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Recherche par lecteur : Polyphonie : Marie Devaud Plédran, Isabelle Chabanel, Edith Cortessis, Bertrand

1547 résultats. Page 78 sur 78.

Lu par : Colette Audeoud
Durée : 5h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 4325
Résumé:La perte de la mère et le pouvoir salvateur de l'écriture.
Lu par : Jacqueline Chave
Durée : 2h. 59min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 3303
Résumé:
Durée : 1h. 47min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 3296
Résumé:Onze nouvelles. Onze scènes de la vie campagnarde inspirées du vécu de l'auteur. Thèmes : l'amour, la mort. Mais des personnages singuliers et attachants qui résistent aux pressions du milieu ambiant. Pas de trace d'intellectualisme dans la démarche de Marie-Claire Dewarrat, pas de jeux de mots faciles, mais de la sobriété, de la simplicité et de l'authenticité...
Durée : 14h. 39min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 3082
Résumé:Reine d'Ecosse à la mort de son père, en 1542, alors qu'elle n'a que six jours puis reine de France à dix sept ans, après son mariage avec François II, Marie Stuart est une des figures les plus romanesques de l'histoire. Veuve en 1560, elle rentre en Ecosse et épouse Lord Darnley, avec qui elle ne s'entend bientôt plus. Elle devient la maîtresse de Bothwell - une liaison qui entraînera sa perte. Lorsque Bothwell assassine Darnley, l'horreur causée dans le pays par ce forfait est si grande que Bothwell est exilé : Marie Stuart doit se réfugier auprès de sa rivale Elisabeth Ier, reine d'Angleterre. Celle-ci la gardera captive vingt ans, jusqu'au jour où, tombant dans le piège d'une conspiration contre la vie d'Elisabeth, la malheureuse Marie est condamnée à mort. Parée de mille grâces par les uns, peinte comme une criminelle par les autres, chacun reconnaît en Marie Stuart une victime, dont l'énergie dans l'épreuve et la fierté devant la mort furent admirables. Il fallait un esprit libre et l'immense talent de Stefan Zweig pour faire revivre en toute justice la femme et la reine si cruellement unies par le destin. Sans négliger aucun des témoignages ni des travaux qui l'ont précédé, éclairant en grand psychologue les caractères des personnages de ce drame, reconstituant avec une minutieuse exactitude cette époque pleine de bruit et de fureur, Stefan Zweig a réussi pour Marie Stuart à concilier rigueur de scientifique et passion de l'artiste.
Lu par : Jacqueline Chave
Durée : 6h. 29min.
Genre littéraire : Roman terroir
Numéro du livre : 2827
Résumé:"Jean Fantoche" : portrait bouffon d'une auguste famille, est un véritable roman picaresque sur une famille d'horlogers du versant ouest des montagnes.
Lu par : Fernande Guex
Durée : 9h. 43min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 2345
Résumé:Nous sommes au coeur de l'Histoire ; Marie toute jeune princesse est la fille unique de Charles le Téméraire. Instrument innocent des ambitions démesurées de son père elle n'eut pas moins de treize prétendants tous issus des plus grandes familles royales de France, d'Angleterre, d'Espagne, d'Italie, d'Allemagne. Malgré les violences, les guerres, les rivalités la jeune Marie vécut un amour secret et passionné pour son cousin sans fortune Philippe de Ravenstein, amour impossible.
Lu par : Marcel Pahud
Durée : 10h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 1551
Résumé:Avec Désert - prix Renaudot en 1980 - Le Clézio, écrivain discret, presque secret, accède à une reconnaissance enthousiaste du public. Depuis, sa notoriété ne s'est pas démentie au fil d'une production pourtant singulière, tant par la forme qui rompt avec le formalisme du roman que par les thèmes toujours en marge d'un monde qui avance irrémédiablement. Nourris au sein de la nature vierge, de la mer ou des déserts, les personnages de Le Clézio, abreuvés de légendes intimes ou porteurs de l'histoire des peuples, errent inlassablement sur les chemins du retour. La certitude de l'appartenance, le souvenir des paysages perdus, constituent les forces vitales que ne peuvent ébranler la vulgarité des hommes ou l'emprise de la ville. Telle Lalla, arrivée dans les quartiers sordides de Marseille comme un navire échoué, mais avec la lumière du désert dans les yeux et le sang des guerriers du Rio de Oro dans les veines. Alors, si la force de l'identité rend tout exil cruel, elle tient aussi lieu d'espoir...