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Recherche par genre: Essai/chronique/langage

957 résultats. Page 36 sur 48.

Durée : 10h. 12min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29940
Résumé:À travers dix-huit chroniques - plus une nouvelle - que Julian Barnes nous entraîne à la rencontre de romanciers lui ayant fait connaître «ce lien profondément intime qui s'établit quand la voix d'un écrivain entre dans la tête d'un lecteur». On connaît son amour pour la France et on ne s'étonnera donc pas que près de la moitié d'entre eux soient français ou francophiles comme lui, par exemple Kipling ou Ford Madox Ford. Voici Mérimée, Chamfort, Félix Fénéon, évidemment Flaubert, plus Michel Houellebecq, au fil des pages où l'érudition laisse souvent la place à énormément d'humour - à quoi n'échappent pas non plus Orwell, Updike ou Hemingway. Au final, un éblouissant et décapant florilège.
Durée : 7h. 43min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 23339
Résumé:Ovide est surtout connu pour son Art d’aimer et ses Métamorphoses. En l’an 8, pour une raison qui reste énigmatique, il déplaît à l’empereur. Tout ce que l’on sait, c’est qu’il a « vu quelque chose qu’il n’aurait pas dû voir ». Auguste lui fait grâce de la vie, mais l’exile au bout du monde connu, sur le Pont-Euxin, à l’actuelle frontière de la Roumanie et de l’Ukraine, dans le delta du Danube. Là-bas c’est le froid, la guerre, et les barbares. Plus loin, personne ne sait ce qu’il y a : des marécages, des oiseaux migrateurs... Le « bout du monde » n’est pas une vaine expression. Amoureux de sa femme, amoureux de Rome et de sa vie mondaine, Ovide se retrouve donc seul, isolé au milieu des Gètes vêtus de peaux de bête. » Le barbare, ici, c’est moi » : personne ne parle sa langue. Pendant huit ans, il écrit des lettres à Rome, recueillies en deux volumes : les Tristes, et les Pontiques. Elles mettent six mois à faire le voyage, comme la réponse, quand il y a en a. Ovide meurt dans ce « Pays du Pont, pays de galop et d’errance ». On n’a jamais retrouvé sa tombe. Restent une centaine de lettres dont existent de nombreuses traductions, mais Marie Darrieussecq a voulu essayer de leur rendre leur flux poétique, en restant fidèle au texte, mais en essayant aussi de réinventer un rythme. Ovide écrivait dans l’harmonie « iambique », ces vers latins alternés, à deux jambes. Il n’y a pas d’équivalent en poétique française, mais cette espèce de claudication, parfois à la limite de la boiterie, elle a essayé de lui trouver un équivalent dans sa langue. Cela fait deux mille ans cette année qu’Ovide a été banni…
Lu par : Martine Saclier
Durée : 2h. 14min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26457
Résumé:L'histoire, la religion ou encore la mythologie s'invitent souvent dans le langage courant. Savez-vous d'où vient l'expression « être médusé » ou encore « donner sa langue au chat » ? Ou pourquoi l'on parle d'un nom « à coucher dehors » ? Destiné à tous les curieux, ce livre recense les expressions les plus connues et vous explique leur origine. Ludique et agréable, il est un bon moyen de se cultiver tout en s'amusant !
Lu par : Jean-Michel Rat
Durée : 1h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25889
Résumé:Voici les grands héros de la mythologie : ils relèvent des défis fous (Héraclès), bravent les dieux (Prométhée), refusent les lois injustes (Antigone) ou affrontent leur destin (Achille). Contre eux, des monstres redoutables, la Chimère, l'Hydre de Lerne, Méduse, s'acharnent ! Après chacune de ces fables, de " petits rebonds " vous invitent à réfléchir, questionner... et, pourquoi pas, philosopher !
Lu par : Armelle Mornet
Durée : 2h. 2min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29539
Résumé:A partir d'un conte de fée, cet album a vocation à permettre à l'enfant une meilleure maîtrise des règles d'accord du participe passé. Sont traités dans cet ouvrage les participes passés où la finale orale correspond à : é, i, u, un autre ouvrage traitera des participes passés où la finale écrite ne correspond pas à l'oral. [source ALS]
Lu par : Manon
Durée : 2h. 47min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 29153
Résumé:Un essai nourri des propres expériences de l'auteur pour découvrir l'Inde à travers les yeux de quatre écrivains qui comme lui ont entretenu un lien privilégié avec le pays : P. Loti, A. Gide, A. Malraux et H. Michaux.
Durée : 4h. 40min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22349
Résumé:L'étude des différentes manières de ne pas lire un livre, des situations délicates où l'on se retrouve quand il faut en parler et des moyens à mettre en oeuvre pour se sortir d'affaire montre que, contrairement aux idées reçues, il est tout à fait possible d'avoir un échange passionnant à propos d'un livre que l'on n'a pas lu, y compris, et peut-être surtout, avec quelqu'un qui ne l'a pas lu non plus.
Durée : 6h. 36min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 24330
Résumé:Du Petit Prince, l'on sait qu'il aura été l'un des plus grands succès de l'édition mondiale. Livre traduit dans toutes les langues et les dialectes de la " terre des hommes ", livre fétiche, livre culte. Mais connaît-on l'histoire de sa création en 1942 ? New York, terre d'exil d'Antoine de Saint-Exupéry. Il traîne sa mélancolie dans Manhattan, se disperse en amours de passage tout en exaltant sa passion pour son épouse, Consuelo. Héros sans emploi, il veut repartir au front, engager sa " chair dans l'aventure ". Pressé par une frange de la petite société d'émigrés français de prendre parti, il refuse les polémiques et les querelles idéologiques. La rédaction du Petit Prince est vécue comme une résurrection. Elle lui rendra la fraîcheur des sources, sa liberté, son chemin d'étoiles. S'appuyant sur des documents inédits provenant des archives privées de Consuelo de Saint-Exupéry et de nombreux témoignages, Alain Vircondelet raconte ici le temps de cette histoire où s'entremêlent l'amour, la guerre, la féerie de l'enfance, la solitude et le désespoir.
Lu par : Roger Messié
Durée : 14h. 17min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 24105
Résumé:19ème siècle. Présentation du courant littéraire romantique allemand alors méconnu en France.
Durée : 7h. 31min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22550
Résumé:S'il n'y avait que la banquise... mais aujourd'hui même le français part à vau-l'eau. Notre syntaxe mollit, notre vocabulaire fond, l'orthographe de nos enfants se liquéfie, menaçant de submerger un niveau scolaire qui n'en finit pas de baisser. Les responsables de ce déclin ? La prolifération des SMS, du franglais, de la culture «pipole» et du parler «djeun's», entre autres résultantes du je-m'en-foutisme général érigé en doctrine. Jadis, loin d'abâtardir le français, la langue argotique lui réchauffait le sang. Les nouveaux «sabirs de proximité», à l'opposé, l'appauvrissent et l'enlaidissent au point de le rendre méconnaissable. Il en va désormais du français comme de ces maisons graffitées que l'on n'ose plus nettoyer : chacun observe les dégradations, mais nul n'intervient. Aux armes, francophones ! Parce que le français ne s'use que si l'on ne s'en sert pas, Pierre Merle repart en croisade, non sans humour. A l'aide d'exemples puisés dans la rue, dans la presse, à la radio ou sur Internet, il pourfend les liquidateurs de notre (presque) défunte langue. Un réquisitoire qui déchire mais qui calme grave.
Lu par : Isabelle Lebrec
Durée : 11h. 6min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22402
Résumé:Voici une fresque dont les héros s'appellent Malraux, Saint-Exupéry, Prévert, Picasso, Dali, Eluard, Dos Passos, Hemingway, Orwell, Capa... Voici un kaléidoscope d'enthousiasmes et d'illusions tendu entre la montée du fascisme et la guerre d'Espagne, entre la tentation communiste et un désir de révolution sociale, morale, artistique, politique... Voici un livre où l'on passe de l'après-guerre à l'avant-guerre. Du rêve à l'apocalypse. De l'anecdote à la passion et à l'idéologie. L'amour, la légèreté et l'imminence des drames y battent la mesure à un rythme d'enfer... Nous sommes entre Paris, Madrid, Berlin et Moscou, dans une époque qui hésite avec désinvolture entre l'espoir et le chaos... C'est ce chaos que Dan Franck a entrepris de ressusciter dans cette galerie de portraits et d'événements où se réfléchit l'histoire (grande et petite) qui a sculpté notre modernité. Voici le roman vrai d'une génération dont les héros, juchés sur les barricades de l'art et de l'esprit, criaient " Libertad ! ".
Durée : 9h. 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26295
Résumé:En vingt deux chapitres, depuis " Mythologies ", jusqu'aux " Conquérants ", et passant par "Nous sommes tous de grands enfants ", "Les observateurs de Civilisations ", "Du bon usage des moyens de transport "... Marc Wiltz propose une nouvelle lecture de 80 livres qui l'ont marqués et dont le thème principal tourne autour du voyage. Sont ainsi convoqués dans cette saga de l'aventure par l'écriture Don Quichotte et Casanova, Henry Miller et André Malraux, Bruce Chatwin et Victor Segalen, Saint-Exupéry et Hemingway... Et le personnage mythique du premier voyageur : Ulysse. "Tout est parti d'Homère, le poète, l'aveugle, le chantre, celui qui, pour le bonheur ou le soin mental des autres, a la charge de les distraire, de les sortir de leurs préoccupations, de rassembler dans un verbe social les faits et les gestes mystifiés de leur existence. Au commencement était la parole de l'aveugle, celui qui n'existait pas, celui qui ne savait pas écrire. Comme Jésus, celui que les écritures disent fils du verbe, mais dont aucune preuve historique n'atteste la réalité et dont, sans écrire lui-même, le geste a inspiré tant et tant de littérature... Pourquoi croire en l'un et pas en l'autre ? " Pour présenter les chapitres de ce grand rassemblement, l'auteur explique par l'exemple en quoi ses propres voyages ont été influencés par les lectures de ces auteurs magnifiques pour lesquels il se livre là à un salutaire exercice d'admiration.
Lu par : Danielle Lejeune
Durée : 5h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 26066
Résumé:Un essai littéraire et biographique consacré à Arthur Rimbaud. "A nous deux, Jean Arthur Rimbaud. J'avais dix-neuf ans. C'était dans un collège de Saint-Malo. Un ami m'avait donné le livre de tes oeuvres. Et je lus, en cachette, sous l'oeil bigleux d'un pion idiot, les poèmes, la Saison en Enfer, les Illuminations, tout. Et je fus comme foudroyé... Je marcherai avec toi dans le soleil. Au Harar, avec les caravanes. Dans le désert somali. Et sur les boutres de la mer Rouge, vers Aden. II y a l'or et le musc, les fusils et les cotonnades. Et le signe sublime et divin des minarets sur la poussière des villes... Arthur, s'il te plaît, redis donc à ce monde glacial les brûlures du Choa, et les morsures de la douleur intérieure, là, profonde et quotidienne, ô notre compagne... l'imparable liberté de Dieu et l'auberge dans l'oasis où l'imam est un prophète et le chamelier un prince. A nous deux Jean Arthur Rimbaud, et que le vent des royaumes se lève et nous caresse !"
Lu par : Manon
Durée : 11h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 28890
Résumé:Trente récits d'histoires étonnantes et impossibles qui sont pourtant arrivées : un magicien qui garantit la prospérité à ses clients, un médecin reconnu mondialement alors qu'il n'a jamais été diplômé, etc.
Lu par : Pierre Gautier
Durée : 6h. 41min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22427
Résumé:D'Alembert retrace les origines de son encyclopédie et nous décrit l'esprit du siècle des Lumières.
Durée : 16h. 26min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22691
Résumé:"Les racistes sont des êtres inférieurs", la phrase revient comme un boomerang : celui qui pense qu'il y a des êtres inférieurs est raciste... et s'autoproclame ainsi être inférieur. Quel crédit lui accorder ? Énoncer une telle phrase, c'est aussi suggérer l'opposé. Regardez autour de vous, les livres et les conversations regorgent de ces incongruités. Ce fourmillement fait ce livre. La définition du paradoxe doit être paradoxale : depuis le calamiteux "Je mens" des Grecs, et en disant "Je mens", je dis la vérité, donc je ne mens pas, mais alors... une caractéristique du paradoxe est ainsi que son contraire semble aussi pertinent. Cette constatation du "contraire vrai" a donné naissance à des théorèmes de logique prouvant l'existence inéluctable de propositions mathématiques indémontrables, une des grandes découvertes logiques du XXe siècle. Le paradoxe est le ferment de vérités ; en prime, il est drôle car nous aimons prendre en défaut des pseudo-certitudes qui se révèlent absurdes et nous goûtons les phrases apparemment stupides qui font surgir la vérité : "Je le crois parce que c'est absurde" (Credo quia absurdum) proclamait le Carthaginois Tertullien.
Durée : 1h. 55min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 27102
Résumé:Dans cette conversation qui prend parfois des allures de déambulation, plusieurs thèmes sont évoqués : le déplacement, que Le Clézio préfère à la fuite, l'enfance et ses rêves, l'alchimie et les lieux de l'écriture, la magie de l'aviation, des avions à hélices, du ciel, enfin visité.
Lu par : TOURNOIS
Durée : 4h. 50min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 22244
Résumé:Celui qui ne verrait dans Le Théâtre et son double qu'un traité inspiré montrant comment rénover le théâtre - bien qu'il y ait sans nul doute contribué -, celui-là se méprendrait étrangement. C'est qu'Antonin Artaud, quand il nous parle du théâtre, nous parle surtout de la vie, nous amène à réviser nos conceptions figées de l'existence, à retrouver une culture sans limitation. Le théâtre et son double, écrit il y a un demi-siècle déjà, est une œuvre magique comme le théâtre dont elle rêve, vibrante comme le corps du véritable acteur, haletante comme la vie même dans un jaillissement toujours recommencé de la poésie.
Durée : 2h. 53min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 23950
Résumé:Avez-vous peur de mourir dans votre sommeil, enseveli sous l'écroulement de votre bibliothèque ? L'accumulation de livres ne met-elle pas en danger l'existence même de votre famille ? Classez-vous les volumes par thème, langue, auteur, date de parution, format ou selon un autre critère de vous seul connu ? Peut-on faire voisiner sur une étagère deux auteurs irrémédiablement brouillés dans la vie ? Autant de graves questions se posant à cette espèce en voie de disparition : les bibliomanes, qui, outre la passion de posséder les livres, ont celle de les lire. Les bibliothèques sont des êtres vivants à l'image de notre complexité intérieure. Elles finissent pas composer un labyrinthe dont pour notre plus grand, et dangereux, plaisir, nous pouvons très bien ne plus sortir. Dans ce petit traité sur l'art de vivre avec trop de livres apparaissent, parmi nombre d'autres, Pessoa tentant de devenir bibliothécaire, Matisse postulant au poste de " contrôleur du droit des pauvres " ou encore le capitaine Achab et le mystère de sa jambe abandonnée à Moby Dick. En fait, ces milliers de pages qui occupent nos étagères sont peuplées de fantômes bien vivants qui, une fois rencontrés, ne nous quittent plus.
Lu par : Alain Masson
Durée : 18h. 1min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 25385
Résumé:La Nouvelle Revue française a cent ans. C'est une longévité rare pour une revue de littérature et de critique. Aussi singuliers sont la notoriété et le rayonnement qui furent les siens dès les premiers temps de sa publication et durant tout le siècle. Quels étaient donc le projet et la situation d'André Gide et de ses amis cofondateurs pour que cette aventure se prolongeât si durablement ? S'agissait-il de faire école, d'élever une bannière ? Assurément non. Seulement, ici, la littérature a tous les droits. Rien ne lui est opposable. Ni la religion ni la politique, ni les moeurs ni la morale, ni la tradition ni la mode. Peu importe que l'on considère la parole de l'écrivain comme un don ou un effort, une aptitude ou une discipline. Seuls comptent l'intensité d'écriture et son pouvoir de révélation, cette singularité dans l'ordre de la connaissance et du discours qu'on lui accorde, au-delà de toute doctrine et «préoccupation» qui la limiteraient. «Sans prévention d'école ni de parti», telle fut La NRF : comme le disait Jacques Rivière, l'un de ses grands directeurs, «un lieu d'asile, imprenable, ménagé pour le seul talent, le seul génie, s'il veut bien se montrer». Et il s'est bien montré, avec Gide et Claudel, Proust et Martin du Gard, Larbaud et Supervielle, Saint-John Perse et Michaux, Malraux et Sartre, Alain et Blanchot... et par la voix de tant d'autres, tous gravitant autour d'un même soleil. Cette chronique de La NRF, riche en amicales et laborieuses complicités mais aussi en querelles, questionnements et détours inattendus, montre à quel point cette singulière histoire éditoriale s'est entremêlée à un grand siècle de littérature.