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Recherche par mot-clé: Deuil -Récits personnels

23 résultats. Page 1 sur 2.

Durée:3h. 31min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:74495
Résumé: Un témoignage poignant d'une mère en hommage à sa fille disparue.
Durée:2h. 37min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:74440
Résumé: Cette fois-ci, c'est sa mère et son frère qui s'en sont allés. À six mois d'intervalle, comme si ces deux-là, qui n'avaient jamais vraiment été séparés, n'avaient pu se résoudre à le rester. Un temps de Toussaint. Elle emportée dans son grand âge, lui par le Covid. Elle, femme fragile et forte à la fois, protégée de ses chagrins (la perte d'un fils, puis d'un mari) par sa volonté de saisir le beau jusque dans ses occurrences les plus ténues, par sa foi (partagée souvent en sa paroisse parisienne de Saint-Séverin avec son ami Michael Lonsdale), par sa rigueur morale et finalement par la poésie qu'elle savait faire naître du quotidien. Lui, gentil ogre empêché, par cette maladie génétique dite du « chromosome X » qui le laissa à jamais handicapé, un peu sur les bas-côtés de la vie, de la sienne, et d'une bouleversante innocence. Garcin, à pas de loup, craignant que le moindre mot, la moindre phrase, ne vienne briser l'harmonie délicate de ces caractères, nous les montre dans leur dénuement comme dans leur richesse intérieure. Il faut à cela beaucoup de bienveillance, beaucoup de tact, et finalement, beaucoup d'amour. Pas mal de talent aussi pour éloigner le spectre de la mièvrerie. Ce qui passe là, en ces pages endeuillées, c'est moins la mort qu'un chant mezza voce de vie. Ces funérailles sont d'une dignité exemplaire, d'une hauteur de vue et de style sans pareille. Une leçon, une chanson douce. Qui serre le cœur.
Durée:6h. 32min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:73564
Résumé: "Faire son deuil", tel est l'impératif qui s'impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d'un proche. Cela va-t-il de soi ? Se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s'il ne veut pas trop souffrir ? L'auteure a écouté ce que les gens racontent dans leur vie la plus quotidienne. Et une histoire en a amené une autre. "J'ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu'elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil, etc." Elle s'est laissé instruire par les manières d'être qu'explorent, ensemble, les morts et les vivants. Elle a su apprendre de la façon dont les vivants se rendent capables d'accueillir la présence de leurs défunts. Depuis un certain temps, les morts s'étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd'hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts soient à nouveau plus actifs. Ils viennent parfois réclamer, plus fréquemment proposer leur aide, soutenir ou consoler... Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux ! Ce livre a reçu le prix des Rencontres philosophiques de Monaco 2016
Durée:7h. 17min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:72046
Résumé: "Chacun a son histoire de maladie et de mort, chacun a ses pertes, ses images aux noires ramifications et qui ne pâlissent pas. Les morts ne sont jamais morts, ils ont leur place dans les premières phrases d'une rencontre, d'une discussion, ils sont assis dans les jardins, aux tables, devant les soupières, les corbeilles de pain blanc tranché, ils ordonnent, allons, parlez de moi à présent, ne baissez pas les bras, n'arrêtez pas de parler de moi". Zsuzsa Bánk passe un dernier été auprès de son père qui va mourir. Histoires intime et politique se mêlent. A la fois infiniment pudique et très cru, d'une grande tendresse et d'une violence inouïe, un texte lumineux et bouleversant dont les effets rappellent ceux de "L'Année de la pensée magique" de Joan Didion.
Durée:3h. 53min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:73007
Résumé: A la mort de son mari en 2019, la journaliste est confrontée à la violence de la disparition de l'être aimé. Elle évoque la première année d'une vie sans lui et les étapes de la reconstruction de soi.
Durée:1h. 4min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:72244
Résumé: Séparée de son père vivant en Afrique par la crise sanitaire relative à la pandémie de Covid-19, Chimamanda Ngozi Adichie ne peut quitter les Etats-Unis pour lui faire ses adieux. Sous la forme de notes, l'écrivaine évoque le chagrin et la rage ressentis devant ce deuil impossible, saluant la mémoire d'un homme qui a traversé plusieurs époques de l'histoire du Nigeria.
Durée:3h.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:72216
Résumé: " On traverse des foules toute sa vie, pour ne pas se perdre ou perdre des morceaux de soi. Je traverse la foule comme on traverse la vie, je contourne. " Un jour comme un autre de décembre, Dorthée se confronte à l'indicible : le suicide de son mari, qui la laisse seule avec deux petites filles face à un gouffre d'incompréhension. Tout ce qui entoure la mort est pénible, long, compliqué. Il faut attendre, répondre à des questions. Mais le deuil donne aussi le droit de s'affranchir des conventions. Dorothée veut qu'il éclate à la face du monde, elle veut rester qui elle est, une femme qui jouit. Pas seulement une veuve et une mère, mais une femme libre avec son imaginaire et son grain de folie. Alors, passés le choc, la colère et la doueur, elle prend ses émotions et ses enfants sous le bras, qui l'épuisent et la comblent. Les fantômes, elle les brûle. Ecrit dans l'urgence de la peine avec la grâce des âmes sensibles, Traverser la foule balance entre le réalisme, le rock et la poésie.
Durée:6h. 8min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:71181
Résumé: C'est durant la réception internationale de La Plus Précieuse des marchandises que Jean-Claude Grumberg perd Jacqueline son épouse. Depuis, jour et nuit, il tente de lui dire tout ce qu'il n'a pas pu ou pas osé lui dire. Sans se protéger, ni rejeter ce qu'il ne peut ni ne veut comprendre, il dialogue avec la disparue. Incrédulité, révolte, colère se succèdent. Dans ses propos en cascades, réels ou imaginaires, qui évoquent la vie de tous les jours, Grumberg refuse de se raisonner, de brider son deuil. Les jeux de mots, l'humour, l'ironie, l'autodérision n'y changent rien. Dans ce livre, où alternent trivialité et gravité, entre clichés et souvenirs, l'auteur dit la difficulté d'exprimer ce qu'il ressent. Jean-Claude Grumberg fait son livre " pour et avec " Jacqueline, exaltant l'amour et l'intimité de la vie d'un couple uni pendant soixante ans.
Durée:2h. 36min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:68538
Résumé: La vie de mon fils a été interrompue de façon imprévisible et violente. D’une façon en quelque sorte inacceptable. Mais je veux soutenir ici qu’en dépit de ces apparences, sa vie, singulière comme toute vie réellement subjectivée, a existé, pleinement, porteuse d’un sens dont la signification et l’usage avaient valeur universelle.
Durée:5h. 59min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:68444
Résumé: " Ce dialogue inattendu avec un homme musulman, tolérant, et pourtant père de djihadiste, représentait une extraordinaire opportunité de montrer qu'il nous était possible de parler. Si un tel échange avait lieu entre nous, alors nous pouvions abattre les murs de méfiance, d'incompréhension, et parfois de haine, qui divisent nos sociétés. " Georges Salines. " Aujourd'hui, c'est avant tout une histoire de confiance et d'amitié qui nous unit. Nous avons appris à nous apprécier, pour comprendre, ensemble, et prévenir. Nous avons remonté le temps, tissé le fil de nos vies et de celles de nos enfants. Pour qu'une telle horreur ne se répète jamais plus. " Azdyne Amimour. Georges Salines a perdu sa fille Lola dans l'attentat du 13 novembre 2015 au Bataclan. Elle avait vingt-huit ans. De sa rencontre avec Azdyne Amimour, père de l'un des assaillants, a émergé un dialogue inédit. Georges Salines porte la mémoire de sa fille et de nombreuses autres victimes, tandis qu'Azdyne Amimour cherche à comprendre comment son fils a pu commettre des actes qu'il condamne sans appel. Poussés par une curiosité mutuelle, tous deux se racontent et déroulent le récit de " leur " 13-Novembre. Au fil de cette conversation, un profond respect est né entre ces deux pères que tout aurait pourtant dû opposer. Leur témoignage nourrit une réflexion apaisée sur la radicalisation, l'éducation et le deuil. Parce que s'il reste les mots, il reste aussi l'espoir.
Durée:5h. 28min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:67139
Résumé: Une mère, âgée mais indépendante, se trompe de jour, de lieu de rendez-vous avec ses filles, achète des objets superflus et coûteux, oublie dans le coffre de sa voiture les fruits de mer bretons, et se lève la nuit, croyant partir pour une destination inconnue. Cela pourrait être drôle, si ce n'était une maladie mentale due à l'âge, et surtout si cette femme si confuse n'était pas la romancière Benoîte Groult, la mère de l'auteure de ce livre d'une force rare. Benoîte Groult, luttant, jouant avec sa propre fin, mais refusant avec rage de céder à la fatalité et à la vieillesse, elle qui a été une militante de l'association "Pour le droit de mourir dans la dignité " . Voici la femme intime, plus que la femme publique, ici telle qu'on ne la connaît pas, et qui écrivait : "Dans la vie, deux mondes se côtoient : celui des gens qui vont vivre et celui des gens qui vont mourir. Ils se croisent sans se voir". Benoîte s'éteint en juin 2016 à Hyères, à 96 ans. Ecrivaine comblée, mère et grand-mère heureuse, femme de combats remportés. Mais ce que ce livre raconte, ce n'est pas juste le deuil hélas ! prévisible d'une mère admirée et aimée, mais un double deuil : voici le terrible sens du titre, La mère morte. "Maman, mon dernier rempart contre la mort. Bientôt, ce sera moi le rempart pour ma fille" . Le 1er avril 2016, la fille de Blandine de Caunes, Violette, 36 ans, meurt dans un banal accident de voiture, laissant orpheline sa fille Zélie. L'ordre du monde est renversé : Benoîte s'accroche à la vie, Blandine sombre, Violette n'est plus. De Benoîte Groult, sa fille a hérité l'humour et la force vitale. Ce livre n'est pas triste, au contraire. C'est une réconciliation entre trois générations de femme qui partagent le "même amour forcené pour la vie, toujours plus forte que tout" , le credo de Benoîte qu'elle a transmis à sa fille.
Lu par:Annie Belet
Durée:3h. 46min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:66600
Résumé: A la mort de son père, unijambiste alcoolique et poète sensible, la narratrice doit vider la maison familiale de Carrières-sous-Poissy. Ce capharnaüm devient un réseau de signes et de souvenirs éclairant la personnalité de ce colosse fragile. Comme venue du passé, une lettre arrive qui dit toute la vérité sur ce père aimé malgré la distance sociale.
Durée:2h. 7min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:38895
Résumé: Elle avait des taches de rousseur et les cheveux longs. Elle aimait le tango et Thomas Bernhard, fouiner chez les brocanteurs et Polnareff. Elle était prof de philo et vivait à Paris. Elle était amoureuse, parfois, et celui qui l'aimait ne veut rien oublier. Alors il note, tout : un geste, une attitude, une parole. Il se souvient de leur première rencontre et de son dernier SMS, des livres qui la dévoraient et de sa mélancolie, de ces bottes hors de prix qu'elle n'a jamais portées, de son goût déraisonnable pour le Scrabble et le café froid, de ses copies qu'elle ne corrigeait jamais ailleurs que dans les bars, de son incapacité à se laisser bercer par le murmure de la vie comme elle vient... Le portrait d'une absente, sensible et bouleversant.
Durée:3h. 21min.
Genre littéraire:Roman historique/biographique
Numéro du livre:37763
Résumé: L'enfance est fragile, les blessures peuvent être pérennes. Un jeune garçon, Bruno, avait 6 ans quand sa mère est décédée. Il parle de sa douleur et de sa vie dévastée.
Durée:9h. 22min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:35746
Résumé: Man Ninotte, la mère de l'auteur, meurt le 31 décembre 1999. Cet événement emporte l'écrivain dans une vaste réflexion poétique sur la Martinique, les origines de l'homme, l'évolution contemporaine du monde. La vie de cette femme énergique et lyrique lui permet d'évoquer le destin du peuple antillais, depuis la cale des bateaux négriers jusqu'au cauchemar des plantations où les victimes durent inventer de nouvelles formes de résistance. Le livre se structure à partir d'évocations de la vieillesse, de la mort, des obsèques de Man Ninotte, qui permettent des explorations de la petite enfance de l'auteur, associée à de multiples origines, celles de la Caraïbe, celles des Amériques, celles de l'humanité. Le défi qu'il se lance - de mener de front un récit très intimiste, souvent bouleversant, sur sa famille, dominée non seulement par la mère, mais aussi par la soeur aînée surnommée "la Baronne", et une analyse qui remonte au temps préhistorique de l'Homo sapiens, jusqu'à une géopolitique de l'urbanisme, du paysage, du rapport entre les cultures - est parfaitement relevé, avec tendresse, humour et légèreté. Parfois intervient "la Baronne" à laquelle le narrateur s'adresse et qui apporte une touche de dérision à l'intellectualisme de son frère. Mais il n'en est pas perturbé et poursuit ses réflexions sur différents sujets : la mort, mais aussi les marchés, les petits magasins, les repas, les vêtements ,les carnavals, l'école, l'église, la danse et la musique. Avec en arrière-plan cette origine tragique (appelée "digenèse" par Edouard Glissant) qui n'est autre que le ventre du bateau négrier : lieu terrible d'une initiation à une autre poétique de l'existence au monde. "Ce que les poètes écrivent ne constitue que les décombres de ce qu'ils ont su vivre. Et ce qu'ils ont su vivre n'est que l'écume de ce qu'ils ont pu deviner et dont le manque leur reste à vie, comme le sillage d'une lumière". Celle sans doute d'un très grand livre. [Source : 4ème de couverture]
Durée:1h. 51min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:35696
Résumé: Voici quelques mois, Jean François Billeter a perdu Wen, son épouse. Face à ce drame, l'auteur a décidé de faire oeuvre utile, de partager les sentiments qui l'ont traversé et les observations qu'il a pu faire dans cette période agitée. Dans ce récit entre confession et journal de bord, il décrit les "opérations salvatrices" qui se produisent en lui au fil du temps. Mais ces observations ne touchent ni la seule personne de l'auteur, ni celle de son épouse en particulier, mais quiconque se trouve confronté à une telle situation. De tels bouleversements sont riches en enseignements : ils nous apprennent "de quoi nous sommes faits". A la précision de l'observation s'ajoute la clarté du style, dans cet ouvrage qui répond à la nécessité de partager une expérience intime à caractère universel.
Lu par:Lisette Vogel
Durée:8h. 18min.
Genre littéraire:Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre:31723
Résumé: Lorsque mon père est décédé, j'ai placé des objets dans son cercueil. Je n'en ai parlé à personne. Puis j'ai interrogé des médiums qui disent communiquer avec les morts. Découvriront-ils de quels objets il s'agit ? C'est le test. Peut-on parler avec les morts ? Des femmes et des hommes le prétendent et en font même profession. Des milliers de gens les consultent. Ces capacités sont-elles réelles ou est-ce une illusion ? Pour répondre à ces interrogations, Stéphane Allix a testé six médiums. Les résultats sont stupéfiants et confirment ce que révèlent les recherches scientifiques menées sur ce sujet : la vie après la mort est aujourd'hui une hypothèse rationnelle. Comment devient-on médium ? Est-ce un don ou une malédiction ? Comment décrire ce qui se passe lors de la mort ? Où va-t-on après ? Consulter un médium peut-il aider au processus de deuil ? Comment éviter les charlatans ? Autant de questions que ce livre aborde, nous entraînant à la découverte d'une réalité à la fois simple et vertigineuse : il est possible de communiquer avec ceux que nous aimons au-delà de la mort.
Lu par:Madiana Roy
Durée:5h. 21min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:19796
Résumé: Le Fils est mort. Méningite foudroyante. Et rien ne prédispose à la mort d'un enfant. Tout est perdu, d'un seul coup. Tout s'éteint. On traque le moindre signe, une odeur, une image ; on décortique le moindre souvenir. Cette expérience tragique, Michel Rostain en a fait un livre. Et prête sa plume, sa voix, son "je" à celui qui n'en a plus. Celui qui voit tout, sait tout. Qui sait la douleur et les pleurs, le vide, l'immense chagrin de ceux qui restent. Et raconte sa vie, sa courte vie de jeune homme. Avec tendresse, amour, pudeur, humour, le Père se coule dans les habits du fils, relit, réécrit leur vie commune, de l'autre côté du voile. Et lui redonne un souffle. Du deuil à la lumière...
Durée:4h. 35min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:19177
Résumé: À la veille de ses six ans, Olivier fut fauché par une voiture. Il ne survécut pas à l'accident. II était le frère jumeau de Jérôme Garcin. Olivier a grandi en lui, en même temps que lui. Une présence fantomatique qui lui a donné très tôt le goût du repli, et un étrange rapport à l'existence. Dans ce récit, Jérôme Garcin remonte le fil de ses souvenirs, met en regard les grands textes littéraires ainsi que les écrits scientifiques consacrés à la gémellité. et retrouve à chaque fois un peu de ce frère perdu. Un jeu de miroir et de mémoire pour tenter de dire ce drame qui a déterminé sa vie. Olivier prolonge La chute de cheval et Théâtre intime, deux récits antobiographiques...
Durée:2h. 52min.
Genre littéraire:Biographie/témoignage
Numéro du livre:16745
Résumé: ... Le conseiller funéraire, malgré trente ans d'expérience, continue à apprendre son métier en écoutant. «Chaque famille, chaque situation est nouvelle. Mon souci est de ne rien voler de ces instants qui leur appartiennent.» Edmond Pittet raconte à quel point un temps de recueillement est primordial. «Quatre personnes sur dix meurent de manière inattendue. Il faut offrir à la famille la possibilité de s'approprier cette fin de vie, de parler au défunt, de prendre congé. Nous sommes sur le terrain du sacré.»