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Les enfants de Germinal

Résumé
Cet album présente des témoignages et des photographies sur le monde de la mine (travail et loisirs), au nord de la France, dans les années 1950, un peu moins de cent ans après Germinal (1860). En appendice, trois poèmes de Jules Mousseron (1868-1947) poète de la mine, mineur silicosé. Un document dont l'intérêt humain et artistique est loin d'être négligeable.
Durée: 2h. 36min.
Édition: Paris, Hoëbeke, 1993
Numéro du livre: 8068
ISBN: 9782905292599
CDU: 331

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Lu par:Marianne Heer
Durée:5h. 57min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:7344
Résumé: Je voulais écrire un livre pour dire mon bonheur d'écrire, et d'écrire en français. Ça aurait été un livre très construit, qui aurait commencé à la page 1 et aurait fini à la dernière page, ayant dit ce qu'il avait à dire et démontré ce qu'il s'était proposé de démontrer. Et puis... Comment cela s'est-il fait ? Ça n'a pas voulu s'arranger comme ça. Rien à faire. Peut-être parce que j'ai été journaliste trop longtemps et qu'au fond je le suis resté ? Ce que je vous propose se présente comme une série d'articles, de réflexions, de cris du coeur qui, tous, ont pour sujet la langue française et cet amour que nous avons l'un pour l'autre, elle et moi. Viens, mignonne. Allons voir si la rose...
Durée:7h. 59min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16261
Résumé: 'Le voyage, c'est LE Voyage, le seul, le vrai, celui qui porta un certain Christophe Colomb - lequel croyait aller en Chine - aux rivages d'un monde nouveau. Un jeune Irlandais, Konogan, soldat de fortune hors d'emploi, se trouve embarqué par traîtrise pour la grande aventure. C'est lui qui raconte. Son récit naïf constitue la chronique au jour le jour du fabuleux voyage. Il déborde d'une verve volontiers caustique qui se fait exaltée lorsque l'anime la passion amoureuse. Car il y a une femme ! Il y a toujours une femme. Et l'on voit apparaître un Christophe Colomb inattendu, plutôt surprenant mais plus vrai que ce qu'en a fait la légende. De surprise en surprise, on arrive à la dernière, qui n'est certes pas la moindre : Konogan est l'origine de la lignée des Cavanna !'
Durée:9h. 45min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:22539
Résumé: Même que sa boîte noire - pour ce qui est de ses souvenirs de gosse entre six et seize ans - est pleine de choses drôles, émouvantes, débordantes d'affection et de joie. Y a-t-il un livre sur l'enfance qui sonne plus vrai que celui-ci? - (Bernard Pivot, Lire) Enfin, il y a, tout au long de ces pages, le ton Cavanna. Les lecteurs de Charlie Hebdo le reconnaîtront, bien sûr, mais ils seront peut-être surpris d'y découvrir tant de tendresse. Avec le contrepoint d'une musique mélancolique aux histoires les plus hilarantes, et des échos burlesques aux histoires les plus poignantes. - (Rosa Laisné, L'Express) Cavanna, avec son ton familier de baratineur, nous dépeint ses jeunes années d'une façon décousue, se rappelant en vrac les meilleurs moments de son existence d'avant seize ans, à une époque plutôt joyeuse malgré la guerre qui pointe à l'horizon. - (Jean-Claude Lamy, France-Soir) Drôle, souvent émouvant, souvent terrible comme le meilleur des Céline (celui de Mort à crédit) Les Ritals de Cavanna est un très beau livre. - (Remo Forlani, R.T.L.)
Durée:12h. 32min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16134
Résumé: Cavanna a seize ans en 1939. Ses années de jeunesse se sont égrenées au coeur de la seconde guerre mondiale. Dans ce roman, il nous raconte sa vision de ces années de guerre : le quotidien, les petits riens, l'importance d'un vélo, la beauté des filles, ses premiers morts lors des attaques aériennes, le STO (Service-du-travail-obligatoire) en Allemagne, la faim encore et encore et l'amour.
Durée:9h. 9min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:22879
Résumé: Le voyage, c'est le voyage, le seul, le vrai, celui qui porta un certain Christophe Colomb - lequel croyait aller en Chine - aux rivages d'un monde nouveau. Un jeune irlandais, Konogan, soldat de fortune hors d'emploi, se trouve embarqué par traîtrise pour la grande aventure. C'est lui qui raconte. Son récit naïf constitue la chronique au jour le jour du fabuleux voyage. Il déborde d'une verve volontiers caustique qui se fait exaltée lorsque l'anime la passion amoureuse. Car il y a une femme. Il y a toujours une femme. Et l'on voit apparaître un Christophe Colomb inattendu, plutôt surprenant mais plus vrai que ce qu'en a fait la légende. De surprise en surprise, on arrive à la dernière, qui n'est certes pas la moindre : Konogan est l'origine de la lignée des Cavanna.
Durée:5h. 38min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:67587
Résumé: Ce volume, conçu comme une suite à Lune de miel, est le dernier livre sur lequel Cavanna a travaillé avant de mourir. Sans doute y aurait-il apporté quelques ajouts ou modifications de détail, mais on peut le considérer comme une œuvre aboutie. Composé, comme l’était Lune de miel, de chapitres assez brefs, le livre regroupe souvenirs et anecdotes qui évoquent à la fois la fin de vie de l’auteur et son passé (Charlie Hebdo, le S.T.O…). On y retrouve avec bonheur la gouaille réjouissante de Cavanna, sa grande gueule, ses coups de colère, ses élans d’affection, sa passion de la langue et de la littérature : un écrivain, un vrai. Le titre reprend les derniers mots du texte, pleins de rage et d’amour de la vie au moment de lâcher la rampe.
Durée:7h. 5min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:18113
Résumé: Affaibli physiquement par l'âge et la maladie, François Cavanna n'a rien perdu de sa verve ni de son insolence. Il propose avec Lune de miel un tableau habilement composé de souvenirs, de réflexions et d'anecdotes. Trois axes essentiels alternent au fil des chapitres : l'évocation du STO en Allemagne ; l'aventure Hara-Kiri/Charlie Hebdo ; les atteintes de l'âge (les médecins utilisent l'expression « lune de miel » pour désigner une période de rémission de la maladie de Parkinson). Le va-et-vient entre ces trois périodes procure sa légèreté au récit, qui ne cède jamais au gémissement malgré la tristesse de certains passages. La jeunesse en Allemagne est décrite avec une gouaille formidable. La période présente, marquée par les progrès de la maladie et des divers malheurs liés à l'âge, est égayée par la présence de Virginie, une lectrice fidèle qui est devenue la « gouvernante » du vieil homme. Beaucoup de tendresse, des coups de gueule bienvenus (notamment contre Philippe Val et quelques autres), d'innombrables anecdotes racontées avec la truculence et l'efficacité du grand amateur de Rabelais qu'est Cavanna : c'est le dernier baroud d'un vieux sanglier, chaleureux, virulent, amoureux de la vie et des plaisirs, mais aussi de la littérature et de ses puissances. En refermant le livre, on a le sentiment d'avoir fait quelques pas avec un type bien : ce n'est pas si fréquent.
Durée:23h. 13min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:71335
Résumé: Une enquête explosive sur la dernière frontière sauvage de la planète : les océans, où règne une ambiance hallucinante d'ultraviolence et de détresse, d'illégalité et de criminalité ! Les océans, chaos liquide, nouveau Far West. Trop vastes pour être contrôlés, la criminalité y est partout : pêche illégale, trafics de drogue sous-marins, esclavage, crimes écologiques, piraterie, meurtres impunis. Les Etats-Unis y ont démantelé l'arsenal chimique syrien, interrogé tranquillement des terroristes. On y croise des écologistes justiciers, des pilleurs d'épaves, des mercenaires maritimes, des "huissiers" capables de faire disparaître des tankers, des baleiniers rebelles, des avorteurs navigants, des déverseurs d'huile usagée, des braconniers insaisissables, des équipages abandonnés, des passagers clandestins jetés à la dérive... Bienvenue au paradis bleu, que certains continuent de présenter comme l'avenir de l'humanité.
Lu par:Anne Tardy
Durée:12h. 11min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:67279
Résumé: Le Japon vit depuis trente ans une crise économique et sociale multiforme. Sa dette publique est la plus élevée du monde. Les revenus stagnent, le taux de pauvreté est le double du nôtre, sa population diminue et vieillit massivement, sa jeunesse paraît démoralisée... Pourtant, le Japon se tient et se supporte fort bien lui-même. Il est dur et brutal sous certains aspects, mais le chômage y est inconnu, la délinquance négligeable et les services d'une qualité inimaginable. Ce qui divise les Français, à commencer par les religions et les médias, y conforte au contraire la cohésion nationale. Sportifs et célébrités en tous genres se doivent d'être exemplaires, sous peine d'être durement sanctionnés par l'opinion. Du haut en bas de la société, on s'excuse, souvent pour très peu et parfois pour beaucoup, et ce rituel qui, vu de chez nous, semble n'être que du théâtre a une réelle efficacité sur le moral de la communauté. On peut y voir le résultat d'un formatage omniprésent dès la petite enfance, dont le conformisme tue le dynamisme, la créativité et les rêves. Mais on peut aussi penser que la manière dont le Japon échappe aux fractures qui stressent la France, et à certains des maux qui pourrissent la vie des Français, vaut d'être regardée de plus près. Quitte à ce que les leçons que peut donner le Japon semblent attentatoires à ce qui est politiquement (et autrement) « correct ».
Lu par:Carole Beuron
Durée:20min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:70522
Résumé: Dès 1925, Zweig pressent l’un des grands bouleversements sociaux de notre siècle : l’uniformisation du monde. Si le concept de mondialisation reste alors toujours à inventer, il examine avec perplexité des sociétés qui gomment progressivement toutes leur aspérités. Avant même l’invention des smartphones, il nous décrit l’avènement de l’instantanéité. Ce culte de l’éphémère joue finalement un rôle central dans l’uniformisation ici dénoncée. Dans ce texte saisissant d’actualité, Zweig pose un regard sensible sur une époque foncièrement hostile envers les originaux. Un essai à lire comme le témoignage lucide d’un homme définitivement en rupture avec l’esprit de son temps. Dernier recours pour les individualités récalcitrantes : fuir en elles-mêmes, pour oublier l’oppression du collectif. Stefan Zweig (1881-1942), de nationalité autrichienne, est l’un des auteurs de langue allemande majeurs du XXe siècle. Romancier, essayiste et dramaturge, il est l’auteur de plusieurs classiques, comme Amok ou La Confusion des sentiments. S’il rencontre le succès de son vivant, son existence bascule à l’arrivée d’Hitler au pouvoir. Exilé au Brésil et désespéré par la guerre, il se suicide en 1942.
Lu par:Pierre Biner
Durée:5h. 58min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:69877
Résumé: Sous la forme d'une éphéméride, et ce sur presque tous les jours de cette année 2020, je consigne chaque délire dont notre temps est capable. Dans ce journal se croisent une petite fille de huit ans qui veut changer de sexe depuis l'âge de quatre ans ; des égorgeurs présentés comme de pauvres victimes d'elles-mêmes ; une jeune fille qui ne va plus à l'école et prophétise la catastrophe climatologique dont le clergé de son pays nous dit qu'elle est le Christ ; des femmes qui vendent des enfants pendant que d'autres les achètent ; l'Eglise catholique qui court après les modes du politiquement correct ; le journal Libération qui se dit progressiste en célébrant la coprophagie et la zoophilie ; des végans qui militent contre les chiens d'aveugles ; une anthropologue qui trouve qu'il y a trop de dinosaures mâles et pas assez de femelles dans les musées ; des pédophiles qui achètent des viols d'enfants en direct sur le Net ; un Tour de France qui commence au Danemark et un Paris-Dakar ayant lieu en Amérique du Sud ; un parfum élaboré par une femme à partir des odeurs de son sexe ; un chef de l'Etat qui, entre autres sorties, se félicite que ses ministres soient des amateurs ; Le Monde qui estime courageuse une mise en scène théâtrale qui présente Lucien de Rubempré en femme ; le pape et Tariq Ramadan pour qui le coronavirus est une punition divine - et autres joyeusetés du même genre..
Durée:1h. 13min.
Genre littéraire:Société/économie/politique
Numéro du livre:68485
Résumé: Alors que le monde, frappé par l’épidémie du coronavirus, traverse une crise sanitaire sans précédent, un écrivain prend la parole. Homme de lettres et de science, mais citoyen avant tout, Paolo Giordano nous offre un témoignage personnel et une réflexion dont la portée va bien au-delà des soubresauts de l’actualité, de l’inquiétude et de l’incertitude immédiates. Ni « accident fortuit » ni « fléau », l'épidémie du COVID-19, nous dit-il avec espoir, vigueur et lucidité, est un miroir dans lequel doit se réfléchir la société, et qui peut ainsi nous conduire à une prise de conscience salutaire : nous appartenons tous à une seule et même collectivité humaine, et nous sommes les hôtes d’une nature que nous avons trop longtemps négligée. À cet égard, la contagion est le « symptôme » d’un désordre écologique auquel nous ne sommes pas étrangers - mais face auquel nous ne sommes pas non plus impuissants.