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Timimoun

Résumé
Un ancien pilote de chasse de l'armée algérienne, devenu alcoolique, conduit un car de touristes à travers le Sahara. Il tombe "amoureux et jaloux à en hurler" de Sarah, elle-même entichée d'un beau musicien noir. En contrepoint à cet "amour désastreux", la radio égraine ses sanglantes informations (bombes, meurtres, enlèvements intégristes). Le titre fait référence à un ksar rouge dominant une palmeraie où des touristes font une halte
Durée: 2h. 19min.
Édition: Paris, Gallimard, 1995
Numéro du livre: 13644
ISBN: 9782070393213
Collection(s): Folio

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Durée : 1h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:"Personne ne sait ton nom ni d'où tu viens. Tu n'as même pas un sobriquet, méchant ou sympathique. Ni de chien ou de chat pour te tenir compagnie. Tu n'es qu'un fantôme, une silhouette morte, une ombre creuse qui se traîne sur les trottoirs de S..." Un homme, la cinquantaine cassée, arrive, un soir de pluie, dans une ville qu'il ne connaît pas. Sac au dos et jambes usées, Jean-Jacques Serrano va errer dans ses rues, ses avenues. Il n'a plus de papiers, de montre, de but, sinon celui de se fuir et de se séparer de tout. De tout, sauf de son chagrin.
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Omar, le jeune héros de La Grande Maison et de L'Incendie, est devenu un adolescent grave et réfléchi. Il fait son apprentissage chez les tisserands. C'est dans un sous-sol à l'air raréfié, où la misère montre son visage émacié, qu'il va le mieux approcher du malheur secret de son pays. Nous sommes en 1940 et la guerre est encore trop loin pour que sa rumeur parvienne aux oreilles du jeune Omar. Mais il écoutera les interminables discussions entre les tisserands toujours à l'affût d'une espérance ; il apprendra combien il est difficile au sein d'une communauté écrasée par le labeur, la faim, le dénuement, de relever le visage quand le soleil même le blesse. Dans un décor déjà familier aux lecteurs de Mohammed Dib, c'est tout un peuple qui tend la main non pour mendier mais pour saisir une autre main fraternelle.
Lu par : Gérard Pliquet
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Alger, début des années 90. La ville est en proie à la terreur. L'eau est rationnée et distribuée drastiquement de trois à six heures du matin. Zakaria, un écrivain menacé de mort et rejeté par le régime qu'il a servi, se terre chez lui d'où il observe ses voisins, dont il nous conte les histoires dramatiques ou rocambolesques, extraordinairement drôles et inattendues. Durant ces quelques heures où l'eau coule à nouveau, la ville et la vie s'animent clandestinement, et c'est l'imaginaire et les rêves de tout un peuple qui se libèrent.
Durée : 5h. 38min.
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Durée : 4h. 7min.
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Lu par :
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Résumé:... Dans Surtout ne te retourne pas, elle est hantée par le tremblement de terre qui a secoué une grande partie du nord de l'Algérie en mai 2003. Amina sera la jeune fille-témoin qui rompt avec une famille et une vie toute tracée pour rejoindre les victimes du séisme, devenues un peuple d'errants, sous des tentes et sur un fil où le mouvement de balancier entre résistance et déraison est ténu, fragile mais où s'invente une autre humanité. « Ce sont les femmes qui, les premières et très vite, ont pris possession des lieux, comme si elles avaient toujours vécu dans la même précarité, les mêmes conditions. » Amina change de nom, d'origine, de statut, et s'engouffre dans ce morceau d'enfer balisé par des tentes et des camps où, peu à peu, malgré l'effroi et l'ébranlement des certitudes les plus indéfectibles, la vie reprend ses droits avec ses controverses et ses affrontements les plus futiles.
Durée : 6h. 16min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14342
Résumé:Présentation de l'éditeur : " La solitude a été l'une de mes premières conquêtes. De mes premières libertés. Durant l'enfance et l'adolescence, elle a d'abord été celle de l'insomnie, puis de la lecture. Dès que j'ai saisi un livre, j'ai été ailleurs. Le livre a été mon premier espace inviolable. " La Transe des insoumis dit l'intranquillité qui, très tôt, s'est manifestée chez une petite fille qui ne parvenait pas à dormir. L'insomnie est le fil conducteur du récit d'une vie : indice de rébellion qui sécrète le goût de la lecture, germe d'insoumission de celle qui, ayant quitté sa famille de là-bas, s'est forgé une identité dans l'exercice de la médecine et l'écriture. C'est le livre d'une révoltée qui se réconcilie avec les peurs et les tourments de son enfance. Echappe-t-on jamais à son passé ?
Lu par : René Sterckx
Durée : 1h. 39min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13672
Résumé:Un Algérien immigré en France depuis quelques décennies, s'est engagé dans un voyage en bus pour retrouver son fils qui ne répond plus à ses lettres. Ce périple lui rappelle celui qu'il fit avec son propre père tuberculeux du douar natal vers Alger et plus tard, le père mort, d'Algérie vers la France. Au paysage d'autoroutes et d'aires de repos, de l'autre côté de la vitre, répondent des images précises de l'Algérie pendant la guerre, des gâteaux au miel et des beignets chauds, des films d'Eddie Constantine. On remonte ainsi toute une vie, par touches successives à peine posées sur la page, dans une délicatesse de ton qui préfère le murmure au cri. Ainsi, évoquant la guerre, cette phrase : " Toute sa vie, il se souviendra que son père avait tremblé en tendant une carte d'identité sortie avec fébrilité du fond de son burnous " trouve-t-elle un écho quand, plus tard, le fils au collège provoque une convocation de la principale : " il se souvenait que devant elle il avait baissé la tête ".