Carnets d'un vaincu: Scolies pour un texte implicite
Résumé
C'est de la vérité d'une idée dont nous devons nous réjouir, non de son triomphe. Car aucun triomphe ne dure.
Lu par :
Bertrand Baumann
Genre littéraire:
Essai/chronique/langage
Mots-clés:
Littérature colombienne
Durée:
3h. 5min.
Édition:
Paris, Arche éditeur, 2009
Numéro du livre:
30733
Produit par:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9782851816979
CDU:
860
Documents similaires
Lu par : Françoise Sellem
Durée : 10h. 47min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 74182
Résumé:Le journalisme a été la grande affaire de la vie de Gabriel Garcia Marquez. Ses années de formation ont été consacrées au métier de reporter qu’il exerçait avec une passion jamais démentie, et son œuvre littéraire en découle dans une filiation revendiquée par lui. La présente anthologie rassemble donc 50 textes de la période journalistique de l’homme qui recevra le Prix Nobel de Littérature en 1982, et nous offre un éclairage passionnant sur le parcours du grand écrivain colombien. Le lien narratif entre journalisme et littérature semble évident à la lecture de ces textes courts, qu’il s’agisse de scènes de la vie quotidienne, de brèves histoires poétiques, de chroniques poli-tiques sur les Sandinistes et l’élite politique colombienne, ou de réflexions intitulées « Le fantasme du Prix Nobel » ou « Comment écrire un roman ». Un portrait de Hemingway, un autre de Fidel Castro, des évocations de Paris, Mexico ou Bogota complètent ce choix de textes dont on ne peut qu’admirer la hauteur de vue et surtout le rythme. Gabriel Garcia Marquez fut ce grand conteur de l’Histoire aussi bien dans ses romans que dans ses écrits dits journalistiques.
Lu par : Bernard Grandjean
Durée : 7h. 10min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72170
Résumé:Qu'est-ce qui fait de nous des êtres capables de créer ? Lorsque Diderot écrit que "les grands artistes ont un petit coup de hache dans la tête", il consacre une idée qui traverse les époques et les cultures, celle d'un lien entre folie et créativité. Qu'il s'agisse de la mélancolie selon Aristote, de la tempête des passions selon les Romantiques ou du manifeste surréaliste, tous célèbrent ce lien, au point de considérer la folie comme l'ordinaire des grands hommes. Pourtant l'idée ne résiste guère à l'expérience quotidienne du psychiatre.
Lu par : Stéphane Meuleau
Durée : 7h. 33min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29318
Résumé:Raymond Chandler (1888-1959) est aujourd'hui célèbre non seulement pour ses écrits policiers des années 1940 et 1950, mais aussi pour son rôle majeur dans l'émergence du filin noir comme genre, que ce soit en tant que scénariste ou en tant qu'auteur de "polars" qui furent très souvent adaptés au cinéma sous cette forme. Mais ce genre "noir", qu'il s'agisse du roman ou du film, Chandler a également contribué à le faire évoluer selon sa propre sensibilité, pour introduire certaines innovations visant à dépasser le cadre strict de la littérature populaire. Cet ouvrage propose de lire le traitement du genre par l'auteur comme le reflet non seulement de sa propre histoire personnelle binationale (britannique et américaine) mais aussi de sa vision de la société de l'époque et de la littérature. On verra ainsi comment Marlowe, le détective récurrent de Chandler, nous parle à travers ses enquêtes non seulement de l'énigme proprement dite mais aussi de l'Amérique des années 1930 et de la dépression économique, des conflits entre classes sociales, du genre policier lui-même et des rapports entre réalité et fiction. Le film noir, dans ses adaptations des romans, prolonge (et modifie parfois) la vision particulière de l'auteur, et l'on verra que le cinéma peut agir ici comme révélateur du texte policier et de ses présupposés. A travers ces thèmes récurrents, Chandler ne cesse de fustiger l'artificialité d'une société et d'un mode de vie qui, plus qu'une simple toile de fond pour ces énigmes criminelles, apparaissent souvent comme le sujet véritable de son oeuvre.
Lu par : Christian Auvray
Durée : 5h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72850
Résumé:L'auteur, cycliste professionnel et diplômé en philosophie, fait le parallèle entre sport de haut niveau et société. Il évoque un univers hiérarchisé, ses jeux de pouvoir et ses services échangés. Il met en lumière les multiples incohérences et contradictions qui en résultent.
Lu par : Marie-Christine Mével
Durée : 2h. 42min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66910
Résumé:Dans le sillage des Pensées de Pascal citées en exergue, Bleuets est un objet hybride quelque part entre l’essai, le récit, le poème. Deux cent quarante fragments composent cette méditation poétique, intime et obsessionnelle autour d’une couleur, le bleu. Le deuil, le sentiment amoureux, la mélancolie sont autant de thèmes chers à Maggie Nelson ici abordés dans une maïeutique convoquant l’art et la beauté entre deux digressions introspectives ou savantes, des fantasmes de l’auteure à des approfondissements autour de la pensée de Platon ou de Goethe, en passant par l’oeuvre d’un Warhol ou d’un Klein ou la musique de Leonard Cohen. Laissons-nous séduire par cette déclaration d’amour fou à une couleur, un livre à ranger précieusement entre les Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes et Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman. « Et si je commençais en disant que je suis tombée amoureuse d’une couleur. Et si je le racontais comme une confession ; et si je déchiquetais ma serviette en papier pendant que nous discutons. C’est venu petit à petit. Par estime, affinité. Jusqu’au jour où (les yeux rivés sur une tasse vide, le fond taché par un excrément brun et délicat enroulé sur lui-même pareil un hippocampe), je ne sais comment, ça a pris un tour personnel. »
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 7h. 4min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 18544
Résumé:Qui n'a pas, une saison ou l'autre de la vie, tenu son journal personnel ? Et pas seulement de jeunes adolescentes ou des écrivains confirmés. Vous, moi, tout le monde... En lançant un appel dans Le Magazine littéraire, en avril 1988, Philippe Lejeune, spécialiste de la littérature personnelle, a eu la chance de recevoir les témoignages de quarante-sept diaristes - c'est un coup de sonde dans un univers d'écriture méconnu -, quarante-sept personnes qui racontent l'histoire de leur journal, décrivent leurs pratiques, expliquent ce qu'elles en attendent. Ce sont ces documents que rassemble ici Philippe Lejeune. Ils sont si éloquents, si variés qu'ils forcent à poser et à reposer toutes les questions qui touchent à l'écriture personnelle. Quiconque tient un journal ou s'interroge sur le genre pourra difficilement ignorer cette gerbe de témoignages d'inconnues en si profond accord avec l'humeur du temps. L'entreprise de Philippe Lejeune, indépendamment des résultats qu'elle a suscités, est originale. On y sent de sa part, et sans qu'il intervienne autrement que par une présentation descriptive et un index des thèmes, qui rendent sa collecte démonstrative, une ouverture de coeur et comme de l'amour.
Lu par : Dominique Daniel
Durée : 6h. 6min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 73341
Résumé:L'amour est sans doute le sentiment le plus universel, celui qui se vit le plus naturellement et qui pourtant se conjugue dans toutes les diversités et richesses culturelles. Il fait soulever des montagnes, parcourir des distances infinies. Il semble que rien ne lui résiste, ni la peur de la mort, ni le temps qui passe. C'est pourquoi, quand on aime, c'est forcément pour toujours. Et pourtant, derrière cette diversité incroyable qui fait varier le verbe « aimer » au sens de l'amitié, au sens filial ou parental, au sens passionnel, dans toutes les circonstances où la vie d'un être acquiert une valeur absolue pour un autre être, derrière toutes ces différences, il doit bien y avoir une réalité accessible à la raison. Comprendre de quoi il s'agit lorsque nous parlons « d'amour » constitue donc la première étape de notre réflexion. Encore faut-il savoir si nous sommes libres, responsables du fait d'aimer, et enfin quelle place nous devons accorder à l'amour dans notre vie. L'amour de la sagesse qui définit la « philosophie » doit nous aider à inventer le chemin d'une sagesse de l'amour.
Lu par : Nina Macquet
Durée : 22h. 51min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 72922
Résumé:L'auteur s'interroge sur la possibilité de promouvoir le gouvernement responsable de soi-même ainsi que le respect d'autrui et de la nature, aux dépens de l'intérêt et de l'égoïsme. Il défend ainsi une conception rationnelle de valeurs sur lesquelles asseoir une telle liberté.
Lu par : Pierre Biner
Durée : 14h. 20min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 78491
Résumé:Qu'est-ce que les anciens Romains entendaient par enfance ? Pourquoi, chez les anciens Grecs, le premier des dieux est-il Chaos, avant même le ciel et la nuit ? Qu'est-ce que le sommeil ? Qu'est-ce qu'une énigme ? Que veut dire Tirésias dans sa réponse alambiquée sur l'immense plaisir que ressentent les femmes ? Quelle est l'origine du mot sex ? Qu'est-ce qu'un fantôme ? Une sirène ? La Lorelei ? Psychè ? Hérô ? Comment la vie intra-utérine se prolonge-t-elle dans la vie atmosphérique sans y trouver de fin ? Pourquoi l'expérience humaine serait-elle bornée par le langage alors qu'il lui a fallu l'apprendre ? En quoi son destin serait-il voué à la vie en société ?
Lu par : Martine Devolz
Durée : 9h. 1min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 76838
Résumé:Nous fîmes face, avec diverses grimaces, à six provocations. Un titre impossible. Un conglomérat de notations disparates. Des relents de choses voisines du détritus. Des déversements en langue allemande, en mauvais anglais, en sabir cybernétique. Des notes pour traduire les passages en allemand. Une masse textuelle sans chapitres mais truffée d’«inserts», fatras d’images piquées dans les médias. … Nous nous sommes donc enfoncés dans cette jungle. Et bizarrement il devint difficile de résister à un envoûtement. La foison, même repoussante, était habitée. À chaque détour elle réservait des pépites, éclats d’intelligence, aveux du deuxième degré, bonheur de formulation. …Dans ces chemins qui ne mènent nulle part on apprend que l’auteur, lié à la Suisse, tient un carnet. Ou des carnets. Au processus de désintégration de notre société il oppose, «au gré des trottoirs», ses notes et son collage obsessionnel d’images. …Au fil des pages, les angoisses et dérèglements documentés de la planète révèlent une ambiguïté. Ne s’agit-il pas du récit d’une folie personnelle, confession d’un auteur qui, disant le moins possible sur luimême, finit par se laisser entendre ? …Rosset moraliste. Humour de Rosset. Sa force. Descente dans son enfer pavé de petites phrases mémorables. Vaudois. Un écrivain d’aujourd’hui. Bertil Galland, 24 Heures. (À propos des Aires de repos sur l’autoroute de l’information)
Lu par : Anne Seuvre
Durée : 7h. 16min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 77580
Résumé:Un dictionnaire décalé regroupant les mots de la langue française faisant référence aux animaux et à la nature.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13552
Résumé:G. K. Chesterton, de son nom complet Gilbert Keith Chesterton (29 mai 1874 - 14 juin 1936) est l'un des plus importants écrivains anglais du début du XXe siècle. Son œuvre est extrêmement variée : il a été journaliste, poète, biographe, apologiste du christianisme. (Wikipédia)