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Capitaine Gitan

Résumé
Le Capitaine Moillen, gendarme, a passé une bonne partie de sa vie à parcourir la Suisse romande en tant que médiateur entre les populations et les Tsiganes, qui suscitaient méfiance et colère chez les habitants / Bibliothèque cantonale-Lausanne
Genre littéraire: Biographie/témoignage
Durée: 3h. 27min.
Édition: Vevey, Ed. de l'Aire, 2007
Numéro du livre: 15012
ISBN: 9782881088148
CDU: 397

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Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 36883
Résumé:On les nommait les Verdingkinder, les enfants "placés". Livrés à l'adoption dans des familles d'accueil, ou internés de force dans un institut, parce que leurs parents pris dans la spirale de la pauvreté ne pouvaient plus subvenir à leurs besoins, ou parce que des filles-mères perturbaient l'ordre établi de la société. Sur ce fond noir d'amertume, Raymond Durous projette une lumière d'espoir par le biais de trois enfants cabossés auquels il consacre ses pages.
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Résumé:S'il en est ainsi, c'est parce que mon identité première - ma seule et véritable identité - ne se trouve pas dans un pays mais dans un statut : celui de fils d'immigrés. Mes racines et mon être tout entier sont dans l'immigration italienne en Suisse des années soixante. Dans la saveur âcre et dans la douleur oubliée de ce que fut cette immigration. Ma patrie, c'est l'enfance, et mon enfance est celle d'un gosse d'ouvriers italiens venus travailler en silence dans la Suisse repue d'alors. Fils de cet homme qui se levait avant l'aube pour quelques francs de l'heure. Fils dont le père avait connu les baraques de saisonniers et la mère la clandestinité. La Suisse n'a pas cajolé ses immigrés italiens ; elle ne leur a fait aucun cadeau. Ces immigrés-là ont fait ce qu'ils ont pu et ils l'ont fait de manière admirable. Jamais je ne serai à la hauteur de leur ténacité. Massimo Lorenzi (extrait de la préface)
Lu par : Pierre Luisoni
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Genre littéraire : Histoire/géographie
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Résumé:'La pire façon de parler des migrants, c'est de les déshumaniser. La plus noble, de leur donner un visage. Un sourire et des espoirs. D'écouter battre leur coeur. De faire revivre leurs rêves mais aussi de partager leurs illusions. Raymond Durous est de ces auteurs qui plongent leur plume dans l'empathie. Vivre en enjambant deux pays, deux cultures, est essentiellement une affaire d'humanité. Les portraits des Ritals en terre romande constituent autant de piqûres de rappel. Ce deuxième tome prolonge une premières série de parcours de vie témoignant d'une intégration semée d'embûches, trop souvent contrariée par des tribulations mais fondamentalement réussie. Raymond Durous utilise le récit comme une puissante clé de compréhension de ces destins torturés mais souvent comblés et admirables que vivent les migrants. Il a raison. Doublement raison, au moment où le prisme complexe de la migration ne révèle plus que des facettes stéréotypées, telles la comptabilité froide des pourcentages migratoires ou les chiffres de la sécurité. Un travail de bénédictin dont on peut mesurer l'ampleur en lisant ces pages empreintes d'intimité et d'amitié, de déchirements mais aussi de joie et de bonheur. Merci à Raymond Durous de faire éclater sous sa plume le sens parfois égaré de l'intégration. Fabio Lo Verson, extrait de sa préface.
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Résumé:Cet ouvrage est un témoignage de l'auteur sur sa famille immigrée d'Italie, venue du Piémont à la fin du XIXe siècle et du val d'Aoste à l'entre-deux-guerres pour s'installer dans le canton de Vaud. (BCU/Lausanne)
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Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 20063
Résumé:Maltraitances, exploitations, abus, humiliations : il n'y a aucun continent sur la terre où l'enfance heureuse ne soit pas une exception ; de fait Nus parmi les chacals aurait tout aussi bien pu s'appeler "Nus parmi les hommes", car force est de constater que l'humain protège bien indignement ceux qui sont pourtant la clé de la survie de son espèce : l'enfant. Notre monde actuel, mais aussi celui passé, est hélas trop souvent la broyeuse impitoyable de l'enfance dans tout ce qu'elle a de fragile et de beau, comme tout ce qui est fait d'espoir...
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Lu par : Manon
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Résumé:Parvenu au soir de sa vie, Jean-Claude Brisville, comme l'avait fait Georges Perec dans je nie souviens, et avant lui Joe Brainard dans I remember, évoque les souvenirs de sa jeunesse, depuis les années trente jusqu'à la fin de l'Occupation, à travers les chansons, les affiches, les refrains, les slogans publicitaires ou politiques. Ces bribes du passé, arrachées à l'oubli, conservent, mieux que tous les livres d'images, l'air et l'ambiance d'une époque. Ce sont des poussières aimantées. L'Histoire devient poésie pure. Il évoque ensuite les rencontres qu'il a faites dans le monde de l'édition, où il travailla au lendemain de la guerre. Ainsi nous permet-il d'entrevoir et d'entendre Cocteau, Benda, Artaud, Valéry, Bachelard, Camus, Char, Gracq, Buzzati, Jünger, Nimier. Très tard, à soixante ans, il se consacre à la création théâtrale et, inaugurant un genre, fait s'opposer dans L'Entretien de M. Descartes avec M. Pascal le jeune, Le Souper, L'Antichambre, La Dernière Salve, quelques grands personnages de notre histoire. Avant de terminer dans Les Vieux jours par ses ultimes réflexions sur une vie dominée par le goût des mots, la pratique de l'écriture et le regret de voir se dégrader notre langue littéraire qui, ainsi que Huysmans le disait du latin, " râle au fond des bibliothèques ".
Lu par : Roger Messié
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
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Résumé:En 1936, Jean Zay devient le plus jeune ministre jamais nommé à l'Éducation nationale et à ce qu'on n'appelle pas encore la Culture, dans le gouvernement de Front populaire de Léon Blum. Partisan de la fermeté envers Hitler et de l'intervention en Espagne, il sera sans relâche attaqué par l'extrême droite française comme républicain, juif et franc-maçon, et constamment désigné comme un homme à abattre. En octobre 1940, il est condamné à la déportation par le tribunal militaire de Clermont-Ferrand aux ordres de Vichy, et emprisonné à Riom jusqu'au jour où - le 20 juin 1944 - des miliciens viennent l'arracher à sa prison pour l'abattre dans un bois. Dans sa cellule, Jean Zay écrit au jour le jour, tout en s'attachant à composer un volume dont il espère qu'il sera un jour publié. Souvenirs et solitude nous fait entendre, comme à travers les murs d'une prison et à travers le temps, le récit, pudique mais précis, de la vie d'un détenu. On y lit aussi les réflexions qu'inspirent à cet homme politique de premier plan son action passée, la situation de la France sous la collaboration et l'avenir d'un pays dont il ne désespère jamais. " En tuant Jean Zay, écrit Patrick Pesnot - le monsieur X de France Inter -, en faisant disparaître son corps, ses assassins n'auront pas réussi à le condamner au silence. Son journal de prison nous reste un document irremplaçable qui témoigne de la profonde humanité du personnage et de son esprit novateur. " Et Pierre Mendès France, l'ami, disait : " Il est demeuré de Jean, pour les hommes et les femmes de ma génération, et surtout pour ceux qui l'ont approché, connu et admiré, une image exceptionnelle de lumière, d'intelligence et d'humanité... Ceux qui l'ont assassiné ont porté un coup non seulement à ceux qui l'ont aimé, mais au pays tout entier. " Rééditer ce livre pour le soixantième anniversaire de cet assassinat est faire œuvre de mémoire, mais c'est aussi, et peut-être surtout, une occasion de redécouvrir ce texte tragique et magnifique.
Durée : 9h. 47min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 66885
Résumé:Septembre 1919. L’Europe respire à nouveau l’air pur de la paix. Alors que les armes se taisent et que ses frontières sont redessinées par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, en Italie on crie à l’injustice. Un dandy poète soldat, Gabriele D’Annunzio dénonce la « Victoire mutilée » de son pays qui espérait obtenir bien plus de l’effondrement de l’Autriche-Hongrie. Engagé volontaire, le héraut du nationalisme italien est également un héros de guerre par ses actions d’éclat. Il met sa verve, son charisme et sa gloire au service de la cause de Fiume.
Lu par : Patrick Kaplan
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Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 21095
Résumé:Celui qui a partagé au jour le jour toutes les " aventures politiques " de Coluche, Jean-Michel Vaguelsy, raconte aujourd'hui ce qu'il a vécu : enthousiasmes, manœuvres et déceptions de la campagne présidentielle de 1981 ; énergie, précision et ténacité aboutissant à la création des Restaurants du Cœur - c'est un Coluche intime et souvent surprenant qu'il nous révèle dans ce livre. On retrouve, bien sûr, le généreux provocateur qui a " plié la France en quatre ", mais aussi ses projets inachevés, ses engagements passionnés, ses démêlés avec le monde politique, médiatique, et ses relations particulières avec les présidents Mitterrand et Giscard d'Estaing. D'abord tout jeune éclairagiste sur les tournées, JeanMichel Vaguelsy se lie d'amitié avec Coluche, qui le nomme " bureau politique ambulant " de sa campagne présidentielle. Ils ne se quitteront plus. Tour à tour chauffeur, régisseur, secrétaire, " Jean-Mi la Science " a été au cœur des actions humaines, généreuses et subversives que menait l'artiste. Son témoignage nous restitue un Coluche omniprésent, agitateur inspiré, mais toujours chaleureux.