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Le bel été

Résumé
Une plume qui traduit l'errance teintée d'ennui, et l'impuissance de la jeunesse italienne, cherchant à vivre au contact de l'autre... en vain. Le métier de vivre recèle une solitude si angoissante... sentiment qu'il développera en 1952 dans une parution du même titre.
Lu par : Jean Frey
Durée: 3h. 42min.
Édition: Paris, Gallimard, 2008
Numéro du livre: 19731
ISBN: 9782070121878

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Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 42min.
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Résumé:Le diable sur les collines raconte aussi l'histoire d'un été, celui d'étudiants heureux de se brunir au soleil sur le Greppo où chantent les grillons, tandis que le riche et jeune Poli cherche dans l'alcool et la drogue un sens à sa vie ou peut-être un dérivatif au vide de son âme. L'ennui. arme du diable, frappe en ville comme sur les collines les cercles de la jeunesse dorée où Clelia Oitana, l'héroïne d'Entre Femmes seules, a ses entrées de par son métier. Rien n'apaise cette «difficulté d'être» dont le grand romancier italien s'est fait le peintre attentif et sensible.
Lu par : Jean Frey
Durée : 5h. 5min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19723
Résumé:À la belle saison, comment s'enfermer entre quatre murs quand il fait si bon danser, marcher dans les rues de Turin ou se moquer des gens qui passent ? Le bel été, c'est le temps joyeux de la jeunesse, mais aussi de l'apprentissage doux-amer de l'existence pour les seize ans de Ginia qu'attire et effraie le monde des adultes, où l'étrange Amelia et le peintre Guido seront ses initiateurs. Le diable sur les collines raconte aussi l'histoire d'un été, celui d'étudiants heureux de se brunir au soleil sur le Greppo où chantent les grillons, tandis que le riche et jeune Poli cherche dans l'alcool et la drogue un sens à sa vie ou peut-être un dérivatif au vide de son âme. L'ennui. arme du diable, frappe en ville comme sur les collines les cercles de la jeunesse dorée où Clelia Oitana, l'héroïne d'Entre Femmes seules, a ses entrées de par son métier. Rien n'apaise cette «difficulté d'être» dont le grand romancier italien s'est fait le peintre attentif et sensible.
Durée : 2h. 7min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 13448
Résumé:Quatrième de couverture : De l'amour, Pavese ne retient que la sexualité, liée au sang et à la mort. Les femmes jouent avec les hommes qui les aiment ; elles les manipulent, les trompent, les rejettent... Une violence à peine contenue mise en valeur par le style nerveux et l'intensité de l'écriture.
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19438
Résumé:Cesare Pavese est un écrivain italien. Il vit l'Italie fasciste de Mussolini à laquelle il s'oppose par l'intermédiaire du groupe antifasciste « Giustizia e Liberta » ; il est exilé en Calabre. Cet événement biographique est significatif dans sa production littéraire puisqu'il le pousse sans aucun doute à réfléchir sur l'existence humaine, à travers ses Dialogues avec Leuco notamment. Alors qu'il s'inscrit dans le mouvement néoréaliste de l'époque, il rompt avec ses formes caractéristiques pour ses Dialogues avec Leuco qu'il considère comme son chef d'œuvre. Ce travail, écrit entre 1945 et 1947, est divisé en vingt-sept dialogues qui mettent en scène des personnages mythiques, sauf exceptions comme Sappho ou Hésiode. Leuco, abréviation du mythique Leucotea (Ino, épouse du roi de Orcomeno Athamas) qui protège les naufragés fait également référence à son amour à la fois passionnel et frustrant pour Bianca Garuffi. Ce titre donne le ton de son ouvrage qui se veut une réflexion existentielle et personnelle à travers le support mythologique, en vue de protéger les hommes de leur naufrage, peut-on penser...
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Résumé:Dans son carnet secret, la comtesse Livia se souvient. De sa rencontre à Venise, alors qu'elle était en voyage de noces, avec Remigio et de la passion que lui inspira ce beau lieutenant. Froidement, elle raconte aussi comment, par jalousie et par souci de vengeance, elle mena à sa perte son amant après lui avoir donné argent et bijoux. Concis et cruel dans sa manière de camper ses personnages (sur une vision romantique de l'amour, le cynisme de la comtesse en dit long), précis dans son évocation du contexte historique (la guerre entre l'Italie et l'Autriche), Camillo Boito tire de cette trame mélodramatique un joyau romanesque. Visconti ne s'y est pas trompé, qui prêta de manière inoubliable les traits d'Alida Valli et de Farley Granger à la comtesse et à son lieutenant dans son Senso de 1953.
Lu par : Arantza Urrejola
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Résumé:Olympe de Gouges (1748-1793), auteure de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, aura tenté de propager ses idéaux avant d'être jetée en prison sous la Terreur, puis exécutée. C'est ce personnage clé de la lutte pour l'égalité que Maria Rosa Cutrufelli fait renaître en empruntant la forme du roman. Une douzaine de narratrices, parmi lesquelles Olympe de Gouges elle-même, se partagent le récit de ses derniers mois, fiction plus vraie que nature. Elles apportent chacune leur vision des événements et offrent un éclairage plein d'humanité sur son tragique destin. Ainsi Maria Rosa Cutrufelli, passionnée de longue date par la vie et les écrits d'Olympe, trace-t-elle peu à peu son portrait, sensuel, vibrant, fourmillant de détails justes... Celui d'une héroïne dont on ne peut qu'admirer la dignité et la détermination à ne point plier l'échine sous le joug de principes contraires à son éthique.
Lu par : Danielle Laborde
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Quinze ans, quelques kilos en trop et un (grand) coeur qui bat sur un rythme atypique, voici Margherita Dolcevita. Un père bricoleur acharné, une mère qui fume des cigarettes virtuelles, deux frères, l'un fana de foot, l'autre de mathématiques, un grand-père qui avale des yaourts périmés pour se mithridatiser et un chien indéfinissable, Roupillon : c'est la famille de Margherita, habitant un dernier reste de campagne, aux portes d'une petite ville comme tant d'autres. Quant à Margherita, elle écrit des poèmes et dialogue avec la Petite Fille de poussière, un fantôme qui hante une maison frappée, il y a longtemps, par un bombardement. Mais un jour apparaît, juste en face, un énorme Cube noir et menaçant. Il s'agit de la maison des nouveaux voisins, les Del Bene, image d'une modernité maléfique qui fait voler en éclats la vie paisible de l'adolescente. Seul Angelo, leur fils aîné, un beau "vampire blond", tente de se soustraire à la vie hypocrite de ses parents. Jusqu'au bout, Margherita, qui a découvert les activités louches des Del Bene, se battra pour sa "miette de justice", avec son humour, son intelligence et son refus des stéréotypes, qui font d'elle une sorte de Zazie italienne.
Durée : 5h. 14min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Craignant de ne plus revoir cette petite-fille qu'elle adore et désireuse de resserrer des liens distendus par l'adolescence, elle va se mettre à raconter sa propre vie. Une vie sans beaucoup d'amour, sauf la passion qu'elle éprouva pour Ernesto, médecin trop tôt disparu. Après une enfance solitaire auprès d'une mère peu affectueuse, elle accepte un mariage sans amour. Dans les lettres à la petite-fille elle évoque enfin cette passion qu'elle n'avoua qu'une seule fois, dans un moment de colère, à sa fille qui mourra de la même manière que l'homme qu'Olga aima. C'est alors qu'entrera dans la fille de sa fille. Après l'enfance tendre, l'adolescence chaotique ramènera Olga aux années difficiles avec sa propre fille, qui voulait absolument échapper à sa mère trop possessive.
Durée : 3h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:En Libye la révolte gronde. La guerre éclate. Dans un pays en proie à la violence, en pleine déroute, certains n'ont plus le choix. Il leur faut partir avant d'être tués, comme Omar, le mari de Jamila. La jeune femme part donc avec son petit garçon, Farid, trop jeune pour comprendre la violence des hommes. Farid ne connaît que le désert. La terre de ses ancêtres bédouins. Il n'a jamais vu la mer. Mais Jamila sait que le salut est là, que leur unique chance de survie est d'embarquer sur l'un de ces bateaux qui promettent de les mener en Sicile. Jamila a donné tout son argent au passeur, elle n'a plus rien, plus rien que cette dérisoire amulette qu'elle a nouée autour du cou de Farid, plus rien que son châle qui le protégera du soleil et du sel, plus rien qu'un peu d'eau qu'elle lui donne goutte à goutte, pour qu'il ne meure pas. Et cette force que le désespoir donne aux mères.
Durée : 6h. 33min.
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Résumé:Ortis est un jeune Vénitien qui, désespéré de la ruine de sa patrie, asservie à la domination française (1797), va chercher le repos dans la solitude et dans la lecture de Plutarque. Bientôt il s'éprend d'une vive passion pour une jeune patricienne, Thérèse, déjà fiancée à un riche gentilhomme. En proie à cet amour, il quitte la Vénétie et parcourt toute l'Italie du Nord, traînant partout après lui sa mélancolie et son désespoir, et écrivant à son ami Lorenzo les lettres qui forment le fond de l'ouvrage. Décidé à se tuer le jour où Thérèse prononcera le serment qui doit la lier à un autre, il revient respirer une dernière fois l'air pur des collines euganéennes et s'enfonce un poignard dans le coeur, à l'endroit même où il avait vu Thérèse pour la première fois. Le mystérieux suicide, à Pavie, d'un étudiant du Frioul, qui fit du bruit à cette époque, donna évidemment à Ugo Foscolo l'idée première de son roman; mais, en réalité, ce sont bien les regrets et les aspirations politiques de l'auteur lui-même qui s'y font jour à chaque page. Le succès des Lettres de Jacopo Ortis fut immense; elles placèrent Ugo Foscolo au premier rang des prosateurs de son pays. Alexandre Dumas en a donné une traduction, avec la collaboration de Fiorentino.
Durée : 5h. 46min.
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Résumé:Dans un petit village sarde, une vieille couturière, Tzia Bonaria, accueille chez elle et élève une fillette, Maria, que sa mère, une veuve très pauvre, lui a cédée volontiers. Née bien après ses soeurs, elle constituait une erreur après trois réussites. Intelligente et vive, l'enfant grandit entourée de soins et d'une tendresse peu démonstrative. Elle respecte les principes - ce qui se fait et ce qui ne se fait pas - de sa mère adoptive, qui lui offre une éducation moderne : des études et un métier. La complicité qui s'installe entre les deux femmes est pourtant troublée par les mystérieuses sorties nocturnes de Tzia. Que va-t-elle faire, enveloppée dans son long châle noir, à la nuit tombée ? Quand Maria découvre le secret, connu de tous les villageois, de l'accabadora, c'est-à-dire la dernière mère, elle est profondément bouleversée. Arrivera-t-elle un jour à pardonner à sa mère de substitution ?
Durée : 6h. 37min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 34535
Résumé:Dès leur première rencontre, Eleonora se reconnaît en Chirú. À trente-huit ans, elle est une comédienne célèbre mais une femme solitaire, marquée par des rapports difficiles avec son père. Lui a dix-huit ans et étudie le violon au Conservatoire ; talentueux et impétueux, il rêve de faire carrière, malgré l'indifférence de sa famille. Aussi, quand il lui demande de devenir son mentor, Eleonora ne peut qu'accepter. Elle transmet dès lors à Chirú tout ce qu'elle a appris, des codes vestimentaires jusqu'à l'art de la cuisine en passant par les rituels affectifs. Elle lui offre des leçons de vie qui font grandir entre eux des sentiments forts mais équivoques, montrant combien tout rapport d'amour est un rapport de pouvoir, dans lequel la manipulation est toujours aux aguets. D'une plume ferme, parfois crue, Michela Murgia décrit les souffrances et les affres de l'amour qui unit puis éloigne les deux personnages. Ses mots évoquent la dureté et la force vitale de son île natale, la Sardaigne.