Scènes de la vie future
Quatrième de couverture
Publié en 1930, ce récit est un essai, rédigé sur le mode de la visite touristique, dénonçant le mode de vie des Américains : une mise en garde lancée contre les avancées de la science, de l'industrie et du commerce qui ne sont pas forcément porteurs d'une amélioration de la vie de l'humanité. Georges Duhamel (1884-1966) fut médecin, mais aussi essayiste, romancier, poète, et auteur dramatique. Elu membre de l'Académie française en 1935, il est surtout connu pour son humanisme moderne et son pacifisme ardent. Prix Goncourt en 1918.
Lu par:
Pascale Schiesser
Genre:
Société/économie/politique
Mots-clés:
Société - sociologie
/
Société de consommation
/
Essai
Durée:
5h. 13min.
Édition:
Paris, Arthème Fayard, 1942
N° de notice:
14650
Source:
Bibliothèque Sonore Romande
Collection(s):
Le livre de demain
CDU:
301
Documents similaires
Lu par:
Durée: 2h. 35min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Le journaliste s'interroge sur le succès des hamburgers en France et plus largement de la nourriture de fast-food, selon lui symptôme d'un déni de malbouffe et signe d'un comportement alimentaire régressif. Il retrace l'histoire de cette variante du sandwich communément associée aux frites avant d'examiner le rôle des enseignes multinationales et la réinvention de ce mets sous d'autre formes.
Lu par:Marie Lourizi
Durée: 5h. 6min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: « La planète se réchauffe, les glaciers fondent, la météo déprime, les canons à neige et les charters prennent alternativement le relais. En fait de saisons, nous ne pouvons plus compter que sur l'heure d'été et l'heure d'hiver, suppléer les cycles naturels par le décalage horaire, décaler le temps, l'espace, le réel, simuler la vie. Nous déréglons notre montre comme si nous n'avions pas raté l'ultime rendez-vous que nous concédaient l'Histoire et l'écologie. L'hiver est donc ici envisagé en tant que métaphore de la congélation culturelle coïncidant avec le réchauffement climatique corrélation très «naturelle» au demeurant : il eût été surprenant que la mondialisation, la pensée unique, l'entropie mentale, l'homogénéisation intellectuelle, restassent sans effet sur notre milieu vital.
Lu par:Marion Martin
Durée: 13h. 51min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: " Que mangeaient les hommes il y a dix mille ans ? Que mangeront les humains dans un siècle ? Comment et où sont apparus le feu, l'agriculture, l'élevage ? Que mangeaient les empereurs romains ? les empereurs chinois ? les rois de France ? Comment mangeaient leurs peuples ? Comment s'expliquent les interdits alimentaires de chaque religion ? Le cannibalisme a-t-il vraiment disparu ? Quels sont les liens entre la sexualité et l'alimentation ? Comment et où sont apparus les restaurants ? Qui a inventé la pizza ? Qui mange des insectes ? Des algues ? Que mangent les plus riches aujourd'hui ? Quels peuples se nourrissent le mieux sur la planète ? Pourra-t-on nourrir sainement dix milliards d'humains ? Serons-nous obligés de manger ce qu'une intelligence artificielle nous imposera ? Mangera-t-on encore ensemble demain ? Cette vaste fresque révèle comment nous sommes passés d'une nourriture variée, naturelle et abondante à des produits alimentaires standardisés, industriels et uniformisés, poisons pour l'homme et la nature. Elle nous dévoile la puissance immense, économique, idéologique et politique, de l'industrie agroalimentaire. Elle nous raconte aussi les liens méconnus entre la nourriture et la conversation, entre l'alimentation et le pouvoir, entre ce que nous mangeons et la géopolitique. Comprendre cette histoire est fondamental, si l'on veut prendre en main sa propre alimentation, manger sain et bon ; et sauver la nature, dont dépend la survie de l'humanité. " J. A.
Lu par:Francine Crettaz
Durée: 4h. 37min.
Genre: Sciences/technologie
Quatrième de couverture: Qu'entend-on par effondrement ? Naguère historique, la question de l’effondrement d’une société se pose désormais quant à la société contemporaine, au vu des dégradations environnementales et sociales qui n’ont de cesse de s’aggraver. Qu’ont à nous dire les déclins – autant emblématiques que différents – de l’Empire romain d’Occident, de la civilisation maya classique et des civilisations du Proche-Orient ancien à l’Âge du bronze sur notre situation présente ? Croiser un regard sur le passé et sur l’avenir permet de saisir la singularité du délitement en cours et d’esquisser avec prudence certains contours probables de notre avenir collectif. L’ouvrage propose ainsi une véritable clé de lecture à la notion d’effondrement.
Lu par:Manon
Durée: 8h. 32min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Un panorama de l'aide sociale privée aux Etats-Unis, à laquelle près de 90 % des Américains participent en donnant du temps ou de l'argent.
Lu par:Manon
Durée: 8h. 58min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: En une vingtaine de chapitres, L.-B. Robitaille, correspondant d'un grand quotidien nord-américain, dresse le portrait du Parisien et de sa ville. Sur un ton humoristique, il évoque, entre autres, les artistes, écrivains, personnalités politiques, serveurs, coursiers croisés au cours de ces dernières décennies.
Lu par:Pierre Biner
Durée: 8h. 48min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Une vague de folie et d’intolérance submerge le monde occidental. Venue des universités américaines, la religion woke, la religion des « éveillés », emporte tout sur son passage : universités, écoles et lycées, entreprises, médias et culture. Au nom de la lutte contre les discriminations, elle enseigne des vérités pour le moins inédites. La « théorie du genre » professe que sexe et corps n’existent pas et que seule compte la conscience. La « théorie critique de la race » affirme que tous les Blancs sont racistes mais qu’aucun « racisé » ne l’est. L’« épistémologie du point de vue » soutient que tout savoir est « situé » et qu’il n’y a pas de science objective, même pas les sciences dures. Le but des wokes : « déconstruire » tout l’héritage culturel et scientifique d’un Occident accusé d’être « systémiquement » sexiste, raciste et colonialiste. Ces croyances sont redoutables pour nos sociétés dirigées par des élites issues des universités et vivant dans un monde virtuel. Comme dans La philosophie devenue folle, Braunstein s’appuie sur des textes, des thèses, des conférences, des essais, qu’il cite et explicite abondamment, afin de dénoncer cette religion nouvelle et destructrice pour la liberté. Un essai choc et salutaire.
Lu par:Clelia Strambo
Durée: 1h. 14min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: "Nous ne savons pas ce qui nous arrive et c'est précisément ce qui nous arrive" , écrit José Ortega y Gasset. Que nous arrive-t-il ? Qu'arrive-t-il à la France ? Au monde ? Notre impéritie vient-elle d'une myopie à l'égard de tout ce qui dépasse l'immédiat ? d'une perception inexacte ? d'une crise de la pensée ? d'un somnambulisme généralisé ? Tant de certitudes ont été balayées ! Comment naviguer dans un océan d'incertitude ? Comment comprendre l'histoire que nous vivons ? Comment admettre enfin que, en dégradant l'écologie de notre planète, nous dégradons nos vies et nos sociétés ? Comment appréhender le monde qui se transforme de crise en crise ? Comment concevoir l'aventure inouïe de notre humanité ? Est-ce une course à la mort ou à la métamorphose ? Serait-ce à la fois l'un et l'autre ? Réveillons-nous ! E. M.
Lu par:Christophe Réal
Durée: 4h. 59min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Ce livre ne désigne pas des coupables ni ne proclame que rien ne sera plus comme avant. Il cherche à comprendre de l'intérieur l'univers étrange dans lequel nous vivons. Partant de l'expérience de la maladie, il montre comment l'épreuve du réel a été d'emblée recouverte d'un flux d'images et de paroles anxiogènes. Un président déclare le pays en guerre, des libertés fondamentales sont suspendues, la politique et la science s'emmêlent, les polémiques s'enchaînent sur fond de mal-être social, d'incohérence et de faiblesse de l'Etat, les hôpitaux font face après avoir subi d'insupportables contraintes budgétaires et un management déshumanisant... Comment s'y reconnaître ? Observant la première période de la crise sanitaire, l'auteur décrit une société malade qui doit affronter l'aléa historique et le tragique de notre condition. Face à l'épreuve, le pays a vu resurgir des "réserves d'humanité". Ce sursaut peut-il durer ? Ecrit dans un style vif et clair, mêlant le récit, l'analyse et l'humour, ce livre introduit une réflexion salutaire dans le chaos ambiant. Saurons-nous en tirer des leçons ?
Lu par:Françoise Dufour
Durée: 8h. 25min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Voici un des classiques les plus provocateurs de la pensée sociale, devenu depuis sa parution en 1951, un véritable best-seller et un ouvrage influent. Il est l’œuvre d’Eric Hoffer, docker et grand lecteur, et a été écrit au cours des années 1940 dans les gares de triage de San Francisco. Hoffer y dessine une théorie remarquablement suggestive du type de changement social qu’il résume sous le nom de « mouvement de masse ». À l’aide d’exemples concrets tirés d’un large éventail historique, l’esprit du fanatique et la dynamique des mouvements de masse y sont méthodiquement analysés. D’où viennent-ils ? D’une tentative désespérée pour compenser le manque de sens de la vie ; d’une régression – entraînée par la vitesse des changements – de la maturité de ceux qui ont grandi dans une société différente. Sont-ils identiques ? Qu’ils soient politiques ou religieux, radicaux ou réactionnaires, les mouvements de masse sont interchangeables car l’important est de faire partie du mouvement. Hoffer est bref, lisible et perspicace. Comment devient-on fanatique ou pas ? Lisez Hoffer.
Lu par:Denis Podalydès
Durée: 5h. 22min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Texte de philosophie marquant du XVIIIe siècle, il aborde notamment le pacte social, la notion de souveraineté et les droits rattachés, le déclin des gouvernements, les institutions politiques, les moeurs et les religions
Lu par:Pierre-Bernard Elsig
Durée: 12h. 45min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Certains en possèdent déjà : les animaux de compagnie, les espèces protégées et les animaux d'élevage. Mais les droits que nous leur avons consentis sont minimaux et incohérents. Nous traitons différemment les chiens, que nous considérons comme des membres de la famille, et les cochons, réduits au rang d'objets produits en masse et abattus dans d'indignes conditions. Pourtant cochons et chiens présentent une sensibilité et une intelligence similaires. Comment en sommes-nous venus à les classer dans des catégories si différentes ? C'est que nous sommes spécistes. Le terme, peu connu en France, fera bientôt partie de notre vocabulaire. A l'instar du racisme et du sexisme, dont il poursuit la logique. Le spécisme consiste à traiter différemment, et sans la moindre raison valable, deux espèces qui présentent les mêmes caractéristiques. Tout comme nous avons longtemps dénié aux femmes les mêmes droits que les hommes. L'affirmation de l'antispécisme sera celle de l'animalisme, un mouvement philosophique qui promeut la nécessité d'accorder des droits à tous les animaux, en raison de leur capacité à souffrir. Loin d'être anecdotique, l'animalisme incarne le mouvement idéologique le plus révolutionnaire ; pour la première fois depuis 2000 ans, il entend sortir nos systèmes de pensée occidentaux de leur logique anthropocentriste et reconnaître que nous, qui sommes des animaux, avons des obligations morales à l'égard de nos cousins. Surtout, l'animalisme s'inscrit dans une logique d'écologie politique, éloignée de celle incarnée dans les élections. Non plus une écologie superficielle, qui se soucie seulement de préserver les écosystèmes, les ressources et quelques espèces en péril, mais une écologie profonde, qui repense complètement la place de l'homme dans le monde. Pour que ce dernier ne vive plus en parasite, mais en symbiose avec toutes les formes de vivant. Cela oblige à une refonte de nos institutions et à briser la vision à court-terme du temps politique. Cela nous oblige aussi à une réforme intellectuelle qui remette en question la notion de " profit ". Le capitalisme, le socialisme, le communisme, le néo-libéralisme sont aujourd'hui discrédités, si ce n'est dépassés.