Amour et le Silence», l’unique roman d’Enayat Zayyat, publié en 1967 et tombé dans l’oubli. Elle ignore tout de son autrice, si ce n’est qu’elle est morte avant d’avoir pu le publier. Vingt ans plus tard, elle se lance dans une enquête qui va s’étaler sur plusieurs années pour essayer de savoir qui était Enayat Zayyat et de comprendre ce qui a amené cette jeune femme de bonne famille à se donner la mort à vingt-sept ans. Elle glane des bribes d’information dans les archives de la presse, rencontre l’actrice Nadia Lutfi, la plus proche amie d’Enayat, puis des parents et des connaissances. De proche en proche, elle accède à des couches de vérités toujours parcellaires, parfois contradictoires, qui composent un puzzle dont elle sait d’emblée qu’il restera incomplet. Le refus de l’éditeur est-il vraiment la cause de son suicide ? À quand remontait son trouble dépressif ? Quel rôle ont joué dans cette dépression son divorce, la perte de son fils dont le père avait obtenu la garde, ou encore l’éloignement de Nadia Lutfi ? Pourquoi ce suicide alors qu’elle venait d’être embauchée à l’Institut archéologique allemand du Caire pour un travail qui la comblait ?