Recherche par auteur : Barilier, Etienne
21 résultats. Page 1 sur 2.
Lu par: Philippe Diserens
Durée: 5h. 12min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 70407
Quatrième de couverture: Le roman a pour décor le Paris du XIXe siècle, oscillant entre accalmies et luttes pour la liberté. Marqué par la mort prématurée de ses parents, Louis Lefèvre est élevé par sa tante. Choyé, le garçon fait pourtant montre d’un caractère farouche et ombrageux. Très jeune, Louis manifeste un don pour la composition et se réfugie dans la musique. Séduit par un idéal de justice sociale, Louis se joint aux journées révolutionnaires de 1848 et 1871 et rêve d’y consacrer une majestueuse symphonie. Malgré un talent hors pair, Louis rechigne à rendre ses œuvres publiques. Son trouble mental s’aggrave : quasi-aliéné, rongé par la haine de soi, il détruit ses créations. Une suite de passions tragiques creuse le gouffre de sa folie : chez lui, l’amour du beau s’accompagne de l’attrait irrésistible de la violence qui le poussera à la transgression...
Lu par: Christophe Monney
Durée: 2h. 32min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 72068
Quatrième de couverture: Fils de pasteur, et de santé fragile, dans un village des années 1950, l'auteur fait du monde et de ses rudesses, mais aussi de la religion et de ses exigences, une expérience anxieuse. Dieu, appelé au chevet de l'enfant malade qu'il était alors, ne s'y est pas rendu. Soixante ans plus tard, son épouse sera victime d'une maladie mortelle, et Dieu n'aura pas cillé davantage. Cependant, cette épouse était croyante. Mais sa foi fut heureuse. Elle ne voyait pas la douleur partout, et n'en faisait pas un argument. L'amour ne lui était pas blessure. Pour elle, Dieu n'était pas absent : il suffisait d'aimer la vie. Revenant sur certains événements marquants de sa vie, abordant avec simplicité de grandes questions comme celle du Mal, de la mort, de la foi ou de l'amour, Etienne Barilier nous livre ici un texte intime et lumineux, qui bouleverse et vous retient encore bien après sa lecture.
Lu par: Brigitte Cottens
Durée: 15h. 54min.
Genre: Roman historique/biographique
Numéro: 38141
Quatrième de couverture: En 1884, le Soudan est à feu et à sang. Le Madhi, ascète mystique et chef de guerre, veut rétablir l’islam dans sa pureté. Il s’oppose à la tutelle anglo-égyptienne. Pour chasser l’occupant étranger, il assiège la capitale Khartoum. La ville est défendue par le général anglais Charles Gordon. C’est un étrange militaire, sorte de saint laïc, aimé des Khartoumois pauvres, qu’il veut protéger envers et contre tout. Peu d’Européens restent dans la ville. Un ancien communard, un trafiquant pervers, un archéologue naïf, deux femmes intrépides… La menace aiguise et révèle leur caractère. Se fondant sur un épisode historique réel, Etienne Barilier restitue le vacarme d’une ville assiégée. Il nous emporte dans un roman à la fois ample et précis, lyrique et documenté, tragique et généreux. Un récit à l’actualité saisissante : les dirigeants actuels du Soudan sont des héritiers de l’idéologie mahdiste…
Lu par: Christine Leonardi
Durée: 6h. 29min.
Genre: Arts
Numéro: 36928
Quatrième de couverture: La musique dans l'exil, et la musique de l'exil. Comment l’éloignement contraint de leur terre d’origine a-t-il affecté les œuvres des musiciens qui ont vécu cette épreuve ? C’est à cette question qu’Étienne Barilier tente de répondre dans cet ouvrage, en scrutant les œuvres qui expriment, voire thématisent l'exil. Selon le contexte historique (insurrection polonaise, révolution russe, stalinisme, nazisme...) ou l'« issue » de leur exil, il évoque ceux pour qui cela n’a pas eu apparemment grande conséquence sur la puissance créatrice (Stravinsky, Schönberg, Milhaud) et ceux chez qui il tarit peu ou prou la veine créatrice (Rachmaninov, Bartók) ; le retour peut être plus ou moins catastrophique (Prokofiev ou, dans des circonstances tout autres, Korngold). Un exil intérieur peut être contraignant jusqu'à la mort (Chostakovitch, Weinberg, Feinberg); il a été aussi prélude à l'assassinat en camp d'extermination, et suscitant des œuvres de résistance (Ullmann, Schulhoff). Zemlinsky, Hindemith, Kurt Weill et bien d’autres illustreront ici comment le plus immatériel des arts, la musique, peut incarner le déchirement, la séparation et la permanence d’une identité. De cette fracture intime que le XXe siècle a lestée de sa douleur propre, Étienne Barilier développe des enjeux de civilisation qui, bien au-delà de la musique, touchent durablement notre époque.
Lu par: Jacques Zurlinden
Durée: 6h. 12min.
Genre: Biographie/témoignage
Numéro: 16885
Quatrième de couverture: Mystère d'une vie de solitaire. Borromini est «un enfant de Saturne», un mélancolique, un homme renfermé. Certains le croient homosexuel. On ne lui connaît ni maîtresses, ni femmes, ni enfants. Sa solitude a quelque chose de dépressif, elle frise la paranoïa. L'artiste vit dans l'angoisse d'être pillé. Normal, il est conscient de sa valeur, son oeuvre a de l'éclat. Il brille très tôt, à l'âge de 9 ans, déjà! Le petit bonhomme vient de quitter son Tessin natal. A Milan où il s'installe, il suit un apprentissage dans une école rattachée à «la fabrique du Dôme». Là, chez les grands, Francesco fait preuve d'indépendance d'esprit, d'inventivité. Il est doué, c'est dans ses gènes. «Le Tessin a toujours été un pays de constructeurs et d'architectes, qui firent les beaux jours de l'Italie mais aussi de bien d'autres pays européens, sans compter la Russie», écrit Etienne Barilier.
Lu par: Pierre-Bernard Elsig
Durée: 5h. 26min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 16065
Quatrième de couverture: Lorsqu'Alfred Dreyfus, le 5 janvier 1895, fut dégradé sur la place publique, plusieurs écrivains assistaient à la scène. Certains, comme Maurice Barrès et Léon Daudet, virent en Dreyfus le traître parfait. D'autres, cependant, pressentirent son innocence. Pourquoi ? Pourquoi Zola, Proust, Martin du Gard, Anatole France, Charles Péguy devinrent-ils des dreyfusards ? Et comment le furent-ils dans leur oeuvre littéraire ? Car ils ne se sont pas seulement engagés en tant qu' « intellectuels » qui défendent une cause. Ils ont pris l'Affaire en charge dans leur oeuvre de romanciers ou de penseurs.
Lu par: Jacques Zurlinden
Durée: 7h. 28min.
Genre: Philosophie/religion/spiritualité
Numéro: 14449
Quatrième de couverture: Présentation de l'éditeur : L'Europe n'a plus conscience d'être une civilisation. Au nom de ses crimes anciens, elle a renié le meilleur d'elle-même. Mais en ce début de XXIe siècle, elle n'a plus rien à renier parce qu'elle a tout oublié. Appauvrie et démunie, elle veut être bien avec tous ses voisins, proches et lointains. Elle veut surtout faire le Bien : nos artistes, nos politiques, nos médias, et jusqu'à notre langage, sont maniaques de la vertu. Hélas, c'est la vertu des faibles. Notre Bien est peureux, négatif, superficiel, et surtout il est vide. Et si, au lieu de vouloir être bons, nous essayions d'être nous-mêmes ? Et si, face aux grandeurs des autres civilisations, nous songions à notre grandeur propre, qui n'est pas de chercher la perfection, mais de nous vouloir perfectibles, et de chercher le bien sans jamais quitter des yeux la beauté ni la vérité ?
Lu par: Hélène Knobel
Durée: 1h. 42min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 6251
Quatrième de couverture: Un court récit d'Etienne Barilier, à caractère onirique. Etait-ce songe ou mensonge, vérité entrevue ou suggestion sournoise ? Que cache l'étrange langage des perroquets de l'île ?
Lu par: Brigitte Cottens
Durée: 11h. 1min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 16211
Quatrième de couverture: De jeunes étudiants, amis dans les années 1960, se retrouvent quarante ans plus tard lors d'une fête où ils se jaugent, observent leurs amours et leurs enfants, leur idées d'hier et d'aujourd' hui. Engagés de droite ou de gauche, les rôles ne sont pas radicalement différents mais leurs idéaux sont tombés en poussière.
Lu par: Anne Gabus
Durée: 9h. 40min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 1242
Quatrième de couverture: Roman policier, agressif et retors, roman de la beauté, contemplatif et musical, Le chien Tristan est d'abord le roman du romantisme, de sa grandeur et de sa dérision. Volontairement cloîtrés au coeur de Rome, les personnages de ce livre « jouent » à s'identifier aux grands créateurs du XIXe siècle, Wagner, Liszt ou Nietzsche. Fous du génie qu'ils n'ont pas, ils sentent que le romantisme, bien plus qu'une exaltation de la passion, est une recherche passionnée de la vérité. A cette vérité, ils sacrifient leur bonheur et leur équilibre. Hors de leur siècle, de leur pays, hors de toute certitude religieuse, placés nus devant l'évidence et l'effroi de l'existence, ces « inadaptés » sont pourtant l'image de l'homme contemporain, déraciné du sacré, et n'osant plus s'avouer à lui-même sa quête désespérée de la vérité. Confrontés à une femme qui refuse le rôle de sublime prétexte, les personnages de ce roman deviendront les rivaux tragiques et pitoyables d'un être dont le regard détient la vérité sans la conscience : un chien, que sa maîtresse a nommé Tristan.
Lu par: Fernande Guex
Durée: 7h. 33min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 2666
Quatrième de couverture: Un très jeune homme, ignorant tout de la vie, mais habité par des rêves de perfection, se croit porteur d'une "Idée" qui révolutionnerait le monde et sauverait l'humanité. S'il se rend dans les Grisons, à Sils-Maria, durant ses vacances d'été, c'est bien sûr parce que ce site lui paraît s'accorder à ses préoccupations. Mais c'est aussi pour y rencontrer celui qu'il considère comme l'inspirateur de son "Idée", un écrivain tant admiré n'a rien d'un maître à penser. D'ailleurs, il se jouera cyniquement de son admirateur.
Lu par: Brigitte Cottens
Durée: 6h. 10min.
Genre: Nouvelle
Numéro: 17552
Quatrième de couverture: Musique, poésie, beauté d'une femme, recherche de la vérité..., la plupart des héros de ces nouvelles sont travaillés par un idéal qui peut les mener à tuer pour une fausse note comme à sublimer un amour.
Lu par: Anne-Marie Schaltegger
Durée: 3h. 59min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 31301
Quatrième de couverture: A l'origine de ce roman, la longue mèche de cheveux blonds de Lucrèce Borgia, qu'on peut voir à Milan, présentée dans un véritable ostensoir. Deux amis, Clément et Arnaud, qui se ressemblent comme deux frères, sont également fascinés par cette chevelure. Ils vont bientôt rencontrer une Lucrèce bien vivante, dans laquelle ils voudront retrouver, chacun à leur manière, celle de la Renaissance. Ils ne pourront s'accomplir qu'en la rejoignant, qu'en se faisant reconnaître d'elle, par l'amour ou par la force. Dans la lumière de Florence, puis de Capri, le courage et la lâcheté, le sordide et le beau vont s'affronter et se combattre. D'abord impalpable et légère, puis implacable et violente, cette brève tragédie n'est pas sans rappeler les récits d'amour et de mort dont un Stendhal a pu s'inspirer pour ses "chroniques italiennes". Mais les personnages qu'elle met en scène, avec leurs espérances, leurs passions, leurs abîmes, sont bien d'aujourd'hui.
Lu par: Anne-Lise Zambelli-Blanc
Durée: 4h. 13min.
Genre: Société/économie/politique
Numéro: 13106
Quatrième de couverture: Barilier émet d'emblée une hypothèque, l'Europe est atteinte de narcissisme et si elle l'avait un peu oublié, le 11 septembre 2001 a eu tôt fait de remettre les pendules à l'heure, obligeant chacun à affirmer clairement sa position au sein des autres. On a pu voir le chaos provoqué et la belle entente de façade se lézarder de toutes parts. Parallèlement à cette notion de civilisation européenne dans laquelle Barilier donne un bon coup de pied, on y trouve également un développement intéressant de ces notions de bonne civilisation et mauvaise civilisation (ça ne vous rappelle pas les propos d'un certain Berlusconi sur la civilisation arabe ?), et aussi de fossé infranchissable séparant les deux. Les attentats américains dont on parlera encore longtemps seraient-ils une riposte des mauvais envers les bons, comme les faiseurs de guerre nous l'ont fait croire ? Si un s'est défendu (même via le terrorisme), n'est-ce pas parce que l'autre l'avait provoqué, Et donc, en filigrane, est-ce bien fait ? L'antiaméricanisme latent qui n'attendait que d'être réveillé a-t-il profité de l'occasion ? La question a le mérite d'être posée et Barilier se garde bien de donner la vérité suprême en la matière. Il préfère analyser les propos de l'écrivain bengali Arundathi Roy qui considère Al-Qaïda comme le simple effet miroir d'une mondialisation économique tout aussi violente. Ou Noam Chomsky, comparant le 11 septembre 2001 à une pacotille à côté de toutes les exactions et horreurs dont les Etats-Unis sont responsables un peu partout dans le monde. Une théorie à laquelle j'adhère volontiers mais ce faisant, ne cautionne-t-on pas indirectement violence et terrorisme? sahkti@hotmail.com /zazieweb.fr
Lu par: Brigitte Cottens
Durée: 2h. 58min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 17908
Quatrième de couverture: Au cours d'un festival d'été, dans le sud de la France, une jeune pianiste chinoise joue Scarlatti, Brahms et Chopin. Subjugué, un critique musical salue en elle la plus grande pianiste d'aujourd'hui. Un autre critique, ironique et distant, dénonce chez la même pianiste un jeu sans âme, fait d'artifice et d'imitation. Les deux journalistes se disputent à grand renfort de blogs et de courriels. Ils se connaissent de longue date, et leur querelle esthétique se double d'un conflit plus intime. Choc des egos plutôt que de civilisations ?
Lu par: Fernande Guex
Durée: 8h. 46min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 3947
Quatrième de couverture: Roman épistolaire, traite du mensonge et de la vérité, aussi bien au niveau individuel que public, sur le fond historique du mouvement de libéralisation de 1968 en Tchécoslovaquie - le printemps de Prague - et de l'intervention armée de l'Union Soviétique.
Lu par: Jacques Zurlinden
Durée: 8h. 48min.
Genre: Société/économie/politique
Numéro: 18831
Quatrième de couverture: Grâce aux médias contemporains, le monde tout entier, à tout instant, nous est présent. Cela signifie-t-il que nous le connaissons mieux qu'auparavant ? Journalistes en tête, nombreux sont ceux qui craignent au contraire que l'information véritable ne survive pas à l'ère d'Internet. Les médias contemporains, c'est vrai, aggravent les défauts des médias de toujours : ils menacent de faire de nous des êtres irrationnels, sans mémoire, sans histoire, sans projet. Ils reflètent, donc intensifient toutes les contradictions d'une civilisation, la nôtre, qui condamne le progrès mais adore la technique informatique ; qui s'enthousiasme naïvement pour la révolution arabe, mais renie inconsciemment son propre humanisme. Les médias, qui devraient servir notre mémoire, servent souvent notre oubli. Mais rien n'est inéluctable. Nos moyens d'information, y compris Internet, sont et seront à notre image. Si nous gardons l'esprit critique, rien n'est perdu.
Lu par: Françoise Dufour
Durée: 7h. 51min.
Genre: Roman historique/biographique
Numéro: 20170
Quatrième de couverture: Sur fond de guerre mondiale et de révolution russe, ce roman s'inscrit dans un moment très précis de l'Histoire et de l'histoire de l'art, auxquelles il se veut fidèle. Ce n'en est pas moins une fiction, qui prend la forme du journal de John William Godward, peintre anglais néo-classique qui ne jure que par la beauté grecque. Apprenant la présence de Picasso à Rome, il l'épie, rêve d'arrêter sa main sacrilège, et qui sait, de le convertir à ce qu'il considère comme la beauté éternelle. Horrifié par une modernité qu'il ressent comme inhumaine et destructrice, Godward aurait dit : « Dans ce monde, il n'y a pas place à la fois pour Picasso et pour moi ». L'idée d'une rencontre le fascine et l'effraie. Histoire d'un duel.
Lu par: Martine Moinat
Durée: 3h. 46min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 17256
Quatrième de couverture: Dans un hôtel du Lido, près de Venise, le narrateur (orphelin) échoué là avec son grand-père qu'il appelle Père, tombe follement amoureux. Un amour éperdu et double. Pour Anne, pensionnaire dans son hôtel, et pour Anna, hôte d'un palace proche. L'une de son âge, l'autre pourrait être sa mère. Ce décor n'est pas loin d'un film de Claude Chabrol. ... Anne l'attire par ses regards sournois, ses vols effectués quasiment sous ses yeux, sa souplesse et les rapports hargneux qu'elle entretient avec ses parents. Anna par sa beauté et la manière somptueuse de suggérer une vie de souffrance. Anna est entretenue par un homme fortuné.
Lu par: Jean Frisch
Durée: 15h. 46min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 5154
Quatrième de couverture: En vacances, au cours d'une excursion sur les montagnes de l'île de Madère, un enfant s'égare. Au hasard de son errance, il découvre l'entrée d'une grotte. Une infractuosité banale, mais qui recèle le témoignage d'une civilisation disparue. Madère n'est-elle pas l'une des émergences dans l'Océan, de l'Atlantide engloutie ? Cependant, il faudra des années pour que l'enfant, de retour sur l'île aille jusqu'au bout de sa découverte...