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La mauvaise vie

Résumé
La mauvaise vie qu'il décrit est la seule qu'il a connue. Il l'a gardée secrète en croyant pouvoir la maîtriser. Il l'a racontée autrement à travers des histoires ou des films qui masquaient la vérité. Certains ont pu croire qu'il était content de son existence puisqu'il parvenait à évoquer la nostalgie du bonheur. Mais les instants de joie, les succès, les rencontres n'on été que des tentatives pour conjurer la peine que sa mauvaise vie lui a procurée.
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Mots-clés: Biographie
Durée: 10h. 40min.
Édition: Paris, R. Laffont, 2005
Numéro du livre: 14204
ISBN: 9782221092255
CDU: 920 A/Z

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Résumé:Boris Cyrulnik a minutieusement exploré les mécanismes de l'attachement (Sous le signe du lien) et de la résilience (Un merveilleux malheur). Dans ce livre inédit et autobiographique, il s interroge sur le travail de la mémoire à travers son expérience personnelle d'enfant orphelin à l'âge de 5 ans, prisonnier puis évadé à 6 ans, et ayant surmonté tant d'épreuves par le travail intérieur de sa mémoire : faut-il se souvenir ? Et jusqu'à quand ? Y a-t-il un devoir de mémoire ? Comment la mémoire reconstruit-elle le souvenir ? Et pourquoi ? Boris Cyrulnik revient sur les traces de son enfance, guidé par les mots de sa mémoire.
Lu par : Manon
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Résumé:La collection dans laquelle Sabine de Muralt publie son premier livre n'a jamais si bien porté son nom. Car ces souvenirs sont d'un autre âge: d'avant la Seconde Guerre mondiale, quand Gdansk s'appelait encore Dantzig et que le père de la petite fille, l'historien bâlois Carl J. Burckhardt, y était le haut-commissaire de la Société des Nations, après avoir en 1935, comme membre du CICR, visité plusieurs camps de concentration nazis. La narratrice se souvient de la fièvre que lui donnait la voix hystérique du chancelier Hitler, amplifiée par des haut-parleurs sur la Residenzplatz (qui deviendra plus tard le siège de Solidarnosc)...Tout un Monde, qui constitue un bel hommage filial à la "présence inquiétante, immense et vulnérable" de Carl J. Burckhardt, s'achève sur une féerie: l'apparition à Pauline des personnages historiques sur lesquels travaille son père, de l'impératrice Marie-Thérèse au roi Henri IV, qui ne sent pas le bouc mais le serpolet... Car c'est chez elle un constant besoin de travestir la réalité, de "lui donner l'ampleur sur laquelle puisse chevaucher sa fantaisie". Isabelle Martin / Le Temps 2004