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La saga des Rothschild: l'argent, le pouvoir et le luxe

Résumé
Il n'existe pas de synthèse récente en langue française sur la prodigieuse destinée de la famille Rothschild. Cet ouvrage raconte, pour le grand public et à la manière d'une saga, l'histoire de la dynastie en partant de ses lointaines origines au cœur du ghetto de Francfort jusqu'à nos jours. Il évoque non seulement l'histoire de la branche française mais aussi celle de toutes les autres (anglaise, allemande, autrichienne et italienne).Au fil des pages, on croise Mayer Amschel, l'étonnant fondateur de la dynastie, parcourant les routes d'Allemagne à la fin du XVIIIe siècle, Nathan, le chef de la famille anglaise, menant une bataille acharnée contre Napoléon Ier, James, au train de vie princier et à la vaste influence, mais aussi Edmond, l'un des pionniers du sionisme, Louis Nathaniel, emprisonné par Himmler et expulsé d'Autriche, Victor, homme de gauche, espion au service de Sa Majesté et, peut-être également, des Soviétiques… De nombreuses femmes comme Betty, la femme de James, Charlotte, peintre et collectionneuse, Miriam, ethnologue de réputation mondiale, ou bien encore Noémie, qui créa de toutes pièces la station de Megève.À travers la multitude des personnages et des événements, mais aussi de leur mode de vie, de leurs passions, des demeures qu'ils firent construire et des réceptions fastueuses qu'ils donnèrent, ce sont les mille et une facettes d'une dynastie ayant conquis très tôt le monde et dont l'influence ne s'est jamais démentie, que ce livre raconte.Le dernier ouvrage publié en France, La Dynastie Rothschild, de HerbertLottman, a été édité en 1995.
Genre littéraire: Histoire/géographie
Durée: 11h. 15min.
Édition: Paris, Tallandier, 2017
Numéro du livre: 36034
ISBN: 9791021023192
CDU: 940

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Résumé: Après l’accumulation d’horreurs de la première moitié du XXe siècle qui avaient conduit « l’Europe en enfer », les années 1950 à 2018 apportèrent la paix et une prospérité relative à la majeure partie de l’Europe. D’immenses progrès économiques transformèrent le continent. Le souvenir des guerres mondiales s’éloigna peu à peu, même si leur ombre a continué de planer sur les esprits. L’Europe était désormais un continent divisé, vivant sous une menace nucléaire, qui prit parfois des contours terrifiants. Ses habitants perdirent la maîtrise de leur destin, dicté par la guerre froide qui opposait les États-Unis et l’URSS, et se trouvèrent « précipités » dans une série de crises qui menaçaient de les faire basculer dans la catastrophe. Il y eut des succès éclatants : la dissolution du bloc soviétique, la disparition des dictatures et la réunification de l’Allemagne. L’accélération de la mondialisation, la dérégulation financière, la naissance d’un monde multipolaire, la révolution des technologies de l’information ont produit de nouvelles fragilités. L’enchevêtrement de crises qui ont suivi 2008 a été l’avertissement le plus clair adressé aux Européens : la paix et la stabilité ne sont aucunement garanties et le continent pourrait bien connaître de nouvelles fractures. Nous sommes entrés dans une nouvelle ère d’incertitudes.
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Genre littéraire:Histoire/géographie
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Résumé:
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Lu par:Marc Levy
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Résumé: L'Espagne fut longtemps une terre d'accueil pour les chrétiens, les juifs ou les musulmans. Aussi, l'époque médiévale est-elle marquée par une culture s'inscrivant dans la tradition méditerranéenne. ©Electre 2017
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Lu par:Guy Landelle
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Résumé: L'Europe contemporaine est une longue histoire qui commence avant la venue du christianisme, et se continue avec son reflux. A l'œil qui sait voir, comme celui de Jacques Le Goff, apparaissent des traces, des strates successives de nombreuses mutations, depuis les ruines de l'Empire romain jusqu'aux découvertes du XVIe siècle. L'historien les met au jour, les explore, pour montrer combien l'Europe contemporaine hérite, emprunte, reprend bien des caractères de cette " Europe " médiévale qui n'est pas tout à fait la nôtre, mais représente un moment important dans sa constitution : unité potentielle et diversité fondamentale, métissage des populations, divisions et oppositions Ouest-Est/Sud-Nord, primat unificateur de la culture. De l'échec carolingien à la " belle " Europe des villes et des universités, Jacques Le Goff nous entraîne dans un intense voyage à rebours, dans l'espoir que, comprenant mieux leur provenance, les Européens construisent mieux leur avenir.
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Résumé: Né en 1906, Klaus Mann, le fils aîné de Thomas Mann, fut un écrivain précoce qui, à dix-huit ans, avait déjà publié une pièce de théâtre et un recueil de nouvelles. Seul ou avec sa soeur Erika, il commença dès ce moment à parcourir le monde- Europe, Asie, Etats-Unis... Mais, très vite, cette vie insouciante et libre de dandy des Années folles - drogue dure, sexe, homosexualité affichée - fut interrompue par la montée du nazisme, auquel il s'opposa résolument dès le début. Ecrivain prometteur encouragé par Cocteau et Gide, il fonda en exil une revue antifasciste à laquelle collaborèrent notamment Einstein, Brecht, Trotski, Pasternak, Roth et Hemingway, et participa, en 1934, à la préparation avec René Crevel du Congrès international pour la défense de la culture. Après avoir été correspondant de guerre en Espagne du côté républicain, il s'installa aux Etats-Unis en 1938, et c'est sous l'uniforme américain qu'il devait revenir dans une Allemagne en ruine. Son oeuvre romanesque - Fuite au nord, Le Volcan, Mephisto - contenait déjà de nombreux fragments autobiographiques. Mais il fallut attendre Le Tournant, qu'il acheva peu avant son suicide à Cannes, en 1949, à l'âge de quarante-deux ans, pour qu'il brosse magistralement la fresque tragique de son temps. La beauté du livre tient à cette étrangeté : c'est l'autobiographie sans confession d'un homme plus attentif aux autres et à son époque qu'à lui-même.
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Genre littéraire:Société/économie/politique
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Résumé: " Populisme ", " néolibéralisme ", " nationalisme " : les mots se bousculent et pourtant l'insatisfaction demeure. Pour décrire ce qui nous arrive, nous ne manquons pas de savoirs. La crise de la démocratie fait l'objet de diagnostics récurrents. Mais c'est la stupeur qui domine, comme si la nouveauté du présent contribuait encore à accroître l'inquiétude. Et si cette nouveauté tant de fois mise en avant était un obstacle à la compréhension ? Ce livre décrit la rencontre entre un philosophe inquiet du présent politique et l'année 1938. Tombé presque par hasard sur la presse française de 1938, l'auteur est allé de surprise en surprise. Au-delà de ce qui est bien connu (les accords de Munich et la supposée " faiblesse des démocraties "), il a découvert des faits, mais aussi une langue, une logique et des obsessions étrangement parallèles à ce que nous vivons. L'abandon de la politique de Front populaire, une demande insatiable d'autorité, les appels de plus en plus incantatoires à la démocratie contre la montée des nationalismes, une immense fatigue à l'égard du droit et de la justice : l'auteur a vu dans ce passé une image de notre présent. Ce livre ne raconte pas l'histoire de l'avant-guerre, il n'entonne pas non plus le couplet attendu du " retour des années 30 ". Il fait le récit d'un trouble : pourquoi 1938 nous éclaire-t-il tant sur 2018 ? Non sur les événements, bien sûr, mais sur une manière de les interpréter systématiquement dans le sens du pire. " Récidive ", c'est le nom d'une errance dans un passé que l'auteur croyait clôt. C'est aussi le risque d'une nouvelle défaite.
Durée:20h. 40min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
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Résumé: Rédigé en 1941, alors que, émigré au Brésil, Stefan Zweig avait déjà décidé de mettre fin à ses jours, Le Monde d'hier est l'un des plus grands livres-témoignages de notre époque. Zweig y retrace l'évolution de l'Europe de 1895 à 1941, le destin d'une génération entière d'homme confrontés plus brutalement que d'autres à l'Histoire et à toutes les " catastrophes imaginables. " Chroniqueur de l'âge d'or européen, Zweig évoque avec bonheur sa vie de bourgeois privilégié dans la Vienne d'avant 1914 et quelques grandes figures qui furent ses amis : Schnizler, Rilke, Romain Rolland, Freud ou Valéry. Mais il donne aussi à voir la montée du nationalisme, le formidable bouleversement des idées qui suit la Première Guerre mondiale, puis l'arrivée au pouvoir de Hitler, l'horreur de l'antisémitisme d'Etat et, pour finir, le " suicide de l'Europe ". " J'ai été témoin de la plus effroyable défaite de la raison ", écrit-il. Analyste de l'échec d'une civilisation, Zweig s'accuse et accuse ses contemporains. Mais, avec le recul du temps, la lucidité de son testament intellectuel frappe le lecteur d'aujourd'hui, de même que l'actualité de sa dénonciation des nationalismes et de son plaidoyer pour l'Europe, que la nouvelle traduction de Serge Niémetz restitue dans toute sa vigueur.