Contenu

A ma mère: correspondance d'enfants devenus grands

Résumé
Balzac, Céline, Sartre, K. Blixen, Napoléon, les lycéens fusillés de Buffon, Kafka, Catherine de Russie... des lettres réunies qui révèlent les relations mère-enfant.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 9h. 19min.
Édition: Paris, Carrère :, 1988
Numéro du livre: 34168
ISBN: 9782868044969
CDU: 301

Documents similaires

Durée:6h. 37min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:31005
Résumé: Un livre rassurant, par un psychothérapeute expérimenté, pour vous préparer intérieurement, émotionnellement et affectivement à vivre la maternité à votre façon, avec votre personnalité, avec votre histoire, avec votre tradition familiale. Parfois, on désire un enfant, mais on craint de ne pas être une bonne mère ; avec Patrick Estrade, toutes les questions sont normales et toutes les réponses sont simples.
Durée:12h. 8min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:65443
Résumé: Elles n’auraient jamais dû se rencontrer : Priya, américano-indienne, mariée à un riche Américain, à l’avenir tout tracé aux États-Unis, et Asha, petite paysanne indienne, mariée à un brave homme couvert de dettes, deux enfants, sans argent et sans avenir. Priya sait qu’elle ne sera jamais mère. Elle sait aussi qu’en Inde on peut facilement recourir aux « services » d’une mère porteuse, il suffit de payer. Et le mari d’Asha a entendu parler de ce qu’il faut bien appeler un « commerce ». La machine ne sera pas longue à se mettre en marche. Ce roman, très émouvant, n’est pas écrit pour porter un ou des jugements. Il raconte l’histoire, puis le face-à-face, pas toujours facile, de ces deux femmes que tout sépare et que va réunir ce qu’il y a de plus beau, de plus important : un enfant.
Durée:7h. 36min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:16699
Résumé: Imaginez une mère calme, sereine. Les coups du sort ne l'ébranlent pas. S'il lui arrive de manquer de sagesse ou de compassion, elle ne perd pas son temps à culpabiliser : elle se dit simplement qu'elle fera mieux la prochaine fois. Elle a le rire facile. On loue sa douceur, sa gentillesse, sa lucidité, son esprit de décision. Ses enfants l'adorent. En sa présence, ils se sentent bien, valorisés, compris... Avec simplicité, naturel, franchise et sens pratique, Sarah Napthali, mère de deux enfants, montre que le bouddhisme peut offrir aux femmes des clés, des outils pour gérer au quotidien les émotions, canaliser la colère et, tout en étant pleinement là, présentes, dans les moments importants de leur vie, ne pas se laisser envahir par les enfants.
Durée:2h. 32min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:15666
Résumé: Huit auteurs écrivent à leur mère. Ils s'appellent Charles Baudelaire, Ernest Hemingway, Marcel Proust, William Faulkner, Jean Cocteau, André Gide, Henry James, Antoine de Saint-Exupéry. Ils sont jeunes comme Cocteau ou Faulkner, adultes comme Baudelaire ou Proust. Dans ces lettres affleurent l'amour, la tendresse, l'humour, mais aussi les conflits, parfois violents, l'incompréhension entre ces deux êtres, une mère et son fils, qui ont des liens à nul autre pareils. Toutes ces lettres sont différentes mais toutes portent la marque de ce qu'il faut bien appeler la passion.
Durée:4h. 11min.
Genre littéraire:Psychologie/médecine
Numéro du livre:39321
Résumé: Cette étude montre comment les erreurs, les manquements, l'indifférence et la maltraitance d'une mère vulnérable, narcissique ou toxique, peuvent avoir des conséquences réelles sur l'enfant devenu adulte et peuvent compromettre ses liens affectifs comme sa capacité à devenir parent à son tour.
Durée:5h. 10min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:34998
Résumé: Elles s’appellent Luisa Valls, Anne Fillon, Pierrette Le Pen, Jeanine Mélenchon, Viviane Le Maire, Andrée Sarkozy ou Emma Bayrou… Qui sont les mères des femmes et des hommes politiques ? Ont-elles forgé leur caractère, et jusqu’à quel point ? Bernard Pascuito et Olivier Biscaye sont allés à la rencontre de ces femmes simples qui ont élevé leurs enfants à des destins d’exception. Riche de récits inédits et de souvenirs surprenants, ce livre dévoile des secrets longtemps gardés et nous plonge au cœur d’une relation énigmatique entre fusion, affection, admiration et parfois tension. Plus que tout, il éclaire la psychologie de nos élus et nous laisse entrevoir, au gré des univers insoupçonnés où se sont inventées des vocations hors norme, les mystères d’une enfance qui les a façonnés.
Lu par:Claude Fissé
Durée:14h. 23min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:19303
Résumé: Au fil de ces 266 lettres, c'est toute la vie de Robert Walser, de ses débuts presque enchantés jusqu'aux sombres années de silence littéraire, qui prend un relief nouveau. Écrites à Zurich, Berlin, Bienne, Berne et Herisau, adressées à ses sœurs, à ses éditeurs, mais aussi à deux femmes, Frieda Mermet, qui fut sa muse et sa confidente, et la toute jeune Therese Breitbach, elles sont des pièces essentielles de son atelier d'écriture ; habitées de tendresse et de colères, d'intransigeance, d'indépendance, d'humour, d'ironie, d'un constant goût de vivre, elles donnent un coup de projecteur sur la carrière et le combat étonnant de l'un des écrivains les plus brillants et les plus mystérieux de la littérature moderne.
Durée:41min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:14249
Résumé: C'est l'une des lettres les plus célèbres de toute la tradition épistolaire occidentale. L'une des plus belles, l'une des plus essentielles aussi. On y a vu l'invention du paysage. Pétrarque, poète et ecclésiastique à la cour papale, a trente deux ans en 1336 lorsqu'il rédige cette lettre à l'attention de son confesseur. Cela fait plus de dix ans qu'il vit à Avignon et que Laure l'a éconduit. Le mont Ventoux appartient au spectacle naturel de la région à laquelle Pétraque est si attaché depuis son enfance. Pic d'une crise spirituelle, le récit de son ascension est celui d'une formidable expérience dont il découvre la portée allégorique. La réconciliation de Pétrarque avec l'ordre du monde et la splendeur de dieu...
Lu par:Julie Janet
Durée:5h. 58min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:39505
Résumé: Mais qui guette qui ? Lorsque le narrateur découvre dans l’appartement de sa mère le manuscrit d’un polar qu’elle avait entamé, « Le Guetteur », il est intrigué. Des recensements de cigarettes fumées, les pneus des voitures voisines crevés - comment vivait cette femme fantasque et insaisissable ? Elle qui aimait le frisson, pourquoi s’est-elle coupée du monde ? Elle a vécu à Paris avec pour seul compagnon son chien Chips. Maintenant qu’elle est morte, le mystère autour d’elle s’épaissit. Alors il décide de la prendre en filature. Et de remonter le temps. Est-ce dans ses années d’études à la Sorbonne, en pleine guerre d’Algérie, où l’on tracte et l’on se planque, que la jeune femme militante bascule ? Le Guetteur est le roman bouleversant d’une femme qui s’est perdue. La quête d’un fils qui cherche à retrouver sa mère. La confirmation d’un grand écrivain.
Durée:5h. 19min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:17566
Résumé: De la marquise de Sévigné, on a voulu faire une mère ayant souffert du mariage de sa fille. Désespérée par l'éloignement de sa " chère bonne " devenue comtesse de Grignan, elle aurait cherché une consolation dans une correspondance régulière avec celle-ci. Ce monument d'amour contrarié ne doit pas pour autant faire oublier les autres correspondants : Bussy, Ménage, Mlle de Scudéry, Madame de La Fayette... Par-delà les hasards de la chronique, ce choix de lettres veut rappeler que toute écriture est à la fois son propre sujet et son propre objet. Il faut lire Madame de Sévigné comme si l'encre n'avait pas encore séché sur ses feuillets : c'est un magnifique écrivain de langue française.
Durée:10h. 28min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:30188
Résumé: " Ma chère mère, Si tu possèdes vraiment le génie maternel et si tu n'es pas encore lasse, viens à Paris, viens me voir, et même chercher. Moi, pour mille raisons terribles, je ne puis pas aller à Honfleur chercher ce que je voudrais tant, un peu de courage et de caresses. À la fin de mars, je t'écrivais : Nous reverrons-nous jamais ! J'étais dans une de ces crises où on voit la terrible vérité. Je donnerais je ne sais quoi pour passer quelques jours auprès de toi, toi, le seul être à qui ma vie est suspendue, huit jours, trois jours, quelques heures. [...] Toutes les fois que je prends la plume pour t'exposer ma situation, j'ai peur ; j'ai peur de te tuer, de détruire ton faible corps. Et moi, je suis sans cesse, sans que tu t'en doutes, au bord du suicide. Je crois que tu m'aimes passionnément ; avec un esprit aveugle, tu as le caractère si grand ! Moi, je t'ai aimée passionnément dans mon enfance ; plus tard, sous la pression de tes injustices, je t'ai manqué de respect, comme si une injustice maternelle pouvait autoriser un manque de respect filial ; je m'en suis repenti souvent, quoique, selon mon habitude, je n'en aie rien dit. Je ne suis plus l'enfant ingrat et violent. De longues méditations sur ma destinée et sur ton caractère m'ont aidé à comprendre toutes mes fautes et toute ta générosité. Mais, en somme le mal est fait, fait par tes imprudences et par mes fautes. Nous sommes évidemment destinés à nous aimer, à vivre l'un pour l'autre, à finir notre vie le plus honnêtement et le plus doucement qu'il sera possible. Et cependant, dans les circonstances terribles où je suis placé, je suis convaincu que l'un de nous deux tuera l'autre, et que finalement nous nous tuerons réciproquement. Après ma mort, tu ne vivras plus, c'est clair. Je suis le seul objet qui te fasse vivre. Après ta mort, surtout si tu mourais par une secousse causée par moi, je me tuerais, cela est indubitable. Ta mort, dont tu parles souvent avec trop de résignation, ne corrigerait rien dans ma situation ; le conseil judiciaire serait maintenu (pourquoi ne le serait-il pas ?), rien ne serait payé, et j'aurais par surcroît de douleurs, l'horrible sensation d'un isolement absolu. Moi, me tuer, c'est absurde n'est-ce pas ? [...] Adieu, je suis exténué. Pour rentrer dans les détails de santé, je n'ai ni dormi, ni mangé depuis presque trois jours ; ma gorge est serrée. - Et il faut travailler. Non, je ne te dis pas adieu ; car j'espère te revoir. Oh ! lis-moi bien attentivement, tâche de bien comprendre. Je sais que cette lettre t'affectera douloureusement, mais tu y trouveras certainement un accent de douceur, de tendresse, et même encore d'espérance, que tu as trop rarement entendus Et je t'aime."
Durée:4h. 20min.
Genre littéraire:Essai/chronique/langage
Numéro du livre:21424
Résumé: "Ne crois pas, ne crois pas, Alfred, que je puisse être heureuse avec la pensée d'avoir perdu ton cœur. Que j'aie été ta maîtresse ou ta mère, peu importe. Que je t'aie inspiré de l'amour ou de l'amitié ; que j'aie été heureuse ou malheureuse avec toi, tout cela ne change rien à l'état de mon âme à présent. Je sais que je t'aime et c'est tout. Veiller sur toi, te préserver de tout mal, de toute contrariété, t'entourer de distractions et de plaisirs, voilà tout le besoin et le regret que je sens depuis que je t'ai perdu." George Sand à Alfred de Musset, Venise, le 15 avril 1834.