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Les fiancés du Glacier Express

Résumé
Mécontents et en colère, voilà comment ils se décrivent. " Ils ", ce sont Lily Petite, la soixantaine, journaliste chroniqueuse, féministe lucide, grand-mère grincheuse et Oscar Muller, la soixantaine également, congédié brutalement après une belle carrière. Tous deux sont en fuite. elle fuit sa vie, il fuit sa mère et tous deux, dont les yeux se sont croisés, sautent dans un train. Le jeu du hasard est rattrapé par celui de l'amour tandis que le train s'engage, de tunnels en viaducs, dans de petites vallées alpestres. Amélie Plume déploie son art comique avec astuce, les dialogues croisés entre français, suisse allemand, allemand, et pourquoi pas un peu de romanche font exploser la forme. Le rire dédramatise et allège les constats dévastateurs de Lily Petite sur notre société et sur le rôle de grand-mère en ce début de XXIe siècle
Genre littéraire: Humour-satire
Durée: 2h. 53min.
Édition: Genève, Ed. Zoé, 2010
Numéro du livre: 31499
ISBN: 9782881826689

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Résumé:
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Résumé: Mais qui est cette Mademoiselle Petite ? Une petite écrivaine dont les écrits sont publiés en petits tirages dans une petite maison d'édtion d'un petit pays. Une fiction, vraiment ? Un livre étrange et liliputien où il est question de divorce, de départ vers un pays froid où l'amour guette, de retour vers notre beau pays, de petites phrases assassines et de petits rien cocasses... Si certaines personnes ont des doutes que les plus belles années de la vie soient celles de l'enfance..., Amélie Plume en a elle, la certitude. D'une plume qui virevolte, l'écrivain suisse Amélie Plume nous chatouille là où ça nous étonne encore. Globe-trotter puisqu'elle a parcouru l'Afrique, l'Israël, et habité le Québec (d'où le St-Laurent dans le titre), Amélie Plume n'en est pas à son coup d'essai puisque ce roman est déjà le douzième publié chez les éditions Zoé.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Amette est une femme de notre temps. Une femme qui, dans Toute une vie pour se déniaiser - beau programme - est fermement décidée à arrêter de s'agiter pour une année. Elle veut enfin voir le temps passer. Elle craint de se retrouver, un jour, à se dire, comme un homme de soixante ans qu'elle a entendu: «Je n'ai pas vu le temps passer.» Elle se décide donc à prendre une année sabbatique. Elle en parle à Mégère qui, tout au long du livre, lui donne la réplique. Le dialogue entre les deux femmes...les deux visages de la même femme... est enlevé. Une caractéristique habituelle dans les livres d'Amélie Plume qui sont de vrais rafraîchissements. Leur ton est léger, leur humour corrosif, leurs observations sur les hommes et le temps piquantes. Et Amélie Plume, qui revient souvent sur les événements de sa vie, garde toujours avec une distance empreinte d'auto-ironie. Elle n'y déroge pas dans Toute une vie pour se déniaiser et Mégère l'y aide bien. Elle n'est pas prête à avaler toutes les histoires qu'Amette veut se raconter. Une Amette qui, en retour, traite Mégère de tous les noms.
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Genre littéraire:Biographie/témoignage
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Résumé: Dans Un voile de coton, Amélie Plume obéit à un irrésistible appel vers la terre de ses origines. Elle décide de s’en aller le plus souvent possible loin de sa grise capitale, avec le train, le car, la voiture. Rendre visite à ces petits villages et ces vastes campagnes jurassiennes où elle n’a plus mis les pieds depuis longtemps lui procure une joie profonde et inattendue. Alors son alerte monologue en basse continue se teinte de commentaires de voyage dont la palette va du grand bon sens à l’autoironie la plus cocasse. Son entrain l’amène pourtant à déterrer des souvenirs enfouis « dans une purée de pois », qui, finalement, la conduisent à se mettre en chambre et regarder en face son enfance et sa mère. La seconde partie de ce livre leur est consacrée, avec une honnêteté qui émeut. Du cocon fusionnel « comme dans une poche de kangourou » avec cette mère si douce et sévère à la déchirure d’avec cette femme à l’ancienne, voici le retour d’une féministe à l’enfance, là où l’amour maternel, lorsqu’il est trop fort, peut être source d’une sourde violence.
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Lu par:Lisette Vogel
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Résumé: Ça commence comme dans un village à la Pagnol. Un petit patelin dans lequel rien ne se passe jusqu’à l’arrivée d’un inconnu, forcément nocif. Il pourrait transformer le hameau en Clochemerle, mais c’est plutôt au village gaulois d’Astérix qu’il va se confronter. Yvan Sjöstedt calibre les caractères de ses personnages selon les besoins du scénario. Et crée un méchant. Un vrai, susceptible de détruire la tranquille harmonie du village. C’est vrai qu’avec un maire prénommé Carpette, on aurait pu s’attendre à la résignation face aux desseins de l’inconnu qui arrive comme un poil sur la soupe. Ce poil, justement, qui irrite autant les acteurs que les lecteurs, conclura finalement toute l’imagination de l’auteur qui livre un délicieux petit roman au ton vif, voire déluré. Après le scénario sur-documenté de la bande dessinée « Farinet, le faux-monnayeur », Sjöstedt lâche la bride dans un petit délire sans limite, hormis celle de nous faire sourire un brin, un poil !
Lu par:Lisette Vogel
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Résumé: Un roman drôle et décapant qui traite de sujets profonds : et si l'art pouvait nous (re)donner de la force, du courage, de la confiance, de l'envie ? De plus en plus de thérapeutes conseillent aux gens déprimés, en deuil ou en rupture de se ressourcer en allant voir un tableau qui a parfois traversé les siècles et les continents, et a un message libérateur à transmettre. La vie passe et on se retrouve à 50 ans, souvent fraîchement divorcée et hélas plus toute fraîche sur le marché ingrat de la séduction. A cet instant précis, on peut gémir sur l'injustice du temps qui file, sur ces salauds de mâles qui font leur crise, cassent leur vie comme on casse une construction en Lego et n'arrivent plus à la reconstruire, sur l'ingratitude des jeunes qui nous considèrent au boulot comme des vieux cons avec notre vie de bureau bien réglée " en présence " comme on dit désormais, alors qu'eux sont mobiles, exigeants, online, volatiles, égocentrés, vénaux assumés, tout ce que nous avons toujours rêvé d'être sans jamais oser le réclamer, on peut geindre sur nos parents âgés qui ont eu une retraite en platine dont nous ne bénéficierons jamais et qui ont le mauvais goût de vivre hyper longtemps, avant de nous bouleverser quand ils meurent parce que ce sont nos parents et qu'après eux c'est nous qui sommes au bord du précipice, on peut grincer sur nos enfants merveilleux forcément merveilleux mais pour lesquels on panique car on se dit qu'ils ne trouveront ni emploi ni logement et qu'ils resteront agglomérés à nous et à leur portable, confinés ad vitam aeternam à la maison pour se protéger du monde extérieur. Oui on peut se plaindre de tout ça et je le fais régulièrement car c'est très jouissif de se plaindre même si cela ne mène à rien. Mais la réalité, c'est qu'on bouge encore.."
Durée:3h. 36min.
Genre littéraire:Humour-satire
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Résumé: Quand nous découvrons Geoffroy, le héros de ce roman, il est coincé dans un ascenseur, simple métaphore de l’existence pour cet employé timoré qui échoue superbement à faire son chemin. Doté d’un jumeau à qui tout réussit, il végète dans une entreprise d’emballage dont il va claquer la porte pour se consacrer au tri des pommes. Repéré par une metteuse en scène d’avant-garde qui porte haut l’art du vide, il subit les autres sans cesser de s’interroger, tant sur son absurde parcours que sur sa capacité à tout supporter. Il faudra un ficus compatissant pour qu’il ose enfin sortir du cadre. Car il suffit parfois d’une plante de salon pour révéler une tragédie intime et bouffonne.
Durée:2h. 41min.
Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:18915
Résumé: Publié tout d'abord 1950, le Petit maltraité d'histoires suisses, revu et diminué par Jack Rollan a fait l'objet de 22 épisodes radiophoniques. Sous le titre Y'en a point comme nous, il revisite l'histoire suisse à sa manière. Hommages ironiques à la Suisse, ces sketchs ont également fait l'objet d'un livre et d'un spectacle hollywoodien qui, malgré son succès a causé la ruine de son auteur en raison des coûts de production.
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Résumé: Lors d'une fête entre voisins, Constantin Birgus fanfaronne. Il a prévu d'emmener sa femme et ses trois enfants au Iles Fidji cet été. Un rêve en réalité inaccessible, pour des raisons financières. Constantin pourtant s'obstine et raconte à tout le monde qu'il a réservé l'avion, l'hôtel, les excursions. Le jour du départ approchant à grand pas, il doit finalement exposer à sa femme son vrai projet de vacances.
Lu par:Collectif BSR
Durée:3h. 42min.
Genre littéraire:Humour-satire
Numéro du livre:17532
Résumé: C'est l'histoire d'un homme qui se fait appeler Guillaume Tell. Un beau «morceau de l'humanité et de son patrimoine», d'après les propos de l'éditeur, à entretenir entre les faits d'hiver, d'été et de toutes les saisons. Un nom composé et décomposé et qui associe l'identité un peu fantôme, ni d'Orient ni d'Occident, mais qui épelle tant d'expressions sur le sujet en question et à propos de quelques autres, les sains et les mauvais esprits. A partir du conte de cet «étranger», condamné à être à vie un étranger- malgré sa totale intégration-, les petits contes surgissent à la surface d'une Méditerranée et surfent, lunatiques sur toutes les ailes. Sur les airs d'«une tache bleuâtre»- expression empruntée à Magid Houssi, un autre Tunisien qui a son mot dans les universités italiennes, sur les mots, les langues de routine ou de bois-, qui change de couleur selon les vents et les caprices des intempéries...