Les prédictions de Nostrabérus

Résumé: Quand Bérurier et Pinaud s'envolent pour l'Argentine afin d'aider un ami dans la panade, on peut crainde le pire. Surtout si San-Antonio les laisse seuls. Il paraît que quand le chat n'est pas là, les souris dansent. Les cochons aussi, croyez-moi. On vous aurait bien expliqué comment des saucisses aux piments peuvent se transformer en arme biologique ou avec quelle baguette magique Bérurier se joue des difficultés, mais la bienséance nous en empêche...

Résumé: Ne le cherchez pas trop sur la carte, encore que sur l'océan Pacifique vous ayez quelques chances. Mais pacifiques, les Malotrus ? Parlons-en, hein ! Surtout lorsque Béru vient semer la panique et fomenter des révolutions dans un pays vraiment pas comme les autres. Heureusement qu'il a un gros ticket avec la reine, ce qui doit lui porter bonheur, car il a rudement besoin de veine. Et moi, donc ! Deux condamnations à mort dans la même journée pour chacun de nous, ça commence à bien faire. On ne sait plus ou donner de la tête.

Résumé: Détruire un laboratoire est-allemand dans lequel est fabriqué un nouveau virus mortel ? Une mission comme une autre pour San-Antonio. Être accompagné de l'agent secret qui en a découvert l'existence ? Pourquoi pas? Plus on est de fous, plus on rit. Mais quand le zig est comtaminé et qu'on ne peut l'approcher é moins de dix mètres, la situtation se complique drôlement. Car autour de lui, les gens ont une fâcheuse tendance à tomber... comme des mouches !

Résumé: Commençant à Paris chez une "amie" de Bérurier, l'intrigue, amorcée par un brave paysan de la France très profonde, va se transporter à Genève où Marie-Marie joue un jeu étonnant. En compagnie de Béru et de la fine équipe, San-Antonio poursuivra son enquête dans les étendues glaciales du grand Nord canadien. Il finira par retrouver Paris où le Vieux rabâche à l'envi le superbe hommage posthume qu'il lui a dédié et qu'il a déclamé devant les sommités de l'Etat.

Résumé: On ne peut jamais prévoir la réaction des gens ! Je vous prends à témoin, mes amis : si vous receviez par la poste 20 000 000 AF signés anonyme, quelle serait votre réaction ? J'en connais qui les convertiraient aussitôt en bons du Trésor... , d'autres qui s'offriraient illico une douzaine de danseuses... , d'autres encore qui se feraient construire un coquet pavillon à Créteil... Eh bien, le bonhomme qui vient d'entrer dans mon burlingue est d'un genre différent, lui : il veut porter plainte ! Comme dit Bérurier : "Une telle honnêteté, c'est pas honnête !"

Résumé: - Eh bien ! Eh bien, Béru, t'as des vapeurs ? - M'en parle pas, balbutie-t-il, je suis un mec terminé ! - On en reparlera quand tu seras dans ton costard en planches, dis-moi un peu ce qui ne carbure pas ? - Ma femme a disparu, lâche le Gros. Et de ponctuer cette révélation par un barrissement qui fêlerait une plaque de blindage.

Résumé: Otterlo, charmante petite bourgade néerlandaise. Ses pavillons coquets et son musée. Rien d'autre à se mettre sous la dent, neurasthéniques s'abstenir. Tu peux me dire pourquoi on est venus s'y enterrer, Béru et ma pomme ? Non ? Ben moi non plus, figure-toi ! Tout ça parce qu'on a trouvé un message codé sur un cadavre batave. Faut vraiment qu'on voie le mal partout." La Hollande est peut-être un plat pays mais attention les yeux ; ici les trouvailles d'écriture sont légion et les calembours foisonnent. De quoi vous bosseler le paysage...

Résumé: La vérité ? Rarement je suis passé aussi près de la grande faucheuse que dans ce book. Un tout petit peu plus, c'était : " bon suaire, m'sieurs-dames " sur l'air des lampions. Et tout ça, tu veux que je te dise? A cause d'une gentille opticienne qui n'avait pas mis de culotte pour faire sa vitrine. Nous autres tringleurs, on est peu de chose, tu sais! Pendant que j'y pense: n'en parle pas à maman, elle se ferait du mouron. Tu connais Félicie !

Résumé: Béru est au coeur d'une enquête qui sort de l'ordinaire." Ceux qui n'ont jamais vu un individu manger tour à tour : " ... une semelle de chaussure, un crapaud vivant, une selle de vélo, une corne à poudre, une autre de chef de gare, un écureuil empaillé et un cadran solaire... ", n'ont jamais vu Bérurier dans le plus extraordinaire numéro de boulimie de tous les temps ! Ceux-là ne peuvent pas non plus imaginer le fabuleux San-Antonio tout en haut d'une grande échelle, occupe à... peigner la girafe ! "

Résumé: San Antonio est à la pêche avec son oncle Gustave dans la région lyonnaise. Évidemment, la seule belle prise de l'opération se révèle être un cadavre pas très frais au bout de la ligne... De retour à Paris, le commissaire se voit confier une troublante enquête de vols de documents stratégiques relatifs à la guerre d'Indochine. Les meurtres plus ou moins compréhensibles et les connexions bizarroïdes vont se succéder. San Antonio va avoir besoin de l'aide de ses célèbres adjoints et de celle de sa maman, Félicie, aussi. Paru pour la première fois en 1954, ce titre relate peut-être une des aventures les plus complexes de San Antonio. Entre son oncle Gustave et sa mère Félicie, entre Paris et Lyon, le commissaire tente de démêler les fils d'une intrigue aussi emmêlée que ses lignes de pêche, sans oublier de distiller son inimitable humour. Ce roman pose un jalon important dans la très prolifique œuvre de Frédéric Dard : il marque la première apparition de Pinaud, l'adjoint subtil de San Antonio, exact opposé du non moins célèbre Bérurier.

Résumé: L'histoire qui est racontée ici est rigoureusement vraie. Je n'y ai pas changé une virgule. J'ai seulement modifié les événements, déformé les faits, interverti les situations, débaptisé les personnages et déplacé l'action. J'ai également pris des libertés avec le lecteur, le vocabulaire de l'affabulation. Oui, j'ai fait tout cela. Mais, parole d'homme, je n'ai pas changé une virgule à l'histoire. J'aurais peut-être dû... ça aurait évité à Béru et au beau San-Antonio de se trouver dans la situation la plus effarante de leur brillante carrière. Et comme dit ce grand intellectuel de Bérurier : " Ménage tes méninges ", gars, et prépare tes mécaniques....

Résumé: Le gars qui pourrait me prouver par A+B qu'il a, au cours de son existence, exécuté une besogne plus débectante que celle à laquelle je me livre depuis une huitaine de jours aurait droit, selon moi, au salut militaire, au salut étemel et à une place assise dans les chemins de fer. Faut vraiment avoir le palpitant arrimé avec du gros filin pour tenir le choc. Et je le tiens, moi, le choc, parce que mon job c'est justement de ne pas faire la fine bouche. Voilà une semaine que je visite les morgues de France à la recherche d'un cadavre...