Le rhinocéros d'or: histoires du Moyen Age africain
Résumé
Si l'Afrique ancienne n'a pas d'écritures, elle a bien sûr une histoire depuis longtemps sous-estimée lorsqu'elle n'est pas simplement niée. A partir des traces laissées par des civilisations brillantes et les traditions orales, François-Xavier Fauvelle-Aymar reconstitue de manière captivante la richesse de ce continent retrouvé. En trente-quatre courts essais, Le Rhinocéros d'or offre un panorama de l'Afrique subsaharienne du VIIIe au XVe siècles.
Lu par :
Roger Planchon
Genre littéraire:
Histoire/géographie
Mots-clés:
Civilisation - Afrique
Durée:
8h. 14min.
Édition:
Paris, Alma éditeur, 2013
Numéro du livre:
68446
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782362790454
CDU:
960
Documents similaires
Lu par : Danielle Netter
Durée : 10h. 8min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 22289
Résumé:C'est sous le règne de Philippe Auguste que naît la villecapitale. Nommant baillis et prévôts, administrant un authentique budget, le roi façonne aussi le visage de Paris : en 1100, la construction de Notre-Dame est à demi achevée, les rues et les places de l'île de la cité sont pavées, et des murs d'enceinte se dressent autour de la rive gauche. La population - quelque 50 000 habitants - est aussi dense qu'elle est mélangée : prostituées et clercs vivent parfois dans la même maison, les unes au rez-de-chaussée, les autres à l'étage. Pour ressusciter cette ville dont le Paris d'aujourd'hui conserve des traces, John Baldwin, professeur d'histoire médiévale à l'université Johns Hopkins de Baltimore et grand spécialiste de Philippe Auguste, s'est fixé une règle : n'exploiter que des sources comprises entre 1190 et 1210. La méthode se révèle féconde, qui met au jour, tel un instantané, les unions rocambolesques de Philippe Auguste et ses démêlés avec le pape, les débats sur le crédit, l'essor de la scolastique ou encore l'art d'aimer des théologiens...
Lu par : Francine Crettaz
Durée : 8h. 34min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 66679
Résumé:Agrippine la Jeune appartient à la lignée des femmes dangereuses, des empoisonneuses, des séductrices. Son plus grand crime ? Avoir porté un monstre à la tête de Rome. Agrippine, mère de Néron, ce tyran qu'on accusa de tous les vices, n'a reculé devant rien pour déposer la couronne de laurier sur la tête de son fils et gouverner Rome à ses côtés. Elle souilla ses mains du sang d'innocents, s'offrit à des hommes de toutes conditions pour mieux les manipuler. Mais l'historiographie est trompeuse. Derrière la criminelle sensuelle se cache une femme résiliente et intelligente, une femme politique redoutable, déterminée et machiavélique, qui révolutionna la fonction d'impératrice.
Lu par : Marc Levy
Durée : 7h. 39min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 65750
Résumé:Sous forme de guide, cette monographie évoque la vie quotidienne, la religion et la mythologie, ainsi que l'organisation politique et militaire de la civilisation aztèque. Les documents écrits en espagnol ou en nahuatl, langue des Aztèques, aux XVIe et XVIIe siècles, ainsi que les documents pictographiques et les découvertes archéologiques servent de support à cet exposé.
Lu par : Annie Saby Aguila
Durée : 17h. 5min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 65339
Résumé:Comment Rome est-elle passée d'un million d'habitants à 20 000 (à peine de quoi remplir un angle du Colisée) ? Que s'est-il passé quand 350 000 habitants sur 500 000 sont morts de la peste bubonique à Constantinople ? On ne peut plus désormais raconter l'histoire de la chute de Rome en faisant comme si l'environnement (climat, bacilles mortels) était resté stable. L'Empire tardif a été le moment d'un changement décisif : la fin de l'Optimum climatique romain qui, plus humide, avait été une bénédiction pour toute la région méditerranéenne. Les changements climatiques ont favorisé l'évolution des germes, comme Yersinia pestis, le bacille de la peste bubonique. Mais "les Romains ont été aussi les complices de la mise en place d'une écologie des maladies qui ont assuré leur perte". Les bains publics étaient des bouillons de culture ; les égouts stagnaient sous les villes ; les greniers à blé étaient une bénédiction pour les rats ; les routes commerciales qui reliaient tout l'Empire ont permis la propagation des épidémies de la mer Caspienne au mur d'Hadrien avec une efficacité jusque-là inconnue. Le temps des pandémies était arrivé. Face à ces catastrophes, les habitants de l'Empire ont cru la fin du monde arrivée. Les religions eschatologiques, le christianisme, puis l'islam, ont alors triomphé des religions païennes.
Lu par : Pierre-Bernard Elsig
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 16878
Résumé:La guerre froide naît en 1947 de l'émergence, à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, de deux superpuissances, les États-Unis et l'URSS, dont les projets et les ambitions s'avèrent vite antagonistes. Cet affrontement d'un type nouveau, qui oppose le bloc occidental au monde communiste, prend des formes multiples (idéologiques, politiques, économiques, militaires, culturelles...) et, en alternant les périodes de tension et de détente, marque en profondeur l'ensemble des relations internationales.
Lu par : Manon
Durée : 4h. 32min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 33921
Résumé:Une histoire sociale du Proche-Orient au XXe siècle qui situe les événements de 2011 et 2012 dans la généalogie des luttes de la région. De la fin de l'Empire ottoman aux Etats modernes, en passant par la période coloniale ou l'entre-deux-guerres, l'auteure retrace les moments d'émancipation, l'élaboration des luttes féministes et ouvrières, les parcours de migrations, etc. ©Electre 2017
Lu par : Jean-Luc Dupuis
Durée : 13h. 18min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 70124
Résumé:Immense succès critique, lauréat du prestigieux prix Orwell, Ne dis rien est une enquête journalistique d'une puissance inédite, une plongée au coeur de la violence politique, le portrait bouleversant d'une génération sacrifiée. 1972, Belfast, quartier catholique. Par une sombre nuit de décembre, une mère de famille est enlevée sous les yeux de ses dix enfants. Ils ne la reverront jamais... Pourquoi une femme apparemment sans histoires s'est-elle retrouvée la cible de l'IRA ? Etait-elle réellement une moucharde ? Et pourquoi, alors que tout le monde connaissait l'identité des agresseurs, personne n'a rien dit ? En s'intéressant à l'" affaire Jean McConville ", Patrick Radden Keefe, journaliste au New Yorker, revisite toute l'histoire du conflit nord-irlandais. Des manifestations du début des années 1960 jusqu'à la vague d'attentats qui a terrorisé tout le Royaume-Uni, en passant par les grèves de la faim de Bobby Sands et des Blanket men, il en révèle les derniers secrets, les zones d'ombre et, surtout, le prix à payer pour les individus. Prix Orwell du livre politique 2019 National Book Critics Circle Award pour la Nonfiction 2019 Livre préféré de Barack Obama 2019 Sélectionné pour le National Book Award 2019 Bestseller du New York Times
Lu par : Patrick Audouin
Durée : 11h. 4min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 31141
Résumé:Publié un an avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, ce texte est une histoire militaire personnelle de la France des origines à 1918. La présentation d'H. Gaymard dévoile l'histoire de ce livre méconnu. Il est suivi d'une Histoire des troupes du Levant, dans laquelle de Gaulle rend hommage à l'action occultée de la France en Orient durant la Seconde Guerre mondiale.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 1h. 37min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 20145
Résumé:« Si nous vivions en 1913, nous aurions déjà enterré bien des amis. Si nous vivions en 1913, nous serions surpris de voir autant de militaires. Si nous vivions en 1913, nous serions paysans, maréchaux-ferrants, couturières ou bourgeois, peut-être même rentiers. Si nous vivions en 1913, nous travaillerions beaucoup. Si nous vivions en 1913, nous serions fiers d'être une République. » A travers une série de chroniques originales et passionnantes qui réveillent le passé dans tout ce qu'il a de plus quotidien, Antoine Prost nous dresse un portrait de la société française en 1913 tel qu'on ne l'apprend pas dans les manuels scolaires. Une façon d'entrer dans la grande Histoire par une petite porte. Un livre qui nous en dit long sur cette « Belle Époque », si lointaine, comme exotique, ce monde d'avant auquel mit fin la Grande Guerre.
Lu par : Anne Van Roggen
Durée : 9h. 55min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 19437
Résumé:« Un jour, je me suis dit que je ne l'avais jamais remercié. Pourtant je lui devais mes lectures. Et que serais-je, qui serais-je sans lire et surtout sans avoir lu ? Pourtant, c'est sur son dos que chaque matin, depuis près de soixante années, je tente de faire avancer pas à pas et gomme aidant mes histoires. Et que serait ma vie sans raconter ? Je n'avais que trop tardé. L'heure était venue de lui rendre hommage. D'autant qu'on le disait fragile et menacé. Alors j'ai pris la route. Sa route. De la Chine à la forêt canadienne, en passant par la Finlande, la Suède, la Russie, l'Inde, le Japon, l'Indonésie, Samarcande, le Brésil, l'Italie, le Portugal et bien sûr la France, j'ai rendu visite aux souvenirs les plus anciens du papier. Mais je me suis aussi émerveillé devant les technologies les plus modernes, celles qui, par exemple, arrivent à greffer des virus capables de tuer les bactéries, celle qui, grâce à des impressions électroniques, permettent de renseigner sur le parcours d'un colis les chocs qu'il a reçus et si les conditions d'hygiène et de froid ont tout du long bien été respectées. Cher papier ! Chère pâte magique de fibres végétales ! Chère antiquité en même temps que pointe de la modernité ! La planète et le papier vivent ensemble depuis si longtemps : plus de deux mille ans. Le papier est de la planète sans doute le miroir le plus fidèle et par suite le moins complaisant. »
Lu par : Geneviève Glenck
Durée : 11h. 48min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 18767
Résumé:Interrogée lors d'une émission de télévision québécoise sur ses reportages hors normes dans des guerres où il ne fait pas bon être journaliste, Anne Nivat séduit si bien son auditoire que, le lendemain, elle est invitée par un officier canadien, sur le point de partir en mission de combat en Afghanistan, à venir parler à ses hommes. Non seulement elle accepte, mais elle obtient de le rejoindre sur le théâtre d'opérations dans la très hostile zone de Kandahar, ex-capitale mythique des taliban, qu'elle connaît bien pour l'avoir sillonnée à sa façon depuis dix ans, intégrée dans la population locale et protégée par celle-ci. Sur place, Anne Nivat, troque avec courage et discrétion le gilet pare-balles contre un châdri qui la soustrait aux regards sans l'empêcher d'observer, et multiplie les allers-retours entre les acteurs de cette drôle de guerre : militaires alliés, armée locale à l'incertaine loyauté, administration hyper corrompue du président Hamid Karzai, sympathisants taliban, ex-moudjahidine, profiteurs de guerre en tous genres, candidats à l'exil, qui lui font partager leur vision du conflit
Lu par : Jacqueline Duperret
Durée : 6h. 58min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 15552
Résumé:Quatrième de couverture : « Rouler ! Rouler dans Bagdad, indéfiniment, sans vraie raison, si ce n'est que tu veux voir, voir ce qui se passe, même s'il ne se passe rien de sensationnel. Tu ne te lasses pas de regarder à quoi ressemble une ville morte, figée dans la peur, une ville où personne n'est censé se promener. Rouler dans cette ville, c'est se laisser aller à l'envoûtement du spectacle qui défile devant tes yeux, comme au cinéma. Sauf que tu es à Bagdad-la-mystérieuse, Bagdad-la-maudite, Bagdad-l'oubliée. Rouler à défaut de pouvoir faire autre chose, rouler pour se convaincre qu'on existe, que la ville n'est pas un mirage, qu'elle fonctionne cahin-caha et que tu en témoigneras. Rouler, ici, c'est comme prendre un tranquillisant, ou un excitant, ou peut-être bien les deux, ça dépend. Car rouler c'est se perdre, et c'est aussi se laisser aller à franchir courageusement d'invisibles frontières. »