Contenu

Comment Pinocchio apprit à lire

Quatrième de couverture
Texte donné en conférence publique le 31 janvier 2003 à Lausanne dans le cadre de la première saison des Manifestations culturelles mises sur pied par la Bibliothèque cantonale et universitaire. Il a été repris le 14 novembre 2003 à La Chaux-de-Fonds, en conférence d'ouverture lors des 13e Journées d'Arole, placées sous le thème "Eloge de la lecture?", à l'occasion du 50e anniversaire de la Bibliothèque des Jeunes et du 20e anniversaire d'Arole
Mots-clés: Essai
Durée: 37min.
Édition: Lausanne, Bibliothèque cantonale et universitaire ;, 2003
N° de notice: 12792
ISBN: 9782888881025
CDU: 844

Documents similaires

Lu par: Jean Frey
Durée: 5h. 13min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 16899
Quatrième de couverture: Où en est l'art de raconter des histoires, à l'heure où guerres et forteresses régissent un monde financièrement globalisé ? Où se trouvent identité et imaginaire, dans un monde dévoué au langage de communication et de communauté ? Quels contes construisent le monde de demain ? Dans son nouvel essai, « La Cité des mots », l'intellectuel canadien Alberto Manguel envoie ses sondes. (Texte d'une série de conférences prononcées en 2007 à Toronto dans le cadre des Massey lectures)
Durée: 15h. 14min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 31363
Quatrième de couverture: Dans son livre le plus personnel à ce jour, Alberto Manguel raconte comment il a assouvi sa propre curiosité par le commerce incessant qu'il a entretenu sa vie durant avec les livres grâce auxquels ils s'est frayé un chemin dans l'énigme et la complexité du monde. Et réaffirme les vertus du pacte que curiosité et lecture ne cessent de reconduire au bénéfice des plus féconds accomplissements que nous réserve notre imaginaire
Durée: 5h. 42min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 69233
Quatrième de couverture: Une découverte des personnages les plus emblématiques de la littérature mondiale, de Faust à la Belle au bois dormant en passant par Don Juan, Superman, Quasimodo et le capitaine Nemo.
Durée: 8h. 44min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 23077
Quatrième de couverture: Qu'elle soit constituée de quelques livres ou de volumes par milliers, qu'elle obéisse à une classification rigoureuse ou aléatoire, qu'elle soit de Montaigne ou d'Alexandrie, qu'on veuille la détruire (comme, si près de nous, à Sarajevo, à Kaboul, à Bagdad) ou l'ériger, qu'elle soit mentale, comme chez Borges, ou institutionnalisée - avec heures d'ouverture et réglementations -, qu'elle ait pour résidence de vastes bâtiments aux allures de nefs ou de temples ou qu'elle joue les passagères clandestines dans des cartons, entre deux déménagements, que les livres qui la composent soient alignés sur des étagères de bois blanc ou d'acajou massif, qu'est-ce qu'une bibliothèque, sinon l'éternelle compagne de tout lecteur- son rêve le plus cher ? Pourtant, entre les plaisirs offerts par le chaos généreux d'une caverne d'Ali Baba ou ceux; plus austères, que procure le classement, entre infini et rayonnages, faut-il nécessairement choisir ? Et n'y a-t-il pas quelque présomption à vouloir sédentariser, non les livres mais les textes, par définition nomades ? Existe-t-il un ordonnancement idéal du grand thésaurus livresque de l'humanité ? Pour peu que, à l'instar d'Alberto Manguel, on ait affronté en combat singulier, et toute une vie durant, la nature profonde de la bibliothèque, telles sont bien les insondables questions que soulève, in fine, cet espace prétendument banal - voire, pour certains, parfaitement démodé ! Après Une histoire de la lecture, Alberto Manguel offre donc ici un essai " contigu ", au propos lumineusement complémentaire, d'où il appert que construire une bibliothèque, privée ou publique, n'est rien de moins qu'une mise à l'épreuve d'ordre philosophique dont l'avènement annoncé de la bibliothèque électronique ne saurait réduire la portée.
Lu par: Manon
Durée: 1h. 21min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 28300
Quatrième de couverture: Une réflexion sur les personnages de fiction, qui sont à la fois ce qu'ils étaient quand le lecteur les a découverts, et ce qu'ils sont devenus après plusieurs autres lectures, de la Belle au bois dormant à Quasimodo, en passant par le monstre de Frankenstein, Job, le Juif errant, Nemo ou le docteur Faust.
Durée: 7h. 8min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 13320
Quatrième de couverture: Parce que la lecture est peut-être avant tout une "conversation", tout lecteur éprouve le besoin de "répondre" aux textes qui l'interpellent et confèrent à sa propre vie un surcroît d'existence. Ayant décidé de relire, une année durant, ses livres de prédilection tels qu'ils lui semblaient susceptibles de refléter le chaos contemporain ou d'enrichir et d'éclairer son rapport personnel au monde, Alberto Manguel offre ici, entre carnet intime et recueil de citations, ce journal dont l'érudition à la fois sensible et subversive rend compte à merveille de l'infini du "dialogue" entre toute oeuvre et son lecteur.
Lu par: Hervé Detrey
Durée: 5h. 52min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Numéro: 16782
Quatrième de couverture: C'est l'histoire d'un homme mort, Alejandro Bevilacqua. Et d'un autre, journaliste, qui voudrait savoir qui il a été, Jean-Luc Terradillos. Ce dernier s'adresse donc à différentes personnes qui l'ont connu pour faire son portrait : un ami malgré lui, Alberto Manguel, une maîtresse, Andrea, un ancien camarade de prison, le Goret, et Tito Gorostiza. Chacun croit connaître Bevilacqua et pourtant chacun en fait un portrait très différent. Ce que tout le monde sait, c'est qu'il a publié un roman Éloge du mensonge, qu'il tenait caché mais qu'Andrea a découvert et fait publier à son insu. Alors, écrivain de génie Bevilacqua ? Ce n'est qu'à la lecture des quatre portraits proposés que Terradillos, et donc le lecteur, sera à même de se faire une idée précise de la personnalité de cet émigré Argentin venu cacher sa vie dans la mère patrie, à savoir l'Espagne.
Lu par: Manon
Durée: 4h. 38min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 33529
Quatrième de couverture: Lu par Manon Après son licenciement, l'ancienne directrice adjointe de L'Obs et de Marianne pointe les failles du système médiatique français, la décadence d'un métier et l'instauration d'une police intellectuelle. Elle dénonce la dislocation de la gauche française, appelle à une refonte du Parti socialiste et plaide pour une réelle liberté de la presse. Prix Renaudot essai 2016. ©Electre 2016
Durée: 1h. 57min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 31116
Quatrième de couverture: Comment des académiciens, des journalistes, des artistes, des universitaires d'aujourd'hui peuvent-ils se retrouver, l'espace d'un échange épistolaire, amants ou maîtresses, parents, amis ou ennemis d'illustres auteurs disparus, depuis parfois plusieurs siècles ? Des lettres d'écrivains français disparus sont détournées vers des auteurs contemporains. Que se passe-il ?
Durée: 1h. 39min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 65435
Quatrième de couverture: « Sans esprit de sérieux mais sérieux en tout ce qu'il touche, Erik Orsenna se montre tel qu'en lui-même dans ce recueil sur-vitaminé d'images et d'idées. Chez lui, l'humour est ami de la profondeur. Écrivain-voyageur, reporter d'inquiétude et parfois de colère, grammairien anti-jargonnant, vénérable curieux invétéré, cet éternel jeune homme en habit vert est un caméléon du savoir. Et plus il sait, plus il partage. C'est un professeur qui parle à voix douce, et comme tous les conteurs, il vous entraîne là où il a choisi de vous emmener, de la banquise du Grand Nord au grand froid des prisons, des frontières de l'Europe à la forêt de Zika où règnent d'inquiétants moustiques. Toujours apprendre, toujours comprendre, ce pourrait être la devise de ce mousquetaire des mots qui n'est jamais si heureux qu'en sortant de lui-même pour y trouver de quoi nous rassasier, nous émouvoir, nous épater. »
Lu par: Suzanne Bettens
Durée: 5h. 27min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 18303
Quatrième de couverture: Mystérieusement, Bratislava attirait toujours mon regard. Si les quatre syllabes rocailleuses, baignées d'eaux danubiennes et de songes slaves, ne m'avaient pas ainsi fasciné, ce livre n'eût sans doute pas existé. Ma vie en eût été changée, comme est détourné le cours d'un ruisseau : serais-je allé là-bas, en 1947, fêter mes vingt ans ? Y serais-je retourné, la cinquantaine bien entamée, à la poursuite d'images presque effacées mais douées de la patiente insistance des songes ou de l'oubli ? François Nourissier
Durée: 1h. 38min.
Genre: Essai/chronique/langage
Numéro: 19091
Quatrième de couverture: Construit en quinze récits brefs, joliment ponctués de notes manuscrites, ce livre envoûtant est agrémenté d'un Carnet bleu entièrement écrit à la main, envoyé en 1980 à la "plus que vive", son amie Ghislaine morte à 44 ans d'une rupture d'anévrisme. Il y est aussi question de son père atteint de la maladie d'Alzheimer, de la gitane Maria, du peintre Soulages, du génial pianiste Glenn Gould, des Pensées de Pascal, de Typhon de Joseph Conrad, de Suréna de Corneille, d'un tableau de Georges de La Tour... (...) Il y est tout simplement question de son rapport à l'écriture, à la lecture, à l'art, à la nature, à la foi. L'accuse-t-on d'être mièvre ? Christian Bobin répond en citant maître Dôgen, ce sage japonais du XIIIe siècle : "L'univers entier est fait des sentiments et des émotions des fleurs." Comment ne pas savoir gré à l'auteur de L'Inespérée de semer ainsi les mots comme le Petit Poucet ses cailloux pour nous permettre de retrouver quelque sens à la vie ? Comment ne pas lui savoir gré d'écrire : "Le silence, ce cadeau des anges dont nous ne voulons plus, que nous ne cherchons plus à ouvrir" ? Assurément, on a tous en nous quelque chose de Christian Bobin... (lexpress.fr)