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Constellation du tigre

Résumé
En 2017, un tigre échappé de sa cage a été abattu à Paris. Lecteur de Modiano et de Sebald, le narrateur recherche les passages de ces félins dans la capitale au cours de l'histoire. Il s'intéresse aux peintures de Monory, du Douanier Rousseau et de Delacroix, relit les récits de chasse coloniale de Rousselet, des princes d'Orléans ou de Clemenceau, et porte un regard nouveau sur le passé.
Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 5h. 19min.
Édition: Paris, Arléa, 2021
Numéro du livre: 72423
ISBN: 9782363082626
Collection(s): La rencontre

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Lu par : Delphine Horst
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 13874
Résumé:Publiée en 1953 aux Éditions de Minuit, La Fausse Parole ne donne à découvrir qu'une partie de son oeuvre, celle consacrée aux investigations radiophoniques. Cette réédition s'enrichit de deux textes ayant trait au travail de l'écoute, et de quelques bulletins ronéotypés, tels qu'il les distribuait à ses abonnés (parmi lesquels figurait l'Élysée). La Fausse Parole peut être tenue pour la lecture théorique et critique que Robin formule après dix ans de pratique sur son propre travail, qui visait à obtenir des renseignements inédits et à tenter de prévoir l'événement (par exemple la dénonciation du culte de la personnalité après la mort de Staline en 1953 et la tension des relations sino-soviétiques).
Lu par : Patricia Alexis
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:«Je veux célébrer une Suisse dont on parle trop peu: une Suisse en mouvement, une Suisse nomade qu'on évoque trop rarement...» Ainsi débute cette merveilleuse Echappée belle de Nicolas Bouvier, destinée à remettre les coucous (dont l'origine n'est même pas helvétique) à l'heure! Oui, ses compatriotes voyagent, leur littérature le prouve, d'Ella Maillart à Jean-Jacques Rousseau. Vagabondages dans la littérature de son pays, souvenirs de ses premiers périples, mais aussi hommages à ceux auprès desquels Nicolas Bouvier a contracté des dettes littéraires, ce livre est ciselé, poli, et longuement mûri puisqu'il aura fallu comme toujours des années à cet écrivain voyageur pour attendre «le mot juste qui rendrait aux rencontres, aux voix, aux paysages, aux routes leur fraîcheur native et les contours précis qu'on avait perçus».