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A ma mère: correspondance d'enfants devenus grands

Résumé
Balzac, Céline, Sartre, K. Blixen, Napoléon, les lycéens fusillés de Buffon, Kafka, Catherine de Russie... des lettres réunies qui révèlent les relations mère-enfant.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 9h. 19min.
Édition: Paris, Carrère :, 1988
Numéro du livre: 34168
ISBN: 9782868044969
CDU: 301

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Résumé: Rapide, imaginative, douée du sens de l'impromptu, forte d'une gaîté d'autant plus sûre qu'elle relevait d'un pessimisme radical, la marquise du Deffand (1696-1780) fut, de son vivant, célèbre pour son salon, où se réunissaient hommes politiques, philosophes. A l'âge de 56 ans elle devient aveugle. Dès lors, elle traverse en recluse la longue nuit des années qu'il lui reste à vivre. La parole demeure son seul mode d'être. Mme du Deffand élève à la hauteur d'un art son amour de la conversation - un art dont il ne nous resterait nulle trace sans sa correspondance qui nous restitue à l'état vif le brillant, l'acéré de son esprit. " Mme du Deffand est avec Voltaire, dans la prose, le classique le plus pur de cette époque, sans même en excepter aucun des grands écrivains ", écrit Sainte-Beuve. Les lettres de la marquise à celui qu'elle considère comme le dernier détenteur du bon goût sont un modèle de style, d'humour et de lucidité. S'y déploient, avec une rare élégance, le génie de la langue française et celui de l'amitié.
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Résumé: Plus de quinze ans s'écoulent entre la première lettre échangée entre André Malraux et Albert Camus le 30 octobre 1941 et l'ultime billet envoyé par ce dernier à son ami. Durant cette période, Albert Camus est devenu cet "écrivain important" qu'André Malraux avait pressenti dès la lecture du premier manuscrit de L'Étranger, et le militant enthousiaste du théâtre du Travail d'Alger, un intellectuel engagé et reconnu mondialement. Le jeune homme, qui envoyait timidement à son aîné son premier recueil de textes, a reçu le prix Nobel de littérature. Le brillant compagnon de route du Parti communiste, quant à lui, s'est rallié au gaullisme et en est devenu le fervent propagandiste. Tandis que le Prix Goncourt de 1933 s'est détourné du genre romanesque pour se consacrer à ses écrits sur l'art, Albert Camus, qui a connu à son tour le succès avec La Peste, s'est investi avec passion dans la voie du théâtre, si étrangère à André Malraux. Trente-six lettres, des rencontres et des échanges, pour passer de "l'admiration" à la "pensée amicale" : Albert Camus grandit sans renier le "maître de sa jeunesse" tout en trouvant sa propre voie ; André Malraux poursuit sa réflexion et réalise ses rêves de destin historique. Estime et attention réciproques marquent ces échanges épistolaires et ces écrits prenant leur source dans la genèse éditoriale et littéraire d'une grande oeuvre.