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Une nuit, Markovitch

Quatrième de couverture
1939. Zeev Feinberg et Yaacov Markovitch quittent leur petit village de Palestine, direction l'Allemagne, où ils ont pour mission d'épouser de jeunes Juives afin de les sauver des griffes des nazis. De retour chez eux, ils leur redonneront leur liberté en divorçant. Mais si Zeev a bien l'intention de retrouver la femme qu'il aime et son enivrant parfum d'orange, Yaacov, lui, ne tient pas à laisser partir Bella, « la plus belle femme qu'il ait vue de sa vie ». Cette dernière est pourtant déterminée à se séparer de lui... [source : Payot Lausanne]
Durée: 13h. 28min.
Édition: Paris, Presses de la Cité, 2016
N° de notice: 34096
ISBN: 9782258133853

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Lu par: Simon Corthay
Durée: 9h. 54min.
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Quatrième de couverture: Dans Un voyage à Ur de Chaldée David Shahar poursuit l'évocation de la Jérusalem de sa jeunesse commencée avec Le Palais des Vases brisés (Gallimard, 1978). Ce roman qui d'ailleurs peut se lire indépendamment constitue le second volet d'une trilogie. De nouveaux personnages prennent place, d'autres se précisent sur la vaste fresque animée, tel le petit Sroulik dont l'auteur raconte ici la jeunesse, les luttes, les rêves et les amours. Il n'accomplira pas le voyage à Ur, ville du premier Hébreu, mais il connaîtra une autre aventure : converti, il deviendra «pasteur protestant juif.» Nous retrouvons le merveilleux conteur qu'est David Shahar, son humour et cette touche de magie qui fait des événements et des détails les plus quotidiens un monde rempli de mystère et de rêve. L'auteur est issu d'une famille établie sur la terre d'Israël depuis cinq générations. Son enfance est la source de son inspiration et Jérusalem avec son peuple bigarré et pittoresque, la toile de fond de son œuvre. Mais c'est au-delà de l'anecdote et du récit concret que se situent ses intentions profondes.
Lu par: Simon Corthay
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Lu par: Simon Corthay
Durée: 6h. 21min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 67832
Quatrième de couverture: Jérusalem d'avant la Seconde Guerre mondiale revit grâce à un narrateur à la recherche du temps perdu. Les «vases brisés» sont sans doute ceux du palais de la mémoire : ils sont aussi ceux, très réels, qui servaient à tirer l'eau du puits de la maison d'enfance. Ils font enfin allusion à une idée théosophique audacieuse : la «brisure des vases» est un accident cosmologique dû à l'abondance divine, qui expliquerait l'origine du mal.
Durée: 28h. 13min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
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Quatrième de couverture: Sujet d'études d'un centre spécialisé de Tel-Aviv, Evenezer Schneorsohn enregistre des cassettes sur lesquelles il témoigne de son expérience unique dans un camp de la mort : convaincu qu'il serait le seul survivant de l'holocauste, il a réussi, par un curieux phénomène d'effacement de soi, à emmagasiner dans son cerveau tout ce qui, d'après lui, constituait le savoir juif (la théorie de la relativité d'Einstein, le texte intégral des cinq livres de la Bible, une recette de cuisine...). Il est le " dernier Juif ", autour duquel s'articulent tous les autres personnages de ce roman fragmenté. Récits, légendes hassidiques, témoignages, lettres viennent se greffer sur l'histoire d'Evenezer pour composer un étrange puzzle qui emmène le lecteur de Ternopol à New York, de la Galilée à Marseille, du Moyen Âge à un futur non encore vécu. Ainsi, nous suivons la correspondance du professeur Henkine avec un écrivain allemand qui n'en finit pas d'expier le rôle joué par son père pendant la guerre, les diverses activités de Boaz Schneorsohn au sein de sa lucrative entreprise de commémora tion, les échecs sentimentaux et les grandes réussites agricoles de la très belle Rivka Sourka, qui, dit on, possède le pouvoir de détourner la mort. Tous ces personnages ont un lien avec l'intrigant Joseph Reina, poète et don juan aux yeux de démon, géniteur de cent enfants qu'il a semés de par le monde. Mêlant fantastique, ironie et grotesque, cette grande fresque retrace une histoire d'Israël portée par la totale subjectivité d'un de ses acteurs privilégiés dont elle constitue l'oeuvre maîtresse.
Lu par: Clelia Strambo
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Quatrième de couverture: Le jeune Shmuel Asch désespère de trouver l'argent nécessaire pour financer ses études, lorsqu'il tombe sur une annonce inhabituelle. On cherche un garçon de compagnie pour un homme de soixante-dix ans ; en échange de cinq heures de conversation et de lecture, un petit salaire et le logement sont offerts[...]udas est un magnifique roman d'amour dans la Jérusalem divisée de 1959, un grand livre sur les lignes de fracture entre judaïsme et christianisme, une réflexion admirable sur les figures du traître, et assurément un ouvrage essentiel pour comprendre l'histoire d'Israël. Un chef-d'œuvre justement acclamé dans le monde entier.
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Quatrième de couverture: Autoportrait avec famille, Le Roman égyptien rejoue comme aux dés les pérégrinations des Castil, originaires d'Egypte et auparavant d'Espagne, et encore avant, de la sortie biblique d'Egypte. Sauf que les ancêtres bibliques d'Orly Castel-Bloom ne sortent pas d'Egypte : ils y restent et forment une tribu sauvage, autochtone, qui oublie son judaïsme. Quant aux Castil d'Espagne, ils restent eux aussi sur place et se convertissent pour échapper à l'Inquisition, leur fille devenant même porchère pour donner le change. Plus tard, la famille quitte l'Egypte avec un mouvement de jeunesse sioniste ouvrier et rejoint un kib-boutz en Israël, dont elle sera expulsée aussi pour excès de jusqu'au-boutisme stalinien... 'issue de ces trois expulsions historiques dont elle est le fruit, la narratrice n'a pas de nom, pas d'identité, elle est l'aînée, "la grande fille", "la grande", en quête permanente d'une place dans le monde. La romancière explose ici la narration classique façon puzzle, pour mieux dire les éparpillements de l'âme et le poids de l'hérédité. Entre montagnes russes et kaléidoscope d'images et d'émotions, le roman - comme la famille - fait rhizome : les souvenirs qu'on se transmet sous forme d'histoires confinant au légendaire deviennent le limon d'un roman familial aussi constitutif que destructeur et c'est dans ce corps à corps acharné avec un passé lourd de blessures mais traversé d'éclats de rire qu'Orly Castel-Bloom déchaîne une singularité radicale aux résonances universelles.
Durée: 11h. 25min.
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Numéro: 17277
Quatrième de couverture: Israël, c'est beaucoup plus qu'Israël... Derrière un Etat qui fête ses soixante ans en 2008, il y a un peuple vieux de trente-cinq siècles. Derrière la renaissance de l'hébreu, le souvenir d'autres cultures - le Yiddishland, le monde ladino et judéoarabe, l'Europe des Lumières. Derrière une démocratie laïque, la fidélité religieuse. Comment la nation israélienne moderne s'est-elle formée ? Qui furent ses visionnaires, ses bâtisseurs, ses premiers héros ? Quel sera son avenir ? La Palestine était-elle " vide " au moment où Theodor Herzl, ce personnage qui semble sorti de Jules Verne, fonde le sionisme ? Quelles ont été, depuis cent ans, les arrière-pensées des grandes puissances ? La paix est-elle possible ? C'est ce roman vrai (sans doute l'aventure la plus étonnante de notre temps) que Michel Gurfinkiel retrace dans ce livre.
Lu par: Claude Yersin
Durée: 7h. 21min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
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Quatrième de couverture: Sur la scène d'un club miteux, dans la petite ville côtière de Netanya en Israël, le comique Dovale G. distille ses plaisanteries salaces, interpelle le public, s'en fait le complice pour le martyriser l'instant d'après. Dans le fond de la salle est assis un homme qu'il a convié à son one man show - ils se sont connus à l'école -, le juge Avishaï Lazar, retraité et veuf inconsolable. Il écoute avec répugnance le délire verbal de l'humoriste. Mais peu à peu le discours part en vrille et se délite sous les yeux des spectateurs médusés. Car ce soir-là Dovale met à nu la déchirure de son existence lorsque adolescent, alors à Gadna (camp de préparation militaire parascolaire) avec son ami Avishaï, on l'avait informé de la mort d'un de ses parents sans lui préciser lequel. Et jusqu'à l'enterrement, Dovale s'était trouvé devant ce choix terrible : de qui - mère ou père - "souhaitait-il" la mort ? Avishai, par lâcheté, lui avait tourné le dos alors que Dovale avait eu besoin de son soutien. Le juge comprend où Dovale veut en venir avec ce spectacle. Il ressent soudain l'envie d'écrire. Il noircit de notes les serviettes qu'il a sous la main. Trahison de l'amour, trahison de l'amitié ? Règlement de comptes ? Pourtant, à la fin du spectacle, entre le juge et l'humoriste, un début de rédemption s'ébauche.
Durée: 11h. 17min.
Genre: Roman historique/biographique
Numéro: 68675
Quatrième de couverture: Qui se souvient que Magda Goebbels - qui se suicida en mai 1945 dans le bunker d'Hitler après avoir empoisonné ses six enfants - avait été, vingt ans plus tôt, l'ardente maîtresse du dirigeant sioniste Haïm Arlozoroff ? Y aurait-il un lien entre cette liaison improbable et l'assassinat, le 16 juin 1933, sur une plage de Tel-Aviv, de cet homme qui, s'il avait vécu, aurait peut-être été le premier président de l'Etat hébreu ? Tels sont les mystères que ce roman, librement inspiré de personnages qui ont bouleversé leur temps sans épargner le nôtre, tente d'élucider. De la haute finance allemande aux premières implantations juives de Palestine, du nazisme au sionisme, de la Shoah aux guerres actuelles du Proche-Orient, de l'amour à la haine, Qui a tué Arlozoroff ? retrace, au fil d'un écheveau fascinant, des destins que seule une Histoire tragique sut rassembler. Mais ce roman raconte surtout le parcours échevelé d'une femme qui, par la force de son tempérament diabolique, sut se frayer un chemin entre l'ambition et la folie. Entre la passion et le Mal.
Durée: 8h. 38min.
Genre: Histoire/géographie
Numéro: 21496
Quatrième de couverture: Depuis 1967, le conflit israélo-palestinien a souvent été un facteur de tension au sein de la société française. Racisme, antisémitisme, affrontements communautaires se nourrissent de l'interminable crise du Proche-Orient. Pour quelles raisons particulières la France est-elle plus sensible qu'aucun autre pays occidental aux échos d'un conflit lointain et localisé ? Dans ce livre informé, Denis Sieffert s'efforce de remettre en perspective les relations tumultueuses entre la France et Israël. Plus qu'une simple affaire de politique étrangère, le Proche-Orient agit comme un miroir pour la société française et les communautés qui l'habitent. C'est pourquoi toute prise de position prend un caractère passionnel. Depuis le parrainage d'Israël par la IVe République jusqu'au caillassage du Premier ministre Lionel Jospin à l'université de Bir Zeit, en passant par la fameuse déclaration du général De Gaulle en 1967 à propos du peuple juif "sûr de lui-même et dominateur", et le "sauvetage" de Yasser Arafat par François Mitterrand en 1982, les débats et polémiques ont souvent divisé l'opinion française et ses responsables politiques. Denis Sieffert explore ici le rôle du passé colonial français toujours douloureux, la relation difficile entre le sionisme et la République et, plus largement, le problème que soulèvent les doubles allégeances. Il rappelle les liens que les grandes familles politiques conservent, plus d'un demi-siècle après la naissance d'Israël, avec les protagonistes du conflit. Il montre en particulier que les socialistes, comme leurs ancêtres de la SFIO, restent souvent très liés à Israël, alors que les communistes, l'extrême gauche, les Verts et les altermondialistes sont, eux, engagés dans le soutien des Palestiniens.
Durée: 12h. 43min.
Genre: Roman historique/biographique
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Quatrième de couverture: En 1926, Koestler abandonne ses études et part en Palestine. Ce livre est le fruit de son expérience de pionnier dans la petite communauté agricole socialiste qui sert de cadre à la chronique romancée des personnages hauts en couleur qu'il y rencontre. Au-delà des destinées de ces héros en proie aux terribles difficultés qu'ils doivent surmonter au péril de leurs vies, ce roman est d'une constante actualité, car Koestler y pose la question du droit de se défendre et traite courageusement du dilemme de la noble fin qui requiert des moyens ignobles. C'est-à-dire du terrorisme
Durée: 9h. 22min.
Genre: Roman historique/biographique
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Quatrième de couverture: Qui est Rachel, enfant qui aimait raconter des histoires, devenue une dramaturge acclamée sur toutes les grandes scènes du monde ? Avec ses parents, des Juifs de Palestine, elle habite Jaffa au début du xxe siècle. Ils partagent leur maison avec les Khalifa, des Arabes chrétiens. Les deux familles n’en font qu’une, jusqu’à ce que l’Histoire s’en mêle. Conflits religieux, guerres… Dans les tempêtes, Rachel tient bon grâce à l’art, à sa vocation absolue pour le théâtre. Elle organise le monde sur scène, tandis que sa vie est agitée d’amours et de deuils, d’obstacles et d’exils. De Palestine en Turquie, de Turquie en France, elle affronte, intrépide, amoureuse, un monde hostile, créant une œuvre bouleversante.