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Recherche par mot-clé: Enfance

66 résultats. Page 4 sur 4.

Lu par:Manon
Durée:2h. 36min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35263
Résumé: Immobilisé dans un lit d'hôpital, le narrateur n'a que sa mémoire pour lutter contre l'ennui. Il se souvient de sa grand-mère, une commerçante modeste qui s'est beaucoup occupée de lui. Il se remémore sa maison, son jardin, sa boutique, sa tendresse et sa patience. ©Electre 2017
Lu par:Manon
Durée:1h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:35283
Résumé: Le dramaturge raconte son histoire à travers ses souvenirs évoquant le triste mariage de ses parents, sa naissance alors que ces derniers ne s'entendent plus, son enfance au milieu des disputes, ses goûts bizarres, ses attitudes gênantes ou encore son admiration pour ses grands-parents et pour Sheila. Premier roman. ©Electre 2017
Durée:6h. 16min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:34965
Résumé: Dans le village isolé où il est élevé par la vieille Onui, la maîtresse de son arrière-grand-père, le jeune Kôsaku grandit. Sous forme de courtes scènes, enchâssées dans le récit comme autant de joyaux, voici tout le Japon traditionnel du début du siècle qui revit devant nous : ses fêtes paysannes, ses coutumes méconnues, telles que les voit et les vit un enfant au seuil de l'adolescence. A travers l'histoire de Kôsaku, la sienne en fait, si particulière et qu'il sait pourtant rendre universelle, Yasushi Inoué nous raconte notre entrée à tous dans la vie adulte, avec ses joies, ses peines, ses surprises, ses déceptions, ses larmes et ses rires...
Durée:3h. 54min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:34122
Résumé: Quelques mots singuliers entendus enfant dans la conversation ses grands, quelques cartes figurant les monuments d'une cité mythique, un livre qui tombe d'un rebord de table et s'ouvre à la page du 2 mai 1950, une villa blanche qui vous rappelle l'Afrique, et un vieux poste de radio, et revoilà la légende du Rosebud, le souvenir qui imprègne le présent et dont le parfum ne se dissipe jamais, et qui aide, transforme l'avenir en un jardin vivable, comme Bogart trouve la force de quitter Ingrid Bergman en lui disant, pendant que l'avion mouline du brouillard sur la piste, We'll always have Paris. " Et c'est ainsi, dans Casablanca, que les deux amants réussissent à continuer à vivre, à se séparer s'il le faut et à suivre chacun son propre chemin, en se souvenant de leur idylle dans le Paris d'avant l'occupation allemande. En puisant dans cette réserve de lumière. Avec ce livre entièrement dédié à un sentiment, celui du " merveilleux ", à sa naissance et son cours à travers la vie d'un homme - la sienne - l'auteur nous invite à le suivre dans son propre puits de lumière. Nous aurons toujours Paris est conçu sous forme de boucle, et c'est dans le perpétuel aller-retour entre les rêveries de l'enfant, ses projections et leur prolongeaient à l'âge adulte, dans leur décalage, souvent, que se glisse le merveilleux, que se construisent la vie et l'œuvre, avec leurs impasses, fausses pistes, déceptions et surprises. Il n'est donc pas, ou très peu, question de Paris dans ces pages. Mais plutôt de pérégrinations et de rencontres : du Japon à l'Afrique, et de julien Gracq à Ismail Kadaré ou Albert Cossery, quand ce n'est pas l'ombre du toujours énigmatique B. Traven.
Durée:2h. 29min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:33815
Résumé: Tous les étés, au début des années 1960, une Simca couleur cerise venait chercher la famille du narrateur. Alors commençait pour l'enfant un voyage rituel et initiatique, qui le conduisait au paradis. Sa destination n'était pourtant qu'une base militaire située au sud de la côte majorquine, dans une zone désertique au climat quasi africain. Ce que nous fait entrevoir l'auteur, dans ce paysage qui ramène aux sources grecques de la Méditerranée, c'est le plaisir de la frugalité. Pour Llop, ces vacances austères, dans une nature indifférente à notre besoin de pittoresque, ramènent à l'épure de la condition humaine, à la joie toute simple de se sentir vivre. Dans un style solaire, Solstice raconte, comme un seul et même été immuable et enchanté, tous ces étés qui ont fait de lui un écrivain.
Lu par:Manon
Durée:7h. 20min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:33290
Résumé: La naissance de son demi-frère Jake bouleverse la vie de Leon, 9 ans. Il adore le bébé et fait tout pour aider sa mère, mais celle-ci est en plein baby blues. Les deux garçons sont placés chez une mère d'accueil, Maureen, qui a des cheveux roux frisés, des bras de boxeur et un gros ventre comme le père Noël. Malgré la gentillesse de Maureen, Leon a du mal à se faire à sa nouvelle vie. Puis, un jour, un jeune couple vient adopter Jake, parce que Jake est tout bébé, blond et blanc, tandis que Leon est déjà un grand garçon à la peau sombre comme son père. Quand en plus Maureen fait un malaise et est hospitalisée, et que Leon doit aller vivre chez Sylvia, qui fume comme un pompier et ne sait même pas raconter des histoires, Leon n'en peut plus. Son seul plaisir est de faire du vélo autour de la maison, et c'est ainsi qu'il rencontre Tufty, qui est grand et fort, et noir comme lui. Tufty aime écouter de la musique, discuter avec ses amis et cultiver des légumes dans sa parcelle de jardin partagé. Doucement, Leon redécouvre la joie de s'occuper de quelque chose, de voir pousser une petite plante toute fragile. Mais il n'a pas oublié sa promesse d'aller sauver Jake, de retrouver sa mère et de les réunir tous comme avant. Le jour où il entend une conversation qui ne lui était pas destinée, il décide de passer à l'action... Emouvant, dramatique mais aussi jubilatoire, Je m'appelle Leon évoque de façon éloquente la force de l'amour, le lien indéchirable entre frères, et ce qui, en fin de compte, fait une famille