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Recherche par lecteur : François

396 résultats. Page 17 sur 20.

Lu par : François Goy
Durée : 6h. 31min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 25083
Résumé:" Je ne voudrais pas exagérer, mais je crois que j'ai de par le monde plus de cinq cents enfants. " Il est vrai que la vie sentimentale et sensuelle d'Alexandre Dumas père tient du prodige. Marie Dorval, Mélanie Waldor, Belle Krelsamer, Ida la joufflue, Adah la fougueuse, Emma la phtisique...Comédiennes, chanteuses, pâtissières, écuyères, princesses allemandes, russes ou italiennes... Cet homme-là avait le cœur grand comme le monde, c'est le moins qu'on puisse dire ! Boulimique de bonne chère, de belles chairs et de bonnes pages, Alexandre Dumas avait plus d'une vie à vivre. Chef de file du théâtre romantique, inventeur du roman historique, mémorialiste, grand reporter avant l'heure et père du roman-feuilleton, pour mener de front toutes ses passions, il dormait peu mais vite. Et il fut tout aussi prolifique, fougueux et fécond assis à sa planche de travail qu'allongé sous la couette. N'a-t-il pas donné le jour à six cents livres, quatre mille héros principaux, neuf mille personnages secondaires et plus de vingt-cinq mille troisièmes couteaux ? Au total, du bout de sa plume intarissable, il aura réussi à peupler une ville comme Chartres ou Auxerre et à mettre au monde près de quarante mille " enfants " ! Une véritable force de la nature...Historien, scénariste pour la télévision, producteur et animateur d'émissions radiophoniques et télévisées, Michel de Decker est l'auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels, chez Belfond, Henri IV, les dames du Vert Galant (1999 ; 2010) ; Louis XIV, le bon plaisir du roi (2000) ;Hugo, Victor pour ces dames(2002) ;Talleyrand(2003) ; Marie-Antoinette (2005) et Napoléon III (2008). Plusieurs fois lauréat de l'Académie française, il vit aujourd'hui en Normandie.
Lu par : François
Durée : 12h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21184
Résumé:Ce matin-là, Amadis Dudu rata l'autobus. Or, non seulement ce contretemps ne compromit en rien sa journée, mais il l'engagea au contraire dans une série d'aventures bien extraordinaires, où se trouvaient mêlées toutes sortes de personnes au milieu desquelles il n'allait du reste pas tarder, lui Dudu, à se perdre ; mais cela n'était pas gênant du tout, au contraire. Inutile d'ajouter que rien dans cette histoire ne concerne l'automne, ni Pékin. Le livre de Boris Vian est très drôle et out à fait déchirant. À l'image de son auteur, lequel ne trouva le succès qu'après sa mort.
Lu par : François Goy
Durée : 16h. 2min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21853
Résumé:Veuve au matin d'une nuit de noces hallucinante, lorsque son époux, un jeune pasteur, se suicide en se jetant dans les Chutes du Niagara, Ariah Littrell se considère désormais comme vouée au malheur. Pourtant, au cours de sa semaine de veillle au bord de l'abîme, en attendant qu'on retrouve le corps de son mari d'un jour, La Veuve blanche des Chutes (ainsi que la presse l'a surnommée avant d'en faire une légende) attire l'attention de Dirk Burnaby, un brillant avocat au coeur tendre, fasciné par cette jeune femme étrange. Une passion improbable et néanmoins absolue lie très vite ce couple qui va connaître dix ans d'un bonheur total avant que la malédiction des Chutes s'abatte de nouveau sur la famille. Désamour, trahison, meurtre? C'est aux enfants Burnaby qu'il reviendra de découvrir les secrets de la tragédie qui a détruit la vie de leurs parents. Une quête qui les obligera à affronter non seulement leur histoire personnelle mais aussi un sombre épisode du passé de l'Amérique: les ravages infligés à toute une région par l'expansion industrielle gigantesque des années 50 et 60, expansion nourrie par la cupidité et la corruption des pouvoirs en place. Un roman aussi beau et tumultueux que ces Chutes au charme maléfique.
Lu par : François Goy
Durée : 4h. 25min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 21811
Résumé:Au douzième siècle, l'Europe chrétienne atteint son apogée. C'est le siècle des premières croisades et des premières cathédrales. Mais entre le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel, le conflit est incessant. Entre 1160 et 1180, une véritable guerre va mettre aux prises un empereur d'Allemagne tout-puissant, Frédéric Barberousse, et un pape sans moyens dont l'histoire a presque oublié le nom, Alexandre III. Quel est l'enjeu de ces batailles ? La domination de l'Europe pour l'Empereur ; l'indépendance du Saint-Siège pour Alexandre. L'assassinat de Thomas Becket, la destruction et le sac de Milan - la plus grande ville européenne de l'époque -, le soutien par la Sicile et la France du combat d'Alexandre, la défaite des armées de Frédéric écrasées au nord de l'Italie par une armée lombarde sortie de terre, tout cela va scander un combat qui va ébranler l'Europe durant ce douzième siècle finissant. La scène finale se déroulera à Venise. L'Empereur devra s'agenouiller devant Alexandre, sous les regards sidérés de la foule vénitienne qui contemple pour la première fois de son histoire un pape et un empereur. Au lendemain de ces vingt ans, l'Eglise ne sera plus tout à fait la même. Comment fut menée cette lutte qui, au-delà de sa dimension religieuse, présente bien des points communs avec les affrontements d'hier, d'aujourd'hui ou de demain ? C'est cette page d'histoire que nous raconte avec un grand talent Georges Suffert, l'auteur de Tu es Pierre.
Lu par : François Goy
Durée : 3h. 34min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 21856
Résumé:Parvenu au soir de sa vie, Jean-Claude Brisville, comme l'avait fait Georges Perec dans je nie souviens, et avant lui Joe Brainard dans I remember, évoque les souvenirs de sa jeunesse, depuis les années trente jusqu'à la fin de l'Occupation, à travers les chansons, les affiches, les refrains, les slogans publicitaires ou politiques. Ces bribes du passé, arrachées à l'oubli, conservent, mieux que tous les livres d'images, l'air et l'ambiance d'une époque. Ce sont des poussières aimantées. L'Histoire devient poésie pure. Il évoque ensuite les rencontres qu'il a faites dans le monde de l'édition, où il travailla au lendemain de la guerre. Ainsi nous permet-il d'entrevoir et d'entendre Cocteau, Benda, Artaud, Valéry, Bachelard, Camus, Char, Gracq, Buzzati, Jünger, Nimier. Très tard, à soixante ans, il se consacre à la création théâtrale et, inaugurant un genre, fait s'opposer dans L'Entretien de M. Descartes avec M. Pascal le jeune, Le Souper, L'Antichambre, La Dernière Salve, quelques grands personnages de notre histoire. Avant de terminer dans Les Vieux jours par ses ultimes réflexions sur une vie dominée par le goût des mots, la pratique de l'écriture et le regret de voir se dégrader notre langue littéraire qui, ainsi que Huysmans le disait du latin, " râle au fond des bibliothèques ".
Durée : 2h. 22min.
Genre littéraire : Pratique/cuisine/alimentation
Numéro du livre : 29452
Résumé:Le miel, ce régal des gourmets, cet aliment de santé, se prête aisément à toutes les variations gastronomiques. Il ne s'agit pas seulement, de remplacer le sucre : ce serait trop simple. Il faut veiller au bon accord des saveurs, à l'harmonie complice des plaisirs. Le miel devient alors épice et condiment . Et puis, c'est meilleur pour la santé ! Ce nouveau livre de recettes de Marie Fougère vous ouvre encore des portes secrètes et vous invite aux associations inhabituelles et originales. Laissez-vous surprendre et vous ne pourrez plus vous passer d'un pot de miel sur l'étagère aux indispensables dans votre cuisine. Au menu : hors-d'oeuvres, entrées, salades et soupes, sauces, marinades et chutneys, viandes, volailles et poissons, légumes, desserts, bonbons, nougats, petits fours et boissons...
Lu par : François Goy
Durée : 3h. 56min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 29398
Résumé:
Durée : 11h. 5min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 22230
Résumé:" Nous sommes montés dans le train à grande vitesse de la modernité sans trop nous en apercevoir et, lorsque nous regardons par la fenêtre, le paysage défile si vite que nous n'arrivons plus ni à le lire ni à le retenir. J'ai l'impression que nous sommes devenus des spécialistes de l'oubli... " Vingt-sept ans après la publication du Village retrouvé (1979), l'ethnologue Pascal Dibie publie Le Village métamorphosé. C'est de nouveau de Chichery, en Bourgogne, où il réside depuis son enfance, qu'il tire des observations ayant valeur universelle. Un voyage hallucinant, profond, au cœur de notre rurbanité naissante. II nous invite à revisiter notre société qui vit une des plus grandes mutations de son histoire millénaire. S'intéressant à nos actes les plus modestes, à cette banalité qui inscrit les jours de nos vies dans le long calendrier de l'histoire, l'auteur décrit un quotidien où le monde des signes et des aménageurs de paysages est roi, où la voiture, la cybernétique et la consommation sont maîtresses de nos têtes, de nos temps et de notre économie, où la religion s'abstrait jusqu'à accepter le changement des rites funéraires et à nous laisser exclure nos morts, où l'agriculture se " scientifise " à outrance et nos paysages se patrimonialisent... Une antique société se meurt, l'égoïsme de chacun s'affirme et ce qui fut le paysan, l'homme en pays, devenu hautement technicien et déculturé, réussit à s'insérer dans la brume de la mondialisation qui le gagne et le dévore. Cette ethnologie déguisée en récit, où se croisent pensées brutes et carnets de terrain, portraits de maîtres et réflexions profondes, inscrit Le Village métamorphosé parmi les plus grands ouvrages de Terre Humaine.
Lu par : François Goy
Durée : 5h. 28min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 22560
Résumé:Quels drames et quels enjeux faut-il pour qu'un enfant décide de gagner sa vie comme écrivain, à l'âge où l'on perd ses dents de lait ? En révélant ses rapports avec son père, Didier van Cauwelaert nous donne les clés de son œuvre et nous offre son plus beau personnage de roman. Un père à l'énergie démesurée, à l'humour sans bornes et aux détresses insondables, qui a passé sa vie à mourir et renaître sans cesse. Un père redresseur de torts et fauteur de troubles, qui réenchanta le monde par l'incroyable force de son destin, de ses talents et de ses folies au service des autres. Drôle, bouleversant, généreux et tonique, Le père adopté est à la fois un merveilleux récit des origines et un irrésistible appel à inventer sa vie en travaillant ses rêves.
Lu par : François Goy
Durée : 9h. 8min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 23212
Résumé:1793. Paris a instauré le régime de la Terreur. Mais Lyon se rebelle, emprisonne les représentants du gouvernement et fait guillotiner les plus farouches. La capitale envoie ses troupes, Lyon refuse de rendre les armes. Le conflit est inévitable... Gabriel Odérieux, un comédien lyonnais installé depuis une dizaine d'années à Paris, abandonne sa carrière pour revenir dans sa ville natale où son père, un partisan du gouvernement de la Terreur, vient d'être arrêté par les modérés. Dans les rues assiégées, il sauve la vie d'un soyeux, Laurent Sivinces, qui, pour le remercier, l'accueille dans le magnifique hôtel particulier de sa famille et le présente à sa sœur Julia et au fiancé de celle-ci, Alexis. Très vite, Gabriel tombe amoureux de la jeune fille, alors que la ville est bombardée de toutes parts et que les quartiers s'embrasent. C'est le moment pour chacun de choisir son camp et de défendre ses amours. Attaques meurtrières, bombardements et incendies, bientôt Lyon est à bout de résistance, et c'est dans d'ultimes déchirements que le destin des personnages va basculer... Un roman flamboyant. Diplômé de lettres modernes, d'histoire de l'art et d'archéologie, Alain Darne a enseigné le français au lycée. Il a également étudié au conservatoire d'art dramatique de Lyon et il est aujourd'hui comédien. Il a écrit plusieurs pièces de théâtre et publié deux romans historiques,Le Journal de Néron (Payot) et Akhenaton, l'hérétique (Anne Carrière).
Durée : 7h. 40min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 24060
Résumé:Loin d'être le premier philosophe, Socrate n'est-il pas le premier vrai thérapeute? N'est-il pas celui qui a le mieux compris les effets qu'il faut produire pour modifier son rapport à soi et au monde? C'est l'hypothèse qu'explore ici François Roustang. Ce livre est d'abord une patiente tentative pour retrouver la véritable originalité de Socrate à travers les textes qui s'en font l'écho. Mais cette quête prend aussi une dimension qui nous touche directement: pour le thérapeute qu'est François Roustang, il s'agit de nous faire comprendre comment il est possible de produire une modification de l'existence en acte et pas seulement en pensée. La leçon de Socrate pour "aller mieux"?
Lu par : François Goy
Durée : 8h. 11min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 26035
Résumé:Cela commence par un enterrement. Cela finit par un enterrement. Entre les deux deux, le mort raconte sa vie. Et quel enchantement !Des années 1970 à nos jours, toute son entreprise va précisément consister à esquiver la vie et ses contraintes. Et ce jeune, puis moins jeune, puis vieux fils de famille va de maison en maison, de campagne en ville, et d'une ville dans une autre ville, véritable gitan de luxe qui promènera à travers la France sa grande intelligence offusquée par la vulgarité des temps.
Lu par : François Goy
Durée : 7h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 21511
Résumé:Où l'on verra, en cette année 1701, Guillaume de Lautaret monter à Paris en compagnie de son indomptable fiancée, la sublime Delphine d'Orbelet. Où l'on verra Mme d'Orbelet mère jetée à la Bastille, dans qu'on puisse savoir pour quelles raisons Louis XIV fait subir à une femme aussi noble un sort aussi cruel. Où l'on verra Delphine sauter à demi nue d'une des fenêtres du château de Versailles pour échapper à la lubricité de jeunes aristocrates débauchés. Où l'on apprendra que le chevaliez d'Orbelet a quitté sa femme et sa fille, quinze ans plus tôt, pour suivre Cavelier de La Salle dans son exploration du Mississippi. Où l'on se rappellera que le Mississippi est un fleuve gigantesque qui traverse du nord au sud tout le continent nord-américain. Où l'on apprendra que le chevalier d'Orbelet est suspecté d'avoir occis Cavelier de La Salle. Où l'on verra Guillaume s'embarquer vers les Amériques pour prouver l'innocence de son futur beau-père, sans savoir, que sa fiancée s'est glissée sous un déguisement sur ce même navire. Où l'on verra enfin, après de nombreuses et terrifiantes aventures, le pur amour de nos héros triompher des turpitudes infâmes que sont capables d'inventer les hommes pour assouvir leur appât du gain et leur soif de pouvoir.
Durée : 8h. 30min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 20470
Résumé:Vagabonds, mendiants et pauvres étaient des figures habituelles de la société médiévale. Mais aux derniers siècles du Moyen Âge et aux débuts de l'âge moderne, leur statut se modifie : des controverses doctrinales au sein de la religion réformée comme de la Réforme catholique disputent désormais des vertus d'une vie de misère et de l'aumône qui permettrait aux nantis de racheter à bon compte leurs péchés ; l'administration des hôpitaux et de l'aumône est centralisée : le vagabondage devient la source de nouvelles peurs sociales - celles d'épidémies mais aussi des menaces que font peser ces existences hors d'une société raffermie d'ordres et de corporations. Vagabonds, mendiants et pauvres sont refoulés aux marges d'un monde où le travail devient la valeur fondamentale : ils seront à l'avenir des marginaux, poids «inutiles au monde».
Durée : 13h. 12min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 20426
Résumé:Au cours d'un premier voyage, Gulliver échoue sur l'île de Lilliput, un monde de nains qui ne mesurent pas plus de six pouces de haut et passent leur temps à faire la guerre. Grâce à sa courtoisie, Gulliver parvient à gagner leur confiance. Au cours de son deuxième voyage, il se retrouve, cette fois, chez les Brobdingnag, un peuple de géants où lui-même n'est qu'un nain. Et là encore, son intelligence ne sera pas de trop pour lui laissera vie sauve...
Durée : 10h. 26min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 20223
Résumé:L'Inde lance un défi au regard comme à la raison : tant de peuples, tant de langues, de coutumes, de croyances, d'activités. Tant de passé dans tant de présent. On pourrait croire qu'un tel pays n'existe pas. Et pourtant la démocratie indienne fonctionne, et tous ces peuples n'en font qu'un. Par quel prodige ? Ce dictionnaire - où l'amour voudrait ne pas être aveugle - tente de répondre à cette question, par un zigzag constant, et très indien, entre les lieux, les dieux, les hommes et le hasard. Nous changeons sans arrêt de sujet, nous passons du concept à l'anecdote, guidés par un ciment invisible, mais tout-puissant, qui est le grand récit épique appelé le Mahabharata. L'Inde, une illusion qui ne trouve sa réalité que dans un poème. Le défi suprême, ici accompli. - 4e de couverture
Durée : 12h. 5min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 20034
Résumé:Jusqu'à quel point connaît-on vraiment son enfant ? Mike et Tia ne cessent de se poser la question : leur fils Adam, seize ans, a changé. Réfugié dans sa chambre, il ne quitte plus son ordinateur. Malgré leurs réticences, Mike et Tia se décident à installer un logiciel de contrôle. Un jour, un e-mail inquiétant. Et Adam disparaît. Sans un mot... C'est alors que tout bascule. Sur un rythme d'enfer, Harlan Coben nous entraîne dans un thriller plus électrisant que jamais. Pièges du web, délinquance virtuelle, tueur psychopathe, le maître de nos nuits blanches se joue de nos angoisses avec une délectation machiavélique.
Durée : 2h. 17min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 20005
Résumé:Un homme prend le train pour Tôkyô. Un passager lui parle d'un fantôme en manteau de pluie. Quelques instants plus tard, il croise une personne en manteau de pluie, trop léger pour la saison. Dans sa chambre d'hôtel, un troisième manteau est posé sur le dossier de son fauteuil... Autant d'indices de l'engrenage qui entraîne le narrateur vers la folie. Deux nouvelles posthumes de ce grand auteur de la littérature japonaise, terribles pages qui préparent la mise en scène de son suicide...
Durée : 5h. 4min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 19889
Résumé:Nous demandons à la pensée qu'elle dissipe les brouillards et les obscurités, qu'elle mette de l'ordre et de la clarté dans le réel, qu'elle révèle les lois qui le gouvernent. Le mot de complexité, lui, ne peut qu'exprimer notre embarras, notre confusion, notre incapacité à définir de façon simple, à nommer de façon claire, à ordonner nos idées. Sa définition première ne peut fournir aucune élucidation : est complexe ce qui ne peut se résumer en un maître mot, ce qui ne peut se ramener à une loi ni se réduire à une idée simple. La complexité est un mot problème et non un mot solution. Edgar Morin propose ici une pensée qui relève les défis de la complexité afin de mieux comprendre nos personnes, notre humanité, notre monde.
Durée : 2h. 38min.
Genre littéraire : Contes et légendes
Numéro du livre : 19830
Résumé:Car un laque décoré à la poudre d'or n'est pas fait pour être embrassé d'un seul coup d'œil dans un endroit illuminé, mais pour être deviné dans un lieu obscur, dans une lueur diffuse qui, par instants, en révèle l'un ou l'autre détail, de telle sorte que, la majeure partie de son décor somptueux constamment caché dans l'ombre, il suscite des résonances inexprimables. De plus, la brillance de sa surface étincelante reflète, quand il est placé dans un lieu obscur, l'agitation de la flamme du luminaire, décelant ainsi le moindre courant d'air qui traverse de temps à autre la pièce la plus calme, et discrètement incite l'homme à la rêverie. N'étaient les objets de laque dans l'espace ombreux, ce monde de rêve à l'incertaine clarté que sécrètent chandelles ou lampes à huile, ce battement du pouls de la nuit que sont les clignotements de la flamme, perdraient à coup sûr une bonne part de leur fascination. Ainsi que de minces filets d'eau courant sur les nattes pour se rassembler en nappes stagnantes, les rayons de lumière sont captés, l'un ici, l'autre là, puis se propagent ténus, incertains et scintillants, tissant sur la trame de la nuit comme un damas fait de ces dessins à la poudre d'or.