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Le pendu de Saint-Pholien

Résumé
Personne ne s'aperçut de ce qui se passait. Personne ne se douta que c'était un drame qui se jouait dans la salle d'attente de la petite gare où six voyageurs seulement attendaient, l'air morne, dans une odeur de café, de bière et de limonade. Il était cinq heures de l'après-midi et la nuit tombait. Les lampes avaient été allumées mais, à travers les vitres, on distinguait encore dans la grisaille du quai les fonctionnaires allemands et hollandais, de la douane et du chemin de fer, qui battaient la semelle...
Genre littéraire: Policier/épouvante
Durée: 3h. 45min.
Édition: Paris, Fayard, 1936
Numéro du livre: 2229

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Résumé:Présentation de l'éditeur : Tu as bien dîné ? La lumière, dans leur appartement, était plus chaude, plus intime qu'au bureau. Il voyait les journaux préparés à côté de son fauteuil, ses pantoufles. - J'ai dîné avec le chef, Lucas et Janvier, à la Brasserie Dauphine. Après quoi tous les quatre s'étaient rendus à l'assemblée de la Mutuelle de la Police. Depuis trois ans, Maigret, à son corps défendant, en était chaque fois élu vice-président. - Tu as le temps de boire une tasse de café. Enlève quand même ton pardessus. J'ai dit que tu ne -rentrerais pas avant onze heures. Il était dix heures et demie. La séance n'avait pas été longue. Ils avaient eu le temps, à quelques-uns, de prendre un demi dans une brasserie et Maigret était revenu en métro. - Qui a téléphoné ? - Un ministre.
Durée : 4h. 26min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 18917
Résumé:Depuis six mois, Maigret reçoit à son bureau la visite de Cécile Pardon ; celle-ci a constaté que des objets changent parfois de place pendant la nuit dans l'appartement qu'elle occupe avec sa tante veuve et infirme, Juliette Boynet, à Bourg-la-Reine. La maison a été surveillée, mais rien de suspect n'a été découvert. Le 7 octobre, Cécile attend de nouveau que Maigret veuille bien la recevoir. Lorsque celui-ci peut enfin s'occuper d'elle, la jeune femme a disparu, laissant au commissaire un message selon lequel « un drame affreux » a eu lieu. Maigret se rend à Bourg-la-Reine et découvre Juliette Boynet étranglée. Cécile sera retrouvée le même jour, étranglée elle aussi, dans un placard proche du bureau de Maigret. Le commissaire apprend que Cécile vivait très pauvrement chez sa tante qui la traitait en servante. (www.toutsimenon.com)
Lu par : Charles Monnier
Durée : 7h. 50min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 21720
Résumé:Sous l'occupation allemande, Frank Friedmaier vit dans une oisiveté dorée, chez sa mère, tenancière de bordel, faisant l'amour avec les filles de la maison ou les épiant, quand elles sont avec les clients. Parmi les compagnons, plus ou moins louches, qu'il fréquente au bar-restaurant de Timo, figure Fred Kromer...
Lu par : Evelyne Rochat
Durée : 3h. 29min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 16023
Résumé:Au Quai des Orfèvres, Maigret reçoit une étrange visiteuse, Nathalie Sabin-Levesque, qui vient faire part de la disparition de son mari, Gérard. En enquêtant sur celui-ci, Maigret découvre qu'il était un habitué des boîtes de nuit parisiennes, où il se faisait appeler Monsieur Charles...
Lu par : Amélie Ardiot
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Résumé:Pourquoi remettre en état la Marie-Galante, vieille goélette abandonnée dans le port de Fécamp ? Pourquoi lui faire prendre le large en pleine nuit comme un vaisseau fantôme ? Qui est la femme dont on a retrouvé le corps dans le réservoir ? Et qui l'a tuée ? Autant de questions auxquelles doit répondre G.7, pour sa première enquête comme détective privé. Mais un vilain rhume le cloue au lit !
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Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 14542
Résumé:Présentation de l'éditeur : Quand on avait quitté Paris, vers trois heures, la foule s'agitait encore dans un frileux soleil d'arrière-saison. Puis, vers Mantes, les lampes du compartiment s'étaient allumées. Dès Évreux, tout était noir dehors. Et maintenant, à travers les vitres où ruisselaient des gouttes de buée, on voyait un épais brouillard qui feutrait d'un halo les lumières de la voie. Bien calé dans son coin, la nuque sur le rebord de la banquette, Maigret, les yeux mi-clos, observait toujours, machinalement, les deux personnages, si différents l'un de l'autre, qu'il avait devant lui. Le capitaine Joris dormait, la perruque de travers sur son fameux crâne, le complet fripé. Et Julie, les deux mains sur son sac en imitation de crocodile, fixait un point quelconque de l'espace, en essayant de garder, malgré sa fatigue, une attitude réfléchie. Joris ! Julie !
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Résumé:Chaque soir au café des Colonnes, à La Rochelle, quelques notables, parmi lesquels le commissaire Pigeac et M. Labbé, le chapelier, se retrouvent pour une partie de bridge. En ce début d'hiver, on ne parle plus que des assassinats de femmes, qui terrorisent la ville et défraient la chronique de l'Echo des Charentes... Comment les paisibles joueurs de cartes se douteraient-ils que le criminel est parmi eux? Seul le petit tailleur Kachoudas, voisin du chapelier, a surpris la vérité. il le paiera lui aussi de sa vie. Peinture de la vie de province, psychologie du meurtrier, monstruosités morales dissimulées sous des apparences respectables...Avec ce roman paru en 1949, et pétri de ses thèmes préférés, Georges Simenon signait un de ses chefs-d'oeuvre.
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Lu par : Marianne Pernet
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Résumé:Vendredi 7 novembre. Concarneau est désert. L'horloge lumineuse de la vieille ville, qu'on aperçoit au-dessus des remparts, marque onze heures moins cinq. C'est le plein de la marée et une tempête du sud-ouest fait s'entrechoquer les barques dans le port. Le vent s'engouffre dans les rues, où l'on voit parfois des bouts de papier filer à toute allure au ras du sol. Quai de l'Aiguillon, il n'y a pas une lumière. Tout est fermé. Tout le monde dort. Seules les trois fenêtres de l'hôtel de l'Amiral, à l'angle de la place et du quai, sont encore éclairées...
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Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 14493
Résumé:Quatrième de couverture : Au lieu de grogner en cherchant l'appareil à tâtons dans l'obscurité comme il en avait l'habitude quand le téléphone sonnait au milieu de la nuit, Maigret poussa un soupir de soulagement. Déjà il ne se souvenait plus nettement du rêve auquel il était arraché, mais il savait que c'était un rêve désagréable : il tentait d'expliquer à quelqu'un d'important, dont il ne voyait pas le visage et qui était très mécontent de lui, que ce n'était pas sa faute, qu'il fallait montrer de la patience à son égard, quelques jours de patience seulement, parce qu'il avait perdu l'habitude et qu'il se sentait mou, mal dans sa peau. Qu'on lui fasse confiance et ce ne serait pas long. Surtout, qu'on ne le regarde pas d'un air réprobateur ou ironique...
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Résumé:Une nuit de mars, à Paris, deux bateliers tirent de la Seine un clochard grièvement blessé. Il s'agit de François Keller, un ancien médecin. Depuis plus de vingt ans, il a rompu tout lien avec son épouse et un milieu bourgeois qu'il ne supportait pas. Mais qui a pu vouloir sa mort ? C'est en bavardant avec les autres clochards que Maigret va reconstituer l'existence marginale de Keller, tout en s'intéressant à une Peugeot 403 rouge et à Van Houtte, un des sauveteurs de la victime, marié et père d'un jeune enfant. Les quais et les brumes de la Seine, le petit monde mystérieux des clochards et des mariniers fournissent au romancier un de ces décors en demi-teintes comme il les affectionne, pour y faire vivre une humanité apparemment ordinaire, mais lourde, pour qui sait voir, de secrets et de passions.
Durée : 3h. 27min.
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Résumé:Léonard Planchon est un homme médiocre et faible, disgracié de surcroît (il a un bec-de-lièvre), qui a repris, à la mort de son patron, une petite entreprise de peinture assez prospère. Plusieurs samedis consécutifs, on l'a vu à la P.J. faisant antichambre pour parler au commissaire Maigret, mais repartant toujours avant d'être reçu. Ce « client du samedi », comme on l'appelle au quai des Orfèvres, se présente - un samedi également - à l'appartement du commissaire ; il connaît par les journaux sa compréhension et veut s'ouvrir à lui d'une idée qui l'obsède : tuer sa femme et son amant, Roger Prou, un bel homme, avantageux et costaud, qui travaille chez Planchon où, peu à peu, il prend la place du patron. Celui-ci, qui se sent devenir étranger dans sa propre maison, la déserte pour s'attarder dans les bistrots. Comme il n'est pas résigné à perdre son entreprise et sa petite fille Isabelle, il n'a trouvé d'autre issue que celle qu'il révèle à Maigret. (http://www.toutsimenon.com)