Les hommes de bonne volonté 04 [3 CDs]
Résumé
Réunit les six derniers volumes de la fresque romanesque de Jules Romains publiée entre 1932 et 1947. L'action débute en décembre 1923 et s'achève le 7 octobre 1933 sur l'évocation des menaces de guerre. Contient également des notes de l'auteur éclairant ce cycle romanesque.
Lu par :
Guy Landelle
Genre littéraire:
Roman historique/biographique
Mots-clés:
Roman HISTORIQUE
/
Littérature française
/
Témoignage
Durée:
62h. 14min.
Édition:
Paris, R. Laffont, 2003
Numéro du livre:
74629
Produit par:
Association Valentin Haüy
ISBN:
9782221101391
Collection(s):
Bouquins
Documents similaires
Lu par : Marie-Laure Worowski
Durée : 54h. 37min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 74895
Résumé:Regroupe sept volumes de la fresque romanesque de Jules Romains, publiée entre 1932 et 1947. L'action qui se déroule à Paris du 24 avril 1910 au 1er août 1914 entremêle les destins individuels et l'Histoire perçue à travers les mouvements collectifs d'une époque.
Lu par : Jacques Batteau
Durée : 54h. 37min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 74708
Résumé:Réunit les sept premiers volumes de la fresque romanesque de Jules Romains, publiée entre 1932 et 1947. L'action se déroule dans ces volumes du 6 octobre 1908 à octobre 1910 et mêle monde du théâtre, monde politique et petit peuple de Paris.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 54h. 50 min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 73725
Résumé:Rassemble sept volumes de la fresque romanesque de Jules Romains, publiée entre 1932 et 1947. Le récit débute à l'orée de la guerre, le 2 août 1914 et se poursuit jusqu'à décembre 1923 : les personnages évoluent dans le contexte de la Première Guerre mondiale et de l'après-guerre. Derrière les idylles et drames divers se profilent la révolution russe et le nouvel ordre du monde. Ce volument contient : Prélude à Verdun, Verdun, Vorge contre Quinette, La douceur de la vie, Cette grande lueur à l'Est, Le monde est ton aventure, Journées dans la montagne
Durée : 1h. 51min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 35480
Résumé:Le Tambour : Quand j'ai dîné, il y a des fois que je sens une espèce de démangeaison ici. Ça me chatouille, ou plutôt ça me grattouille. Knock : Attention. Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous grattouille ? Le Tambour : ça me grattouille. Mais ça me chatouille bien un peu aussi... Knock : est-ce que ça ne vous grattouille pas davantage quand vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ? Le Tambour : je n'en mange jamais. Mais il me semble que si j'en mangeais, effectivement, ça me grattouillerait plu
Lu par : Daniel Martin
Durée : 55h. 39 (3 cd)min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68715
Résumé:Ce roman-feuilleton paru en tranches quotidiennes de 1844 à 1845 dans le journal Le Constitutionnel et qui fit haleter des centaines de milliers de lecteurs pendant de nombreuses semaines est intégralement réuni dans cet ouvrage. En se livrant à l’exploration des bas-fonds de la société afin d’en dénoncer les injustices, Eugène Sue, s’il fut d’emblée adulé du peuple, s’attira les foudres de l’aristocratie et de la critique littéraire, lesquelles le considérèrent comme un blasphémateur. En effet, Le Juif errant dresse une fresque corrosive de la vie urbaine : l’auteur met en scène les complots et les souffrances d’ouvriers et de marginaux, habituellement bannis des romans bourgeois. Le roman reprend également la légende médiévale du juif errant avec le personnage fantastique de Samuel.
Lu par : Daniel Martin
Durée : 55h. 39 (3 cd)min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 68716
Résumé:Ce roman-feuilleton paru en tranches quotidiennes de 1844 à 1845 dans le journal Le Constitutionnel et qui fit haleter des centaines de milliers de lecteurs pendant de nombreuses semaines est intégralement réuni dans cet ouvrage. En se livrant à l’exploration des bas-fonds de la société afin d’en dénoncer les injustices, Eugène Sue, s’il fut d’emblée adulé du peuple, s’attira les foudres de l’aristocratie et de la critique littéraire, lesquelles le considérèrent comme un blasphémateur. En effet, Le Juif errant dresse une fresque corrosive de la vie urbaine : l’auteur met en scène les complots et les souffrances d’ouvriers et de marginaux, habituellement bannis des romans bourgeois. Le roman reprend également la légende médiévale du juif errant avec le personnage fantastique de Samuel.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 34h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 33958
Résumé:" Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d'une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard - un anti-Gavroche -, le Maître d'école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n'est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu'il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman : le châtiment du Maître d'école, ou le supplice de luxure imposé à Jacques Ferrand. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin. Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l'amélioration des mécanismes préventifs et répressifs (c'est le sens de l'engagement de Sue en faveur dans l'encellulement des criminels) ainsi que par l'invention de mécanismes d'incitation au Bien, police ou tribunal de la Vertu, qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires." Judith Lyon-Caen.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 31h. 56min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 33959
Résumé:" Il y a dans Les Mystères de Paris une énergie sauvage : celle d'une cohorte de personnages maléfiques, malfrats hideux comme la Chouette, Tortillard - un anti-Gavroche -, le Maître d'école ou Bras-Rouge, criminels du grand monde comme le comte de Saint-Remy, monstres hypocrites comme le notaire Jacques Ferrand. Eugène Sue n'est pas avare de noirceur. Mais il y a aussi une sauvagerie du Bien, celle de Rodolphe, prince mélancolique venu à Paris à la recherche de sa fille perdue, impitoyable avec les méchants qu'il punit au mépris des lois. On doit à sa cruauté quelques-unes des scènes les plus stupéfiantes du roman : le châtiment du Maître d'école, ou le supplice de luxure imposé à Jacques Ferrand. Cette cruauté contraste avec la pureté morale de Fleur-de-Marie, comme avec la face solaire de Rodolphe, providence de tous les malheureux honnêtes dont il croise le chemin. Le roman exprime dans son ensemble une quête assoiffée de régénération morale de la société, par l'amélioration des mécanismes préventifs et répressifs (c'est le sens de l'engagement de Sue en faveur dans l'encellulement des criminels) ainsi que par l'invention de mécanismes d'incitation au Bien, police ou tribunal de la Vertu, qui doivent récompenser publiquement les actions exemplaires." Judith Lyon-Caen.
Lu par : Manon
Durée : 33h. 54min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 36349
Résumé:" Paris, dans ses permanentes métamorphoses, accumule les secrets les plus dépareillés, les invraisemblances les mieux déguisées par l'histoire, les légendes bétonnées dans la réalité et toute la palette des possibles. " Michel Dansel, enfant de Belleville et de Ménilmontant, définit ainsi, dans une préface savoureuse, sa vision de notre capitale, " véritable kaléidoscope " dont il dévoile les multiples facettes, souvent baroques et extravagantes, avec la curiosité passionnée d'un promeneur " pathologiquement " amoureux de sa ville. Il n'est pas d'avenue, pas de coin de rue qui, pour l'auteur, ne comporte une part d'énigme, de trouble et de merveilleux. Historien et archéologue à sa manière, cet arpenteur d'un Paris insolite et clandestin est prodigue en trouvailles originales et singulières, parfois invérifiables mais toujours vraisemblables. Ainsi évoque-t-il la présence possible d'une cité souterraine dans le quartier du Marais où quatre enfants auraient découvert en 1965 une grotte préhistorique vieille de dix-sept mille ans, dont les peintures seraient comparables à celles retrouvées à Lascaux ; les " trésors cachés " qui se trouveraient dans la statue équestre d'Henri IV, sur le Pont-Neuf ; l'histoire d'une célèbre maison close située au 12, rue Chabanais, dans le 2e arrondissement ; l'existence d'un cimetière des bossus dans celui de Saint-Côme ; d'un club des divorcés qui se réunissait avenue Bosquet ; d'une clinique spécialisée dans la réparation des poussettes et landaus de collection, 16, rue du Chalet, dans le 10e ; d'un pont des suicidés dans le parc des Buttes-Chaumont... Chaque lieu emblématique ou endroit méconnu de Paris est ainsi raconté et révélé sous son aspect légendaire et anecdotique, loin des vérités de l'histoire officielle. La manière à la fois la plus instructive et la plus divertissante qui soit de nous faire découvrir les secrets d'une cité aux trésors inépuisables.
Durée : 43h. 39min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 75153
Résumé:Un ouvrage présentant un aperçu de l'oeuvre de l'historienne, divisé en trois parties qui correspondent à ses grands champs d'étude : les ouvriers, les marges et les murs, les femmes. Tous ces travaux ont pour point commun de s'intéresser à des figures de dominés, longtemps ignorées des chercheurs.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 12h. 2min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 31322
Résumé:Le chef de la section T (pour Turquie), Darko (ou Bruno) Kerim, est contacté à Istanbul par un officier de service secret russe, la séduisante Tatiana Romanova. Cette dernière lui fait part de son projet de passer à l'Ouest. En guise de laissez-passer pour le Royaume-Uni, Tatiana promet d'amener avec elle une Spektor, machine à coder russe, mais elle impose une condition : que ce soit l'agent James Bond, dont elle prétend être tombée amoureuse en voyant une photo de lui dans les archives, qui vienne en personne l'aider à aller jusqu'en Angleterre en voyageant par l'Orient-Express. M ainsi que 007 cherchent ce que les Russes peuvent gagner dans cette partie, mais acceptent tout de même de relever ce défi, surtout que "l'enjeu vaut la chandelle". Mais ce qu'ils ignorent tous, c'est que derrière cette mission se cache une konspiratsia du SMERSH, terrible service d'espionnage russe. Le but du plan : tuer Bond, et en même temps provoquer un tel scandale autour de sa mort que l'intégralité des services secrets britanniques en serait salie pour longtemps... À Istanbul, en Turquie, Romanova et Bond se rencontrent, avec la Spektor. Ce que le SMERSH imaginait comme faux devient vrai : Romanova tombe amoureuse de Bond. Ils embarquent à bord du mythique Orient-Express, qui remonte jusqu'à Londres. Mais dans le train se trouve aussi Grant, chargé de tuer Bond. Mais finalement, c'est Bond qui tue son ennemi, et regagne ses quartiers. Le train est à hauteur de la Yougoslavie puis passe par Vienne avant d'atteindre Paris. Bond rencontre son ami René Mathis du Deuxième Bureau et s'installe avec lui dans un hôtel de la capitale française. Avec la mort de Grant, Rosa Klebb se voit contrainte d'exécuter la mission elle-même. Après avoir échoué à l'abattre d'un pistolet caché dans un téléphone, elle emploie une lame imprégnée de venin fugu caché dans sa chaussure. Lors d'un corps à corps avec Bond, elle parvient à le piquer et à s'enfuir. Lorsque le roman s'achève, Bond est agonisant au sol... jusqu'à ce que René Mathis le sauve in extremis et que Klebb soit tuée. La suite "directe" est dévoilée dans Dr.No.
Lu par : Clélia Strambo et Gérald Bloch
Durée : 5h. 57min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 73680
Résumé:Après Lettres à un jeune poète, cette émouvante correspondance est une découverte majeure, riche de lumineuses leçons de vie " Dans la vie, on n'éveille jamais assez souvent le sentiment du commencement en soi, et nul besoin pour cela d'un grand changement extérieur, car nous modifions le monde depuis notre coeur même, et si celui-ci veut bien être neuf et incommensurable, celui-là se présente alors comme au jour de sa création : infini. Si nous devions nous rencontrer un jour et pourquoi cela ne se réaliserait-il pas, vous réclamez que je vous raconte l'histoire d'un commencement nouveau qui se produisit durant une période de mon enfance des plus difficiles et en quelque sorte tout à fait désespérée. Que cela demeure une promesse entre nous. " Cette émouvante correspondance avec la jeune Anita Forrer est une découverte majeure qui comblera tous les amoureux de l'oeuvre de Rainer Maria Rilke. Rendu pour la première fois accessible en langue française, cet échange épistolaire, qui peut se lire comme le prolongement des Lettres à un jeune poète, ouvrit à Anita Forrer des espaces spirituels insoupçonnés et donna un sens nouveau à son existence. Rilke fut son guide et son confident, comme il l'avait été quinze ans plus tôt pour Franz Xaver Kappus. Les lectrices et lecteurs d'aujourd'hui puiseront à leur tour dans ce texte inédit de lumineuses leçons de vie.