Recherche par lecteur : Marie Désert
2046 résultats. Page 97 sur 103.
Lu par : Marie-Thérèse Hayoz
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14523
Résumé:Johnny a un accident stupide et trouve la mort. Les mois qui suivent sa disparition sont une terrible épreuve pour les siens, et particulièrement pour Alice, sa mère : Johnny était son fils aîné, celui qui faisait battre son coeur d'une manière particulière. Incapable de surmonter son chagrin, elle finit par tomber malade. C'est alors qu'elle a une vision : Johnny est assis près d'elle et l'exhorte à être forte pour aider sa famille à retrouver le goût de vivre. Alice doit bientôt se rendre à l'évidence : Johnny est bien présent, visible d'elle seule et de son jeune fils, muré dans le silence depuis des années. Au fil des semaines, il va agir aux côtés de sa mère tel un ange gardien.
Voyages et aventures du capitaine Hatteras: les Anglais au pôle nord, le Désert de glace
Verne, Jules
Lu par : Bernard Delannoy
Durée : 17h. 55min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14370
Résumé:[...] Hatteras était debout, immobile, les bras croisés suivant son habitude, muet et regardant l'avenir dans l'espace. Sa figure avait repris sa fermeté habituelle. A quoi pensait cet homme extraordinaire ? Se préoccupait-il de sa situation désespérée ou de ses projets anéantis ? Songeait-il enfin à revenir en arrière, puisque les hommes, les éléments, tout conspirait contre sa tentative ? [...] (extrait). Dans ce roman, décrit par Théophile Gautier comme étant l'absolue sensation de la réalité, Jules Verne nous fait vivre une extraordinaire aventure dans les régions glaciales du pôle Nord. Ecrit juste après le succès de Cinq semaines en ballon, ce roman est en réalité le véritable ouvrage fondateur de la série des "Voyages extraordinaires".
Lu par : Marie Catherine Covarel
Durée : 9h. 8min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 14795
Résumé:Jean Amadou, l'humoriste de vos dimanches à la télévision dans l'émission « C'est pas sérieux », sait comme personne tourner en événements comiques les difficultés de vivre d'une époque. Maniant les mots comme ces fleurs avec lesquelles on bat les femmes, il démystifie les « valeurs sûres» de notre civilisation énarques, économistes, scientifiques passent sur le tréteau de son théâtre comme des personnages du guignol lyonnais. Rien ne lui échappe. L'économie, la pollution, les vacances, la police, l'armée, l'Eglise, les femmes et, bien sûr, la politique, se trouvent soudain passées au démaquillant de la prétendue « mauvaise foi » de Jean Amadou, qui n'est, à tout prendre, que la vraie logique dont les Français ont le secret. « Considérer les événements avec la plus extrême mauvaise foi, dit Jean Amadou, est le seul moyen aujourd'hui de les voir tels qu'ils sont. »
Lu par : Marie-Noëlle Bardy
Durée : 12h. 38min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 15262
Résumé:Un thriller spectaculaire sur le monde impitoyable de la finance, où deux arnaqueurs amateurs apprennent à leurs dépens que bien mal acquis ne profite jamais très longtemps... Trois millions de dollars abandonnés sur un compte après la mort de son propriétaire, et aucun héritier... Pour les frères Caruso, modestes employés d'une banque new-yorkaise, l'occasion est trop belle. Pourquoi se priver d'un magot qui les aiderait à changer de vie ? En quelques coups de téléphone, les deux frères réussissent l'arnaque parfaite. Du moins le croient-ils... jusqu'à ce qu'ils découvrent que leur pactole s'est mué en trois cents millions de dollars, que la brigade financière s'intérsse d'un peu trop près à leurs activités, et qu'autour d'eux s'amoncellent les cadavres.
Le Pèlerin russe: trois récits inédits
Abbaye Notre-Dame-de-Bellefontaine (Bégrolles-en-Mauges, Maine-et-Loire ; 1817-.... )
Lu par : Marie-Thérèse Hayoz
Durée : 4h. 11min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14221
Résumé:Les trois récits de ce volume-ci ont un caractère plus ouvertement didactique. Il est probable qu'ils ont été retouchés et complétés à Optina, ce foyer spirituel de la Russie du XIXe siècle où affluaient écrivains, philosophes, chercheurs de Dieu », où la tradition spirituelle de l'Orient chrétien prenait à nouveau conscience d'elle-même pour répondre aux recherches et aux inquiétudes que la pensée occidentale introduisit alors en Russie. Une partie des trois récits est faite de réponses aux objections d'un intellectuel, et des instructions systématiques, véritables petits traités, s'intercalent entre narrations et dialogues.
Lu par : Marie-Thérèse Hayoz
Durée : 10h. 50min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 12703
Résumé:Le regard d'une femme, ce peut être le destin d'un homme. Un soir, ainsi, Philippe Guibert surprend dans les yeux de Lisa, son épouse, ce qu'il est, ce qu'il a cessé d'être pour elle, ce qu'il est devenu. Il croyait avoir réussi sa vie. Il avait les apparences de la puissance et de l'intelligence. Membre de la Commission européenne de Bruxelles, énarque, il est de ceux qui décident de l'avenir de l'Europe. Belle carrière. Et brusquement, alors qu'il affronte le tournant difficile de la cinquantaine, le regard de Lisa, lucide, impitoyable, le juge et l'atteint. Il comprend que tout les oppose. Lisa ne le désire plus. Elle vit avec lui par habitude, peut-être par pitié. Plus jeune que lui, exigeante, indépendante - elle est professeur d'université -, sincère, elle se veut libre. Elle récuse, méprise le monde politique, ses habiletés, ses vanités, ses mensonges, son oubli des valeurs simples de la vie. Elle conteste ce jeu de rôles qu'incarnent Philippe et ses collègues, le président de la Commission, Wilkinson, l'Anglais, Mahlberg, l'Allemand, tous les autres: Rien ne résiste au regard de Lisa. Et Philippe se défait. Il s'interroge sur son passé, les raisons de ses choix, affronte un autre regard de femme, celui de sa mère, qu'il appelait « la sorcière ». Il découvre ainsi cette « épave enfouie dans les profondeurs » que chacun porte en soi, dissimulée, et que le regard de l'autre dévoile. Mais ce qui se joue entre Lisa et Philippe, ce n'est pas seulement leur propre vie. Autour d'eux, Max Gallo fait surgir toute une société européenne, celle qui gravite autour des nouveaux pouvoirs, qui voudrait faire croire que « l'épave enfouie » n'existe pas pour elle. Mais Vassos, le journaliste grec, Karl Grueber, le poète allemand, chacun de ces Européens qui croisent Lisa et Philippe, les provoquent ou les séduisent, ont un passé, une « épave enfouie ». Ce qui les distingue, ce qui oppose Lisa à Philippe, ce qui la rapproche de Karl Grueber, ce sont bien deux manières de vivre, d'être dans l'Europe d'aujourd'hui. Lisa choisit la passion contre le pouvoir, l'amour contre l'indifférence, la sincérité contre l'habileté, le désir contre la possession, la mémoire contre l'oubli, son regard de femme contre les yeux vides.
Lu par : Marie-Thérèse Hayoz
Durée : 6h. 21min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 14339
Résumé:Comme le fleuve qui coule est un recueil de 101 textes courts : petites nouvelles, paraboles ou contes philosophiques, publiés par Paulo Coelho dans divers journaux entre 1998 et 2005.Au fil des textes, Paulo Coelho nous livre de petits morceaux de quotidien et d'imaginaire dans lesquels on retrouve la plume et le souffle qui ont fait le succès de ses romans.Comme le fleuve qui coule est aussi et avant tout un voyage extraordinaire dans les pensées de l'auteur le plus lu au monde.
Lu par : Marie-Catherine Guignard
Durée : 2h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 13004
Résumé:Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d'avoir réalisé leurs rêves, ils n'ont eu qu'un long parcours chaotique semé d'échecs. Désoeuvrés et sans argent, ils décident de s'inscrire à un marathon de danse dans l'espoir de décrocher les 1000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu'à tournoyer des semaines entières au rythme de l'orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, On achève bien les chevaux est le premier roman noir d'Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n'a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s'attache à explorer l'envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. --Christophe Dupuis
Lu par : Marie-Catherine Guignard
Durée : 9h. 7min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 13003
Résumé:Tout quitter du jour au lendemain pour aller chercher, seule, au fin fond de la Chine communiste, les secrets oubliés de l'art antique chinois, était-ce bien raisonnable ? Fabienne Verdier ne s'est pas posé la question : en ce début des années 80, la jeune et brillante étudiante des Beaux-Arts est comme aimantée par le désir d'apprendre cet art pictural et calligraphique dévasté par la Révolution culturelle. Et lorsque, étrangère et perdue dans la province du Sichuan, elle se retrouve dans une école artistique régie par le Parti, elle est déterminée à affronter tous les obstacles : la langue et la méfiance des Chinois, mais aussi l'insupportable promiscuité, la misère et la saleté ambiantes, la maladie et le système inquisitorial de l'administration... Dans un oubli total de l'Occident, elle devient l'élève de très grands artistes méprisés et marginalisés qui l'initient aux secrets et aux codes d'un enseignement millénaire. De cette expérience unique sont nés un vrai récit d'aventures et une oeuvre personnelle fascinante, qui marie l'inspiration orientale à l'art contemporain, et dont témoigne son extraordinaire livre d'art L'unique trait de pinceau (Albin Michel).
Lu par : Michèle Quellet
Durée : 3h. 3min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 14162
Résumé:Marie de Magdala : Femme déchue et repentie, témoin excellence, et la messagère de la Résurrection. On n'insiste jamais assez, nous dit Haldas, sur le rôle des femmes dans l' entourage du Christ ! Le Livre des trois Déserts : désert de sable, désert social, désert intime. De l'épreuve physique au désarroi psychologique et spirituel, des temps bibliques au monde moderne, Haldas nous invite à une descente en spirale au coeur de notre détresse d'hommes - abîme d'où nous pouvons, enfin, entrevoir la Lumière.
Lu par : Marie-Louise Bardet
Durée : 11h. 27min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14332
Résumé:À l'aube de la vie, le narrateur se fait une promesse : ces années qui l'attendent, il les déposera aux pieds de sa mère pour réparer toutes les souffrances qu'elle a endurées. Il tâchera de combler tous ses désirs et de compenser par la gloire les humiliations que cette Russe immigrée, seule et sans un sou, a dû subir pour pouvoir déposer avec fierté, tous les jours, le bifteck du déjeuner dans l'assiette de son fils unique et adoré, ne se réservant que le gras de la cuisson. Avec admiration, humour et lucidité, ce fils fait le récit de leur parcours de la Pologne à la France. Ce roman autobiographique, qui s'appuie sur un langage poétique d'une grande pudeur, est un élan prolongé d'amour, et peut-être de rancoeur d'avoir été trop aimé. De la carrière militaire et diplomatique de Gary à sa réussite littéraire en passant par ses rapports humains, tout est vu à la lumière de l'amour de cette mère au caractère entier, émouvant, mais également envahissante et insupportable. Au seuil de sa vie, le narrateur aura donc respecté son serment ; mais la vie, elle, n'aura pas tenu parole, ne comblant jamais le vide que l'absence de cette mère formidable aura laissé dans la poitrine du héros. --Sana Tang-Léopold (Amazon,fr)
Lu par : Marie-Thérèse Hayoz
Durée : 6h. 21min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 14069
Résumé:"Mais qui est donc cette mystérieuse Ti-Puss qui, dans les années 1940, accompagne l'une des voyageuses les plus étonnantes du XXe siècle dans un long périple à travers l'Inde, auprès des grands maîtres de sagesse, parmi les pauvres et les humiliés ? Ti-Puss, décrite par Ella Maillart comme son miroir et son modèle parce qu'elle incarne « la plénitude de l'instant présent », n'est autre... qu'une chatte tigrée, initiatrice inattendue des mystères de l'Inde."
Lu par : Marie-Louise Bardet
Durée : 5h. 25min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14134
Résumé:Entre Madame Rosa et Momo, c'est un amour maternel qui ne passerait pas par les liens du sang, c'est l'amitié entre les peuples juif et arabe, c'est le poids de l'Histoire allégé par l'appétit de vivre. Le roman se passe à Belleville, vingtième arrondissement de Paris, sixième étage sans ascenseur. Momo a dix ans, peut-être quatorze en réalité. Cela fait beaucoup de chiffres pour un môme qui réinvente le dictionnaire et a le sens de la maxime: « Je pense que pour vivre, il faut s'y prendre très jeune, parce qu'après on perd toute sa valeur et personne ne vous fera de cadeaux. »
Lu par : Marie Catherine Covarel
Durée : 1h. 55min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 14131
Résumé:Accepter ce qui est, c'est faire preuve de lucidité, c'est se "réveiller", devenir conscient et considérer la réalité telle qu'elle est. C'est se désencombrer de ses programmations mentales, de ses croyances erronées, de ses oeillères. Accepter ce qui est, c'est chercher à voir comment faire face, c'est chercher (et trouver) des moyens d'améliorer la situation et surtout d'en faire quelque chose de positif toutes les fois que c'est possible. C'est cesser de demander pourquoi ? pourquoi moi ? pour tenter de trouver "pour quoi ?" pour en faire quoi ? Accepter ce qui est, c'est parfois n'avoir pas d'autre choix que de faire le deuil de ce qui était, de ce qui aurait pu être, de ce qui aurait dû être, pour vivre aussi pleinement que possible la réalité de l'instant présent et tenter de lui donner du sens. Accepter ce qui est, c'est le prélude indispensable à toute croissance personnelle, à toute recherche de solution, à toute paix intérieure.
Lu par : Marie Lourizi
Durée : 13h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14824
Résumé:Au XIIe siècle, à Palerme, un voleur dérobe un sac dans la bibliothèque du géographe de la Cour. C'est ainsi que les outils et talismans nécessaires à la transmutation des alchimistes sont dispersés aux quatre coins du monde. Neuf cents ans plus tard, dans une petite ville de Nouvelle-Angleterre, le jeune journaliste Paul Tomm enquête sur la mort mystérieuse d'un vieux professeur originaire d'Estonie. Jon Fasman entremêle alors les recherches présentes de Paul et les destins plus lointains de personnages dans les mains desquelles ces fabuleuses reliques ont échu - un capitaine génois, un linguiste soviétique, un botaniste anglais... - tous ont constaté que les articles d'une valeur inestimable attiraient des acquéreurs extrêmement déterminés.
Lu par : Marie Catherine Covarel
Durée : 3h. 6min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14107
Résumé:Quatrième de couverture : Quand Amadeo Donadieu partit avec une autre femme, me laissant prête pour la noce, ma soeur Ermelinda m'annonça la nouvelle un matin très tôt avant que je me lève. Je suis restée clouée au lit - jusqu'au soir pensais-je - par une forte douleur dans les jambes, puis tout le jour suivant, espérant trouver un soulagement à ma peine. Et ainsi de suite : trente-six ans au lit (si mes comptes sont exacts), entre deux morts comme un plongeur entre deux eaux. " Ainsi s'exprime Aurelia dans l'épitaphe (elle en a la manie) qu'elle dicte à l'une de ses soeurs avant de mourir. On aura compris que le récit d'Arnaldo Calveyra - Le Lit d'Aurelia - est en vérité, une fable. Mais quelle fable que le poète argentin a composée avec cette sorte de lyrisme subtil qui ancre le rêve dans la réalité (à moins que ce ne soit l'inverse) ! Ce récit de la déréliction et du refus - car c'est sa vieillesse qu'en se mettant au lit la jeune Aurelia a décidé d'attendre - se déploie en effet tel un paysage dont l'immobilité est transformée par la quotidienne alternance du clair et de l'obscur. De telle sorte que la si lente mort d'Aurelia demeure, la dernière page tournée, comme un chant de vie et de passion. HUBERT NYSSEN
Lu par : Marie Catherine Covarel
Durée : 2h. 55min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 14038
Résumé:Les naufragés du Batavia, raconte l'aventure vraie survenue au XVIIe siècle à un bateau de la Compagnie hollandaise des Indes orientales. Lors de son premier voyage, ce bateau chargé de passagers et de marchandises fit naufrage sur un archipel peu éloigné de l'Australie. Alors que le capitane et le subrécargue - rivaux pendant tout le voyage et qui ne voulaient pas se quitter pour pouvoir se surveiller - se furent éloignés sur la grande chaloupe à la recherche de secours, un ancien apothicaire mit sur pied, avec l'aide de quelques hommes d'équipage, une sorte de dictature qui aboutit au massacre d'une partie des survivants du naufrage sans que cette situation provoque une révolte parmi les victimes.
Lu par : Marie-France Javet
Durée : 3h. 8min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 14039
Résumé:" En quelques semaines, parce qu'un abruti m'avait trouvée petite et pas à ma place dans cette tribu de grands chiens racés, j'ai basculé du mauvais côté. Je suis devenue cette gosse ridicule qui se tortille pour cacher son malaise. Ce qui a changé, c'est qu'aujourd'hui ça ne me dérange plus ". Leslie Bedos est gauchère, donc déroutée par la vie et ses sentiments, très lucide sur elle-même et ses désarrois. En onze scènes de la vie presque quotidienne d'une jeune femme, elle nous raconte les faux mouvements et les vrais élans de l'existence avec beaucoup d'ironie, et une tendresse infinie.
Lu par : Marie-France Javet
Durée : 4h. 10min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 14175
Résumé:Présentation de l'éditeur : Chacun peut préparer sa mort - dont il ne connaît ni le jour ni l'heure - en vivant le plus en accord possible avec ses valeurs, le plus consciemment possible. Chacun peut approcher sa mort les yeux ouverts, si la mort n'est pas niée, si l'entourage l'accepte, s'il y a suffisamment de vérité et d'amour autour de celui qui meurt. Chacun peut faire de sa mort une leçon de vie pour les autres. " Marie de Hennezel. Dans La Mort intime, Marie de Hennezel apportait un témoignage unique sur l'accompagnement des mourants. Bouleversé, François Mitterrand signait la préface de ce livre qui allait toucher des centaines de milliers de lecteurs. Qu'est-ce que la vie à l'approche de la mort ? Comment la vivre avec lucidité ? En s'appuyant sur l'expérience de son ami, le philosophe Yvan Amar qui, atteint d'une maladie chronique incurable, a fait le choix de mourir " les yeux ouverts ", Marie de Hennezel poursuit ici son propos et l'amplifie, en osant parler des derniers moments de la vie comme d'une occasion d'éveil. Une réflexion profonde, un formidable message d'espoir, de compassion et d'amour.
Lu par : Marie Catherine Covarel
Durée : 2h. 57min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 14102
Résumé:Les petites filles rêvent d'être maman, jamais d'être marâtre. C'est pourtant ce que vivent de très nombreuses femmes qui, parce qu'elles n'y ont pas été préparées, doivent inventer leur place dans une nouvelle constellation familiale. Que signifie être belle-mère aujourd'hui, dans une famille en recomposition ? Quel travail psychique une femme est-elle amenée à faire pour vivre une telle " maternité " ? Comment compose-t-elle au quotidien avec l'ombre de " l'ex ", l'ambivalence du père et les conflits de loyauté des enfants ? Ce livre est dédié aux " nouvelles marâtres ". Il raconte leurs histoires, des histoires d'amour et de haine, de générosité, de lassitude parfois. Il montre aussi que l'attitude des hommes, en cette affaire, est cruciale. Pour les enfants, pour le couple, et pour que la belle-mère ne soit pas considérée comme une mère " au rabais ".