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Discours préliminaire de l'encyclopédie

Résumé
D'Alembert retrace les origines de son encyclopédie et nous décrit l'esprit du siècle des Lumières.

Pas disponible en CD.

Genre littéraire: Essai/chronique/langage
Durée: 6h. 41min.
Édition: Paris, Denoël, 1965
Numéro du livre: 22427
ISBN: 9782282300450
CDU: 100

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Résumé:Etude ethnolinguistique de l'histoire des langages secrets dans l'histoire. Jargons criminels ou langues sacrées, tous ces dialectes ont pour but de cacher le sens aux communs des mortels, jouant le sens et le son des mots l'un contre l'autre.
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Genre littéraire : Essai/chronique/langage
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Résumé:Il arrive que la presse n’ait pas bonne presse. Ce fut le cas, il y a cinquante ans, durant les événements de mai et juin 1968. On vit alors fleurir des affiches qui ne faisaient pas dans la nuance. L’une montrait une bouteille de poison accompagnée de cette mise en garde : « Presse. Ne pas avaler. » Une autre rendait un verdict sans appel : « Toute la presse est toxique. » D’autres encore, visant l’audiovisuel public, présentaient un policier casqué avec ce commentaire : « La police vous parle tous les soirs à 20 h. » Or, au même moment, on pouvait trouver dans les librairies un livre qui contredisait cette vision uniforme d’une presse ligotée et de journalistes asservis. Ce livre, c’est celui-ci, La Presse, le Pouvoir et l’Argent de Jean Schwœbel, sorti aux Éditions du Seuil précisément en ce printemps 1968. La nouvelle édition de cet ouvrage pionnier permet de mettre en évidence l’actualité d’une tradition, celle de rédactions se battant pour l’indépendance de leurs médias. « Résister, c’est créer. Créer, c’est résister » : cette formule a souvent inspiré la génération de la Résistance, celle de Jean Schwœbel et de ses collègues, dont les combats inauguraux nous aident, aujourd’hui, à inventer les réponses qui manquent. L’un des grands mérites de ce livre est de nous transmettre cette énergie vitale. Il fait plaisir, en nos temps saisis par les peurs et, hélas, travaillés par les haines, d’y lire un éloge intraitable du non-conformisme. Jean Schwœbel n’hésite pas à plaider pour une presse qui inquiète ses lecteurs, les dérange et les bouscule. Une presse qui préfère les politiser au sens le plus noble du terme, de souci du commun et de l’autre, plutôt que de les divertir et de les distraire.
Lu par : Camille Croset
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Résumé:La Havane que vous découvrirez au fil de ces pages est celle que j'ai connue, celle de mes aventures, mais aussi celle de mes lectures, de mes écrivains de prédilection et de mes fantômes – des fantômes que j'ai choisis, ou de ceux qui m'ont choisie. C'est La Havane de ma mère, et en l'absence de ma mère, La Havane est devenue ma mère, une mère lointaine et à jamais regrettée. C'est La Havane bagarreuse et bambollera (tapageuse) de mon père. La Havane particulièrement fervente et joyeuse de ma grand-mère. La Havane de ma génération, née – année fatidique – en 1959. La Havane de la pénurie et du désarroi, la ville de la fête et celle des sévices. La ville des évasions, des rencontres et des retrouvailles provoquées. La ville bordée par la mer, tour à tour d'or ou d'argent, […]. La ville des infortunes, des persécutions, des crimes passés sous silence, des vols quotidiens que l'on commet pour survivre. La ville des grands amours et des orageuses déceptions, des passions, de la douleur, du souvenir, de l'oubli... J'ai recréé les mystères de cette ville, ceux qui m'ont séduite, en les mêlant à des êtres et des situations de fiction, nés de l'imaginaire populaire ou de ma propre invention.
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Résumé:Treize histoires de fantômes, d’amour et d’amitié, d’admiration et de stupeur. Treize portraits subjectifs, mais vrais, rigoureux, qui ressuscitent des êtres que j’ai rencontrés et aimés, quelquefois malgré eux. Des peintres Marc Jurt, René Feurer, des éditeurs Simone Gallimard, Vladimir Dimitrijevic, Bernard de Fallois, des écrivains Michel Butor, Nicolas Bréhal, Jacques Chessex, Aragon, un philosophe, Jacques Derrida, des gens célèbres ou inconnus, Roger Dragonetti, André Dalmas, Juste Olivier, disparus dans les couloirs du temps. Ne pourchassons pas ces fantômes qui nous hantent, ne les trahissons pas et aimons-les : ce sont les seuls à savoir qui nous sommes.
Lu par : Claude Fissé
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