Contenu

L'ombre et le mal dans les contes de fées

Résumé
Les deux compagnons L'anima et le renouvellement Le renoncement du moi Le voyage au-delà des mers La grande mère et l'unité Les niveaux archaïques du mal La possession par le mal La rencontre avec les puissances du mal Le mal " chaud " et le mal " froid " A la recherche du cœur magique Le noyau de la psyché Le mariage du roi et de la reine
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 14h. 47min.
Édition: Paris, Éd. Jacqueline Renard, 1990
Numéro du livre: 30895
ISBN: 9782907963107
CDU: 844

Documents similaires

Lu par : Maud Tremblais
Durée : 4h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66510
Résumé:Une étude consacrée aux composantes masculines et féminines des contes de fées, respectivement symbolisées par l'animus et l'anima, deux concepts aux avatars variés : vieillards, princes, déesses, sorcières ou encore animaux.
Lu par : Monique Gay
Durée : 7h. 22min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 20609
Résumé:Dans une interview publiée dans La Quête du sens, Marie-Louise von Franz évoque le point de départ de sa recherche sur les rêves et la mort : « Après tout ce qu'on a dit de la mort — il y a une vie après la mort, il n'y a pas de vie après la mort —, après toute la littérature que nous avons maintenant sur la mort, il était naturel pour moi de me dire : "Pourquoi est-ce que personne ne regarde les rêves ? Qu'est-ce que les rêves disent de la mort ?" » Comme toujours, Marie-Louise von Franz focalise son attention sur les rêves et leurs messages. Car seuls les rêves peuvent proposer une réponse individuelle aux grandes questions métaphysiques, seuls les rêves permettent, par des images et par un langage autre que celui du conscient, d'ouvrir la voie à la profondeur, lui conférant une dimension sacrée.
Lu par : Louis Belon
Durée : 4h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28710
Résumé:" Un Anneau pour les gouverner Un Anneau pour les trouver et dans les ténèbres les lier Au pays de Mordor où s'étendent les ombres. " Le Seigneur des Anneaux tirerait-il sa fascination de la puissance poétique qui émane de ces vers ? Son succès proviendrait-il de sa capacité à légitimer, en l'universalisant, l'attrait pour la guerre et la mort ? A l'innocence d'Adam et d'Eve, voulant goûter d'un fruit " bon à manger, agréable à regarder ",Tolkien oppose un récit où le mal fascine pour ce qu'il est et non pour le bien que, par ruse, il promet. Pourquoi ? On a souvent reproché au Seigneur des Anneaux de véhiculer une idéologie conservatrice, misogyne et raciste. Qu'en est-il exactement ? En créant une " race " si " perfide " qu'il faut l'exterminer, Tolkien l'a-t-il dotée de suffisamment d'irréalité pour ne pas être soupçonné de racisme ? Qui se cache derrière Gollum ? Caïn ? Caliban ? Ou bien encore " l'homme d'en-bas ", l'homme du peuple, déchu pour avoir voulu revendiquer le pouvoir et les richesses ? Enfin d'où vient le regain d'intérêt pour un ouvrage écrit il y a près d'un demi-siècle ? S'appuyant sur les analyses de Foucault, Lévi-Strauss et Ricœur, mais également de Jean Cohen, Luc Ferry ou Pierre Macherey, cet essai se propose de répondre à ces questions.
Durée : 1h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18846
Résumé:D'un côté, une foi demeurée vive, un profond appétit de pureté et un grand désir d'aimer Dieu accompagné de la terreur de la damnation éternelle ; et, de l'autre côté, l'ardeur des passions charnelles, leur attrait irrésistible, les tentations obsédantes, etc. Ces inconciliables partis se heurtent dans l'âme de l'adolescent. Maurras soulève ici des thèmes universels : la religion et à travers elle le doute religieux ainsi que la question du mal sur laquelle chacun de nous s'interroge avec plus ou moins de scandale et d'anxiété.
Lu par : AVH
Durée : 5h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 73791
Résumé:La philosophe s'inspire de La peste d'A. Camus pour dénoncer l'inhumanité de la société contemporaine. Elle propose une lecture du roman et une série de portraits de ceux qu'elle qualifie de pestiférés du XXIe siècle. Elle regrette l'incapacité à percevoir l'inhumain au-delà de ses manifestations spectaculaires.
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 36737
Résumé:Entre la vie d’Aga et celle d’Alix, il y a près de 6 000 ans, quelque deux cent cinquante générations: d’un côté, le temps, déjà fort lointain, du premier village, créé par une aveugle imaginant l’avenir au bord d’un lac amoureux des montagnes; et, de l’autre, le temps actuel d’une planète de plus en plus globalisée qui, à force de fracas, devient sourde à la nature. Entre ces deux vies, il y a aussi des traits d’union, des échos que l’on peut entendre si l’on écoute avec le cœur, qui résonnent – du Jura aux Alpes, mais aussi dans les villes et les océans, et même sur une île bretonne aux oiseaux – pour transporter les valeurs de fidélité et de liberté ; qui montrent enfin que la clé de l’avenir du monde et des êtres humains réside dans la capacité de conjuguer les différences. Comme on le fait là ou lac et montagne se parlent.
Lu par : Jean Frey
Durée : 2h. 48min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 17891
Résumé:Livre posthume dans lequel l'auteur mène son propre interrogatoire sur l'écriture, la littérature, le sexe, Dieu, la mort, la foi protestante, la jouissance des corps, etc. "- Qui vous autorise à parler en initié de votre propre mort ? Tant que je vous interroge, sachez-le, je ne tolérerai pas que vous en usiez avec la mort comme Guignol se joue des gendarmes ! - Je ne me moque ni de mourir, ni de la mort, ni de ma poussière de mort. Quelque chose en moi, qui parle de retour, me donne irrésistiblement la force de remonter de la poudre où je serai diffus à une espèce de parole, peut-être de voix, un souffle, un glissement d'air où les mots ne sont plus inaudibles mais deviennent précis, à nouveau doués de forme, de son, et capables de s'organiser en phrases. Disons qu'ils sont silencieux, qu'ils se tiennent à hauteur d'oreille entre l'absence et l'écho, et voici, vous les entendez, je vous l'avais dit : "Je reviendrai." "
Lu par : Claude Fissé
Durée : 57min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 31537
Résumé:Lecteur presque omnivore, Robert Walser était séduit par le roman populaire, ses ficelles et ses maîtres, Stendhal, Balzac, Sue et Dumas. Sans être vraiment bilingue, mais ayant grandi à la frontière des langues, il les lisait en français. Plusieurs proses écrites à Berne à la fin des années 1920 s'inspirent de petits romans à l'eau de rose parus sous couverture illustrée. Walser lit assidûment ces brochures à deux sous, écrites et produites en série (collection « Le Petit Livre », chez Ferenczi): il s'interroge, résume, parodie, s'approprie leurs intrigues et se délecte de la moralité ambiguë de ces récits aux titres suggestifs. Ce Minizoé présente et commente trois de ces proses, dont l'une est inspirée par « Le Semeur de larmes », un roman signé Sim, un pseudonyme de Georges Simenon.
Lu par : Pascale Fischer
Durée : 3h. 59min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 33626
Résumé:Une vingtaine de villes suisses en perpétuelles mutations sont décrites par des écrivains qui ont un lien particulier et affectif avec celles-ci. Ce renouvellement du regard est bienvenu car souvent le lien que l'on entretient avec notre lieu d'habitation est marqué par le poids des habitudes. Et, avec les villes qui se trouvent à l'autre bout de la Suisse, on entretient parfois des préjugés par méconnaissance. Ce tour de Suisse non-dénué de charme et d'ironie invite le lecteur à modifier la perception qu'il a de lui-même et à voir ses voisins sous une autre lumière. Livre heureux et bienvenu où comme l'oiseau, on sautille de branche en branche, de découvertes en découvertes.
Durée : 2h. 47min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 70704
Résumé:En vingt-cinq brefs tableaux, une auteure parcourt sa vie, prenant pour repe`res ses propres livres. Elle re´crit son ve´cu, le change et le renouvelle, apporte aux heures sombres des touches claires. Elle joue. Une e´criture re´fle´chie, tendue, qui s’interroge sur les liens parentaux ou passionnels, faillibles, parfois douloureux. Reconnaissances est une reconnaissance de dette. Dette envers les lieux et les e^tres propices, envers la chance aux multiples visages, dette infinie envers le vivant.
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 5h. 52min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 65004
Résumé:"Je décris dans cet essai sur les îles et les villes un projet de système politique issu de mes réflexions monomaniaques concernant la vie en société dans un Etat idéal – à tous les niveaux – que je refaçonne sans cesse. Convaincu que certaines idées peuvent être réalisées, je tiens à les éclaircir pour mieux les communiquer. Pour mieux m’en désapproprier. D’ailleurs, rien ne me fait plus plaisir de constater, parfois, que certaines de ces propositions que je croyais originales se concrétisent déjà dans l’actualité – ou l’ont été dans le passé. Alors, je me sens comme l’inventeur en spéléologie qui découvre une grotte préhistorique ; il n’a rien créé, il a trouvé. En fait, on n’invente jamais rien à partir de rien ; on déterre quelque chose qui existait sans qu’on le sache, que ce soit par ignorance personnelle ou générale. Puis on pousse plus loin la trouvaille pour voir où cela conduit. Hasard et nécessité dans l’univers en expansion. Bref, comprendre ou inventer (après avoir beaucoup tâtonné) c’est du pareil au même. Eurêka ! Tout en m’efforçant d’élaborer une pensée cohérente, je raconte par-ci par-là certains épisodes de mon parcours qui ont accompagné ces cogitations. Pour faire image par du vécu, car l’image fixe l’idée. Y a photos." (Michel Bory)
Lu par : Jean Frey
Durée : 3h. 58min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66033
Résumé:Jacques Chessex (1934 - 2009) est l’auteur d’une œuvre considérable. Romancier à succès, Prix Goncourt (L’Ogre, 1973), Prix Goncourt de la poésie (Allegria, 2004), Grand prix Jean-Giono (Le Vampire de Ropraz, 2007), il était autant un poète délicat qu’un nouvelliste subtil, un pamphlétaire redoutable qu’un épistolier savoureux. Entre mars 2000 et août 2001, il fut chaque quinzaine chroniqueur pour le newsmagazine de Suisse romande L’Hebdo. Au final, une trentaine de textes personnels, nés du mariage entre l’air du temps et l’intemporalité. D’une vivacité et d’une élégance d’écriture rares, ces chroniques, jamais encore rassemblées pour publication, évoquent son amour de la peinture, du jazz, de la littérature, du cinéma et quelques amitiés fortes. Parce qu’une chronique, «C’est justement le lieu où l’on dit «je» dans le temps qui passe».