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Recherche par lecteur : Christophe Monney

3 résultats.

De:Millet, Lydia Lu par:Christophe Monney
Durée:7h.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Une grande maison de vacances au bord d’un lac. Cet été-là, cette maison est le domaine de douze adolescents à la maturité étonnante et de leurs parents qui passent leurs journées dans une torpeur où se mêlent alcool, drogue et sexe. Lorsqu’une tempête s’abat sur la région et que le pays plonge dans le chaos, les enfants – dont Eve, la narratrice – décident de prendre les choses en main. Ils quittent la maison, emmenant les plus jeunes et laissant derrière eux ces parents apathiques qu’ils méprisent et dont l’inaction les exaspère autant qu’elle les effraie.

Les vieux garçons

De:Sulzer, Alain Claude Lu par:Christophe Monney
Durée:8h. 59min.
Genre:Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture:Terrible ironie du sort, c’est dans sa chair que Jules va vivre une décrépitude qu’Edmond et lui se seraient complu à décrire dans l’un de leurs romans naturalistes – trempés de ce « réalisme du ruisseau » qui émerveilla tant Zola, et selon lequel rien ne doit être dissimulé. En décrivant lui-même cette lente agonie avec délicatesse et cruauté, Alain Claude Sulzer prend en quelque sorte la place du romancier qu’Edmond, désespéré, n’a pu assumer. Il reproduit aussi ce que les Goncourt avaient entrepris dans "Germinie Lacerteux", en disséquant la déchéance de leur bonne, Rose, personnage sulfureux et mystérieux dont les deux frères, au regard pourtant aiguisé et alors que tout se passait sous leur toit, n’avaient rien perçu des turpitudes. Ce faisant, dans "Les vieux garçons", Sulzer agit comme un mineur de l’âme : il s’aventure dans les tréfonds humains afin d’en extraire l’essence la plus toxique.

Absolument la vie

De:Barilier, Etienne Lu par:Christophe Monney
Durée:2h. 32min.
Genre:Biographie/témoignage
Quatrième de couverture:Fils de pasteur, et de santé fragile, dans un village des années 1950, l'auteur fait du monde et de ses rudesses, mais aussi de la religion et de ses exigences, une expérience anxieuse. Dieu, appelé au chevet de l'enfant malade qu'il était alors, ne s'y est pas rendu. Soixante ans plus tard, son épouse sera victime d'une maladie mortelle, et Dieu n'aura pas cillé davantage. Cependant, cette épouse était croyante. Mais sa foi fut heureuse. Elle ne voyait pas la douleur partout, et n'en faisait pas un argument. L'amour ne lui était pas blessure. Pour elle, Dieu n'était pas absent : il suffisait d'aimer la vie. Revenant sur certains événements marquants de sa vie, abordant avec simplicité de grandes questions comme celle du Mal, de la mort, de la foi ou de l'amour, Etienne Barilier nous livre ici un texte intime et lumineux, qui bouleverse et vous retient encore bien après sa lecture.