Recherche par auteur : Vilain, Philippe
6 résultats.
Lu par: Dominique de Germay
Durée: 4h. 21min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 65335
Quatrième de couverture: Dans ce livre, à la fois essai et analyse de sa propre psychologie, Philippe Vilain se penche sur les ressorts de la timidité dans ses rapports à la pudeur, à la crainte et à la honte, et les différentes manifestations de celle-ci.
Lu par: Jacqueline Duperret
Durée: 3h. 37min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 19374
Quatrième de couverture: « Je n'oublierai jamais le jour où j'ai appris que ma femme me trompait. » Un SMS lu par hasard. Le héros découvre que sa femme a un amant. Et que se passe-t-il ? Rien. Il ne fait aucune observation, ne modifie pas son comportement. Il observe sa femme, sa femme infidèle. L'a-t-elle toujours été ? Est-elle bien celle qu'il croyait connaître ? Le choix du silence sauvera-t-il leur couple ? Qu'en est-il de la mystérieuse Morgan Lorenz ? Le portrait d'un homme trompé, le portrait d'une femme dissimulatrice, le portrait d'un couple éternel.
Lu par: BAOB
Durée: 6h. 26min.
Genre: Roman d'amour
Numéro: 37170
Quatrième de couverture: Inscrite en master de lettres modernes dans une université parisienne, Emma Parker, 20 ans, fille d'un diplomate américain, rencontre et séduit un écrivain de 39 ans. Leur relation commence tendrement jusqu'à ce qu'Emma confie à son amant qu'elle a gardé une séquelle d'un accident de voiture sous la forme d'un hématome extra-dural, inopérable et peut-être fatal.
Lu par: Jean-Yves Fournier
Durée: 2h. 51min.
Genre: Roman d'amour
Numéro: 34470
Quatrième de couverture: Paris, place du Châtelet, un après-midi d'été. Un homme aborde une femme, grande, mince, des lunettes de soleil dans les cheveux. Elle rayonne. Sa beauté s'impose comme une évidence. lis deviennent amants, par jeu, sans bien savoir s'ils s'aiment. Pourtant, Flore Jensen est mariée, apparemment heureuse dans son couple. Avec cet amant-là, ce n'est plus son mari qu'elle trompe, c'est l'ennui. Ou une blessure plus profonde encore...Paris l'après-midi a le charme d'un film de Truffaut et la finesse d'une maxime de Chamfort. Le roman d'un moraliste amoureux.
Lu par: Pierrette Johner
Durée: 4h. 24min.
Genre: Roman d'amour
Numéro: 18331
Quatrième de couverture: Un jeune professeur de philosophie, d'origine parisienne, est affecté dans une ville du nord de la France. Déçu de cette affectation, nostalgique de sa vie dans la capitale, les premiers temps sont une épreuve. Il rencontre Jennifer, une coiffeuse, qui devient son amante. Tout les oppose : l'appartenance sociale et les ambitions, le langage et les goûts... Est-il possible pour un professeur d'aimer une coiffeuse ? Ce roman propose une réflexion sur le choix amoureux, le racisme des sentiments, l'absurde de l'amour qui, parfois, nous fait choisir des partenaires qui ne sont pas notre genre.
Lu par: Marianne Pernet
Durée: 3h. 25min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 30336
Quatrième de couverture: C'est l'histoire d'un homme qui joue. Pourquoi joue-t-il ? Pour jouir du moment ? Pour fuir quelque chose ? Paul gagne pourtant convenablement sa vie, il a une femme belle et intelligente qui réussit dans son métier. Rien de flamboyant dans son jeu, pas de casino, de roulette et de mélodrame. Non, le jeu le plus simple, le jeu en ligne, les paris sur des matchs de football. Et c'est précisément parce qu'il est plus simple, qu'il peut s'y adonner de chez lui, qu'il est le plus captivant, dans les deux sens du terme : il le captive, il en est captif. Sara se méfie, Sara souffre, Sara menace. Paul promet d'arrêter. Il recommence. Il ment. Croit à ses mensonges. Tente d'arrêter. Se désintoxique. Recommence. Et toujours en se donnant les justifications les plus habiles, les plus spécieuses, les plus mensongères, car c'est lui qui raconte l'histoire de son jeu. Et nous comprenons que c'est avec sa vie qu'il joue."Je ne la '' touchais plus '', comme elle disait, comme elle en souffrait. Pour le dire de façon vulgaire, je ne bandais pour rien d'autre que me mettre en jeu, miser de l'argent, risquer de le perdre, et, si je baisais quelqu'un, ce n'était jamais que les bookmakers, en me montrant plus perspicace qu'eux". Cet artiste de la confidence, jusqu'à quel point ne ment-il pas dans son récit même ? Ce qui est certain, c'est que "le jeu est plus fort que le joueur". Avec la finesse psychologique qu'on lui connaît, la délicatesse dans l'approche des sentiments violents, Philippe Vilain fait le portrait d'une passion, le portrait d'un couple, le portrait de la nocivité profonde de cette passion sur ce couple.