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Adieu Oran

Résumé
Ambiance glaçante sous le soleil algérien. Disparitions d’enfants, cadavres parmi les membres de la communauté chinoise installée à Oran… Il se passe des choses étranges dans les bidonvilles qui entourent la ville, sans parler du traitement inhumain réservé aux migrants et du système de plus en plus corrompu et étouffant. Le commissaire Fadil ne peut pas reculer, il le doit à ces enfants que le monde a choisi d’oublier. Mais sa sécurité et celle de ceux qu’il aime n’est bientôt plus assurée. Une enquête violente, portrait sans concession d’une société agonisante?: Ahmed Tiab se révèle à la fois magistral et cruel.
Genre littéraire: Policier/épouvante
Mots-clés: Roman POLICIER
Durée: 8h. 6min.
Édition: La Tour-d'Aigue (Vaucluse), Ed. de l'Aube, 2019
Numéro du livre: 67785
ISBN: 9782815931915
Collection(s): L'Aube noire

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Résumé: ... Dans Surtout ne te retourne pas, elle est hantée par le tremblement de terre qui a secoué une grande partie du nord de l'Algérie en mai 2003. Amina sera la jeune fille-témoin qui rompt avec une famille et une vie toute tracée pour rejoindre les victimes du séisme, devenues un peuple d'errants, sous des tentes et sur un fil où le mouvement de balancier entre résistance et déraison est ténu, fragile mais où s'invente une autre humanité. « Ce sont les femmes qui, les premières et très vite, ont pris possession des lieux, comme si elles avaient toujours vécu dans la même précarité, les mêmes conditions. » Amina change de nom, d'origine, de statut, et s'engouffre dans ce morceau d'enfer balisé par des tentes et des camps où, peu à peu, malgré l'effroi et l'ébranlement des certitudes les plus indéfectibles, la vie reprend ses droits avec ses controverses et ses affrontements les plus futiles.
Lu par:Alain Burnand
Durée:3h. 12min.
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Durée:8h. 3min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: En 1954, Mohammed Dib publie L’incendie, un texte qui deviendra un classique de la littérature francophone du Maghreb. Ce roman, qui fait partie de la trilogie inaugurée par La grande maison (1952) et clôturée par Le métier à tisser (1957), prolonge et complète le programme de l’auteur. Le lecteur retrouve ainsi le personnage d’Omar, jeune garçon de Tlemcen qui est témoin des bouleversements que connaît la société algérienne pendant les années 1930. En ce sens, le fil narratologique incarné par cet enfant transmet une idée de progression chronologique entre les deux premiers volumes de la trilogie qui dépasse clairement la simple mention des repères temporels historiques. C’est une impression de vécu qui ressort, à partir de la présence en filigrane d’Omar, comme si le lecteur pouvait participer aux expériences initiatiques du garçon. Cependant, la cohérence de la trilogie ne vient pas uniquement de ce choix narratologique de l’auteur. Il est aussi question dans ce texte d’un engagement politique consacré à la mise en lumière des souffrances du peuple algérien pendant ces années passées sous la colonisation française. À l’aube de la Seconde Guerre Mondiale, la tension entre les colons français et le peuple algérien ne cesse de s’intensifier et l’auteur choisit de focaliser son regard sur le milieu rural, où les propriétaires terriens, les cultivateurs et les fellahs s’affrontent. Cette décision participe au projet de montrer l’évolution politique et sociale de l’Algérie : « La grève des fellahs venait d’éclater. Arraché à soi, à son inertie, et entraîné tout d’abord très lentement, au sortir d’un long et lourd sommeil, le pays avança dans la vie. »[1]. La protestation des ouvriers agricoles face à la misère dans laquelle l’exploitation des colons les a submergés devient un élan dans la lutte du peuple pour sortir de l’oppression. L’incendie qui donne le titre au roman évoque aussi bien l’événement qui marque cet été 1939 dans Bni Boublen que la révolte qui commence à se développer dans les esprits des paysans algériens.
Durée:4h. 7min.
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Résumé: Un homme, tel un spectre, soliloque dans un bar. Il est le frère de l'Arabe tué par Meursault dans L'Étranger, le fameux roman d'Albert Camus. Il entend relater sa propre version des faits, raconter l'envers du décor, rendre son nom à son frère et donner chair à cette figure niée de la littérature: l'« Arabe ». Iconoclaste, le narrateur est peu sympathique, beau parleur et vaguement affabulateur. Il s'empêtre dans son récit, délire, ressasse rageusement ses souvenirs, maudit sa mère, peste contre l'Algérie - il n'épargne personne. Mais, en vérité, sa seule obsession est que l'Arabe soit reconnu, enfin. Kamel Daoud entraîne ici le lecteur dans une mise en abîme virtuose. Il brouille les pistes, crée des effets de miroir, convoque prophètes et récits des origines, confond délibérément Meursault et Camus. Suprême audace : par endroits, il détourne subtilement des passages de L'Étranger, comme si la falsification du texte originel était la réparation ultime.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Présentation de l'éditeur : " La solitude a été l'une de mes premières conquêtes. De mes premières libertés. Durant l'enfance et l'adolescence, elle a d'abord été celle de l'insomnie, puis de la lecture. Dès que j'ai saisi un livre, j'ai été ailleurs. Le livre a été mon premier espace inviolable. " La Transe des insoumis dit l'intranquillité qui, très tôt, s'est manifestée chez une petite fille qui ne parvenait pas à dormir. L'insomnie est le fil conducteur du récit d'une vie : indice de rébellion qui sécrète le goût de la lecture, germe d'insoumission de celle qui, ayant quitté sa famille de là-bas, s'est forgé une identité dans l'exercice de la médecine et l'écriture. C'est le livre d'une révoltée qui se réconcilie avec les peurs et les tourments de son enfance. Echappe-t-on jamais à son passé ?
Lu par:René Sterckx
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Un Algérien immigré en France depuis quelques décennies, s'est engagé dans un voyage en bus pour retrouver son fils qui ne répond plus à ses lettres. Ce périple lui rappelle celui qu'il fit avec son propre père tuberculeux du douar natal vers Alger et plus tard, le père mort, d'Algérie vers la France. Au paysage d'autoroutes et d'aires de repos, de l'autre côté de la vitre, répondent des images précises de l'Algérie pendant la guerre, des gâteaux au miel et des beignets chauds, des films d'Eddie Constantine. On remonte ainsi toute une vie, par touches successives à peine posées sur la page, dans une délicatesse de ton qui préfère le murmure au cri. Ainsi, évoquant la guerre, cette phrase : " Toute sa vie, il se souviendra que son père avait tremblé en tendant une carte d'identité sortie avec fébrilité du fond de son burnous " trouve-t-elle un écho quand, plus tard, le fils au collège provoque une convocation de la principale : " il se souvenait que devant elle il avait baissé la tête ".
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Un ancien pilote de chasse de l'armée algérienne, devenu alcoolique, conduit un car de touristes à travers le Sahara. Il tombe "amoureux et jaloux à en hurler" de Sarah, elle-même entichée d'un beau musicien noir. En contrepoint à cet "amour désastreux", la radio égraine ses sanglantes informations (bombes, meurtres, enlèvements intégristes). Le titre fait référence à un ksar rouge dominant une palmeraie où des touristes font une halte
Lu par:
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Résumé: Dans un village algérien, l'unique route menant à la ville, au-delà des montagnes et de l'oued asséché, a été coupée par des soldats armés. Entre le café et la mosquée, les habitants accueillent la nouvelle avec fatalité, consentant à cet isolement forcé. Dans un premier temps, seul le fou Ziad s'insurge. Bientôt, un vent de révolte se lève parmi les femmes du village.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Daniel Benyacoub Laurriat tente de dire pourquoi il n'a pas voulu enterrer son père, mort à Paris durant la canicule de l'été 2003. Les pans de son histoire vont se soulever doucement, progressivement, au fil d'un récit dont le rythme restitue le ressac permanent d'une mémoire qui se confond avec celle d'un pays encore exsangue, l'Algérie. Daniel est d'origine juive. Sa famille fait partie de ceux qui sont restés en Algérie après l'Indépendance. Son père, Joseph, a longtemps conseillé l'armée algérienne avant de tout quitter pour suivre sa maîtresse, laissant son épouse, Sylvia, et son jeune fils de dix ans en Algérie. Les souvenirs d'enfance, parfois douloureux, parfois lumineux, se mêlent et répondent à la vie du narrateur, aujourd'hui adulte porté dans Paris au gré de ses promenades et de ses rencontres. Virginie, Laurent, Amine, Adriana et tant d'autres : par petites touches, tous redonnent doucement couleur et vie à l'existence de cet homme solitaire et contemplatif, absent de lui-même.
Durée:4h. 6min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22648
Résumé: Alger, début des années 90. La ville est en proie à la terreur. L'eau est rationnée et distribuée drastiquement de trois à six heures du matin. Zakaria, un écrivain menacé de mort et rejeté par le régime qu'il a servi, se terre chez lui d'où il observe ses voisins, dont il nous conte les histoires dramatiques ou rocambolesques, extraordinairement drôles et inattendues. Durant ces quelques heures où l'eau coule à nouveau, la ville et la vie s'animent clandestinement, et c'est l'imaginaire et les rêves de tout un peuple qui se libèrent.
Durée:5h. 38min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: " Il faut se laisser porter par cette écriture méditerranéenne pour comprendre l'infinie blessure et la longue bataille des épouses, du rêve de dévoilement à la décision de jeter le voile, de la colère des hommes face à une jeune femme "nue", au rire d'une jeune femme, cheveux au vent. Assia Djebar, oscillant entre espoir et désespoir, n'en a pas fini de dire la nuit des femmes et leur lutte pour pouvoir, enfin, regarder le soleil en face. " L'amour, la fantasia, Ombre sultane et Vaste est la. prison forment les trois premiers volets du " Quatuor d'Alger ", vaste fresque aussi singulière que fascinante où s'entremêlent l'histoire algérienne, l'autobiographie et la mémoire des femmes.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:22012
Résumé: " Omar avait fini par confondre Dar-Sbitar avec une prison. Mais qu'avait-il besoin d'aller chercher si loin ? La liberté n'était-elle pas dans chacun de ses actes ? Il refusait de recevoir de la main des voisins l'aumône d'un morceau de pain, il était libre. Il chantait s'il voulait, insultait telle femme qu'il détestait, il était libre. Il acceptait de porter le pain au four pour telle autre, et il était libre. "