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Les derniers jours d'Hitler

Résumé
" Hitler dans le bunker, c'est le vrai Hitler. " Joachim Fest étudie ici un Hitler inconnu, " homme du souterrain ", qui fait construire son premier bunker en 1933 et qui multiplie les abris jusqu'en 1945. Il montre comment l'enfermement ultime dans le centre de Berlin assiégé est la manifestation suprême de la situation " dos au mur " que le dictateur a toujours recherchée. On comprend mieux pourquoi Hitler a voulu, à tout prix et jusqu'à sa fin, entrer dans l'histoire comme un homme unique. Et, dans cette histoire de ruines, de destruction et d'espoirs chimériques, apparaît l'une des clefs du pouvoir de Hitler : maintenir, même contre l'évidence, l'illusion d'un IIIe Reich victorieux. Joachim Fest décrit au jour le jour la déchéance physique de Hitler et en analyse les conséquences historiques sur l'ultime bataille du Reich ; il raconte l'extraordinaire atmosphère de prostration, entrecoupée de brefs moments frénétiques, qui règne dans le bunker tandis que la Gestapo continue ses meurtres. Il fait aussi le point sur les six versions contradictoires du suicide de Hitler.
Genre littéraire: Histoire/géographie
Durée: 5h. 27min.
Édition: Paris, Perrin, 2004
Numéro du livre: 22535
ISBN: 9782262023294
CDU: 943

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Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:21709
Résumé: Née de la révolution de novembre 1918, victime de la prise de pouvoir nationale-socialiste en 1933, la république de Weimar a laissé un souvenir ambigu : d'un côté, un régime fragile, ébranlé de 1919 à 1923 par les insurrections, les tentatives de coup d'Etat, la crise économique et l'occupation alliée, incapable d'enrayer la montée en puissance d'Hitler et de ses partisans ; de l'autre, la première tentative de démocratie allemande, ère sans précédent de liberté politique, de foisonnement intellectuel et de créativité artistique. Dans ce livre, devenu un classique en langue allemande, l'historien Horst Möller nous met en garde contre tout déterminisme. Si ses chances de réussite étaient faibles, la république de Weimar, n'était pas irrémédiablement vouée à l'échec. Héritiers de la défaite et de la révolution, chargés du lourd fardeau du traité de Versailles, ses fondateurs parvinrent à construire un nouvel ordre constitutionnel et offrirent à l'Allemagne quelques brèves années de stabilité. Son échec final ne se comprend que dans le moyen terme de la période 1918-1945, marquée par la contestation et le renversement de la légalité; l'idéologisation et la polarisation de tous les secteurs de la société. Son histoire est une leçon de culture politique, d'une actualité inentamée, sur la possibilité de la démocratie et les dangers qui la guettent. Une leçon qu'ont retenue les bâtisseurs de l'Allemagne moderne et que doivent méditer tous ceux, qui, en Europe, considèrent la démocratie non comme un acquis, mais comme un combat.
Lu par:Michel Joyet
Durée:9h. 9min.
Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:13572
Résumé: Dans sa première édition, en 1959, le Comité international d'Auschwitz présentait ainsi ce livre : « Rudolf Hoess a été pendu à Auschwitz en exécution du jugement du 4 avril 1947. C'est au cours de sa détention à la prison de Cracovie, et dans l'attente du procès, que l'ancien commandant du camp d'Auschwitz a rédigé cette autobiographie sur le conseil de ses avocats et des personnalités polonaises chargées de l'enquête sur les crimes de guerre nazis en Pologne. Conçu dans un but de justification personnelle, mais avec le souci d'atténuer la responsabilité de son auteur en colorant le mieux possible son comportement, celui de ses égaux et des grands chefs SS, ce document projette une lumière accablante sur la genèse et l'évolution de la "Solution finale" et du système concentrationnaire. Ce compte rendu sincère représente l'un des actes d'accusation les plus écrasants qu'il nous ait été donné de connaître contre le régime dont se réclame l'accusé, et au nom duquel il a sacrifié, comme ses pairs et supérieurs, des millions d'êtres humains en abdiquant sa propre humanité. » La préface de Geneviève Decrop (auteur de l'ouvrage "Des camps au génocide : la politique de l'impensable", PUG, 1995) replace en perspective ce texte fondamental. Et dans la postface inédite à cette édition de poche, elle montre en quoi les avancées récentes de l'historiographie de la Shoah renouvellent la portée de sa lecture.
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Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:20897
Résumé: Il reste un officier survivant du bunker : l'aide de camp von Loringhoven a vu Hitler tous les jours pendant les derniers mois du Reich. Il a assisté quotidiennement aux réunions de situation militaire dirigées par Hitler et il fut en liaison avec tous les fronts. Son récit, dépourvu de dramatisation superflue, décrit une paralysie entrecoupée d'espoirs - les " armes secrètes ", l'offensive des Ardennes, l'armée de Wenck dans Berlin déjà occupé - jusqu'à la prise de conscience, fin avril 1945, de la mise échec et mat. Il saisit sur le vif les acteurs - de Göring à Keitel, de Himmler à Bormann, de Goebbels à Ribbentrop - et brosse surtout une fresque saisissante du " dernier " Hitler, obnubilé par sa vengeance, dos au mur à la recherche d'une victoire théâtrale dans un empire en ruine.
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Genre littéraire:Histoire/géographie
Numéro du livre:15582
Résumé: Durant le printemps et l'été 1943, cinq jeunes étudiants allemands et un professeur à l'Université de Munich franchirent le seuil de la tolérance pour se retrouver dans les sphères de la résistance, du danger et de la mort. Protestant au nom des principes qu'Hitler pensait avoir détruits à jamais, Sophie Scholl et d'autres membres de la Rose Blanche se sont aperçus que le Germanisation qu'Hitler a cherché à instaurer était cruelle et inhumaine, et qu'ils ne pouvaient pas se contenter d'y demeurer muets. Du début jusqu'à la fin, l'histoire captivante de Sophie Scholl et la Rose Blanche est un récit exaltant et révélateur de la résistance allemande au Troisième Reich. A travers une chronique détaillée de l'arrestation de Scholl et de sa comparution devant Roland Freisler, le Juge Sanguinaire d'Hitler, aussi bien qu'au fil des annexes rassemblant tous les tracts distribués par la Rose Blanche, exhortant les allemands à se soulever et à se défendre, ce volume est un apport inestimable à l'histoire de la Guerre Mondiale.
Lu par:Jean Frey
Durée:3h. 14min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:16936
Résumé: Roumanie. Depuis que le meunier Windisch veut émigrer, il voit la fin partout dans le village. Peut-être n'a-t-il pas tort. Les chants sont tristes, on voit la mort au fond des tasses, et chacun doit faire la putain pour vivre, a fortiori pour émigrer. Windisch a beau livrer des sacs de farine, et payer, le passeport promis se fait toujours attendre. Sa fille Amélie se donne au milicien et au pasteur, dans le même but. Un jour, ils partiront par l'ornière grise et lézardée que Windisch empruntait pour rentrer du moulin. Plus tard, ils reviendront, un jour d'été, en visite, revêtus des vêtements qu'on porte à l'Ouest, de chaussures qui les mettent en déséquilibre dans l'ornière de leur village, avec des objets de l'Ouest, signe de leur réussite sociale, et, « sur la joue de Windisch, une larme de verre ».
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:18344
Résumé: Le roman est précédé de cet avertissement au lecteur : « L'action et les personnages de ce récit sont imaginaires. Si certaines pratiques journalistiques décrites dans ces pages offrent des ressemblances avec celles du journal BILD, ces ressemblances ne sont ni intentionnelles ni fortuites mais tout bonnement inévitables ». Heinrich Böll, prix Nobel de littérature, décrit la révolte de Katharina Blum, mêlée à un fait divers politique, contre une presse qui la traine injustement dans la boue. Il « intente aussi le procès d'un type de journalisme ainsi que celui du lecteur qui tolère qu'à coups de demi-vérités ou de demi-mensonges lui soient livrées en pâture la réputation et l'intimité de ses concitoyens » [4ème de couverture]. L'action se situe à Cologne, la ville natale de l'auteur, durant le carnaval de 1974. Chez des amis, Katharina Blum, une jeune femme divorcée, fait la connaissance d'un homme recherché pour ses activités terroristes. Elle l'héberge pour la nuit et se trouve dès lors prise dans un terrible engrenage. Arrêtée et interrogée sans ménagements par la police, elle est relâchée quatre jours plus tard. Mais ce délai a suffi pour que la presse à sensation s'empare de l'information, étale à longueur de colonnes la vie privée de la jeune femme et crée une véritable affaire, dans le climat de psychose lié au terrorisme qui règne alors en Allemagne. Bafouée, irrémédiablement salie, Katharina abat le journaliste Werner Tötges, principal instigateur de la campagne de presse, avant de se livrer à la police. Comme dans beaucoup de ses oeuvres, Böll décrit ici sans complaisance l'évolution de la société allemande née du «miracle économique» et critique le conformisme et la facilité dans lesquels elle s'est installée
Durée:3h. 53min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:14979
Résumé: En allemagne, dans les années cinquante, un enfant de treize ans, dont la famille a fui à la fin de la guerre l'avance des années russes, raconte comment ses parents ont perdu son frère aîné Arnold. Après l'avoir longtemps cru mort, il apprend de sa mère qu'elle l'avait abandonné, craignant pour sa vie. au cours des ans, l'enfant disparu obsède de plus en plus la petite famille, et le narrateur jalouse ce frère aîné, devenu un héros. mais voici que les recherches de la Croix-Rouge mettent parents et enfant sur la piste du mythique Arnold, et pour l'identifier, le narrateur devra se soumettre à une succession de tests génétiques de plus en plus complexes... Portrait ironique et cinglant de la bourgeoisie allemande de l'après-guerre, le disparu est aussi une variation autour de la parabole du fils prodigue.
Durée:4h. 17min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:18198
Résumé: Dans l'Allemagne nazie des années 30, un enseignant en géographie corrige les travaux de ses élèves, une classe de garçons de quatorze ans environ. Il les nomme tous par la première lettre de leur nom de famille et, ainsi, note que l'élève N écrit des propos racistes à l'égard des nègres (qui est le terme utilisé pendant tout le roman), préjugés qu'il a déjà souvent entendus à la radio ces temps et qui lui font peur. Cela lui rappelle qu'il a perdu la foi suite aux horreurs de la Première Guerre mondiale. Le lendemain, en distribuant les copies, il commente à l'élève N que "les nègres sont aussi des hommes". Le lendemain, le père de N, un artisan, vient manifester sa désapprobation, car défendre les nègres, "c'est du sabotage contre la patrie!". Le directeur de l'établissement le remet à l'ordre également quelques jours plus tard, parce que tous doivent s'adapter aux circonstances extérieures. La classe de l'enseignant signe même une pétition contre lui: ils ne veulent plus recevoir son enseignement...
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: En sortant de son trou, la taupe reçoit quelque chose sur le crâne. C'est mou, marron et ça ne sent pas bon. Furieuse, elle part mener l'enquête pour découvrir qui est l'animal qui lui a fait sur la tête.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:32942
Résumé: L'Allemagne, début de siècle. Knulp, un vagabond vieillissant juste sorti de l'hôpital, revient au village de son enfance : il est malade, diminué, épuisé par ses années d'errance. Sans logis, il va de maison en maison, s'installe au gré de sa fantaisie chez l'un ou l'autre. Mais l'accueil qu'il reçoit est faussement chaleureux. Méfiance et rancune sont dans les têtes. Ses anciens camarades lui reprochent d'avoir gâché les dons qu'il possédait et de s'être abandonné à la vacuité de la vie de bohème... Avec Knulp, Hermann Hesse a brossé l'un de ses plus beaux portraits littéraires. Celui d'un être libre qui, pour orienter son existence, a préféré le rêve aux conventions sociales. Personnage complexe et attachant, Knulp compose une figure fascinante de dilettante doué dont le lecteur pénètre peu à peu les pensées les plus secrètes... Roman magique, apologie de la liberté, de la désinvolture et du désintéressement, Knulp est aussi une superbe méditation sur les blessures secrètes, la solitude et l'échec.
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Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
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Résumé: Eberhardt Starusch, 40 ans, professeur dans un lycée de Berlin, se rend chez son dentiste. Dans son fauteuil, face à l'écran de télévision, il s'invente ses propres émissions dans un dialogue fictif entre son dentiste et lui-même. Avec humour et sarcasme, il dresse un portrait cynique du monde dont le bon sens et la morale ont été anesthésiés par la société de consommation.
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Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
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Résumé: Présentation : " Telle est la grande question qui nous accompagnera tout au long de ce livre : qu'est-ce que Jésus a vraiment apporté, s'il n'a pas apporté la paix dans le mode, le bien-être pour tous, un monde meilleur ? Qu'a-t-il apporté ? la réponse est très simple : Dieu. Il a apporté Dieu. Ila apporté le Dieu dont la face s'est lentement et progressivement dévoilée depuis Abraham jusqu'à la littérature sapientielle, en passant pas Moïse et les prophètes - le Dieu qui n'avait montré son vrai visage qu'en Israël, et qui avait été honoré dans le monde des gentils sous des avatars obscurs - c'est ce Dieu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, le Dieu véritable qu'il a apporté aux peuples de la terre. Il a apporté Dieu : dès lors, nous connaissons sa face, dès lors nous pouvons l'invoquer. Dès lors, nous connaissons le chemin que, comme hommes, nous devons prendre dans ce monde. Jésus a apporté Dieu et avec lui la vérité sur notre origine et notre destinée : la foi, l'espérance et l'amour. "