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Recherche par lecteur : Christophe Monney

5 résultats.

Durée : 4h. 22min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 78135
Résumé:En 1984, deux jeunes frères exilés aux États-Unis retournent au Guatemala, au cœur de la forêt de l’Altiplano, participer à un camp pour enfants juifs où les envoient leurs parents afin qu’ils n’oublient pas leurs racines. Mais un matin, réveillés par des cris sous leurs tentes militaires, les enfants découvrent que le camp s’est transformé en une chose bien plus sombre. Dans ce nouveau pan du roman en mouvement qu’est l’œuvre d’Eduardo Halfon, le narrateur revient à un épisode de son enfance dans le Guatemala complexe et violent de la guerre civile ; un épisode dont les raisons et les ramifications ne commenceront à s’éclaircir que des années plus tard, au fil de rencontres fortuites – à Paris avec une lectrice de Salinger devenue avocate, ou à Berlin avec un ancien instructeur du camp, aux yeux d’un bleu changeant, qui se promenait avec un serpent dans la poche et une énorme tarentule sur le bras. Entrelaçant passé et présent, réalité et fiction, Eduardo Halfon tisse un récit dense, foisonnant de symboles, pour toucher du doigt les fondements de son identité, cette maison dont il a toujours cherché à s’échapper : le cadre strict et rigoureux de la religion juive et le giron enveloppant et maternel du Guatemala.
Durée : 5h. 35min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 75093
Résumé:Une bière, une putain. Bukowski, sans le savoir, bâtit sa légende. Cette litanie de boulots minables, de chambres sordides, d'étreintes glauques, de souleries mornes, de bagarres d'ivrognes, de vexations, de rigolades sera la matière inépuisable d'une œuvre qui, avec sa vitalité consolante, sa folle énergie, ira jusqu'à brancher Hollywood.
Durée : 7h.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 73170
Résumé:Une grande maison de vacances au bord d’un lac. Cet été-là, cette maison est le domaine de douze adolescents à la maturité étonnante et de leurs parents qui passent leurs journées dans une torpeur où se mêlent alcool, drogue et sexe. Lorsqu’une tempête s’abat sur la région et que le pays plonge dans le chaos, les enfants – dont Eve, la narratrice – décident de prendre les choses en main. Ils quittent la maison, emmenant les plus jeunes et laissant derrière eux ces parents apathiques qu’ils méprisent et dont l’inaction les exaspère autant qu’elle les effraie.
Durée : 8h. 59min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 72128
Résumé:Terrible ironie du sort, c’est dans sa chair que Jules va vivre une décrépitude qu’Edmond et lui se seraient complu à décrire dans l’un de leurs romans naturalistes – trempés de ce « réalisme du ruisseau » qui émerveilla tant Zola, et selon lequel rien ne doit être dissimulé. En décrivant lui-même cette lente agonie avec délicatesse et cruauté, Alain Claude Sulzer prend en quelque sorte la place du romancier qu’Edmond, désespéré, n’a pu assumer. Il reproduit aussi ce que les Goncourt avaient entrepris dans "Germinie Lacerteux", en disséquant la déchéance de leur bonne, Rose, personnage sulfureux et mystérieux dont les deux frères, au regard pourtant aiguisé et alors que tout se passait sous leur toit, n’avaient rien perçu des turpitudes. Ce faisant, dans "Les vieux garçons", Sulzer agit comme un mineur de l’âme : il s’aventure dans les tréfonds humains afin d’en extraire l’essence la plus toxique.
Durée : 2h. 32min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 72068
Résumé:Fils de pasteur, et de santé fragile, dans un village des années 1950, l'auteur fait du monde et de ses rudesses, mais aussi de la religion et de ses exigences, une expérience anxieuse. Dieu, appelé au chevet de l'enfant malade qu'il était alors, ne s'y est pas rendu. Soixante ans plus tard, son épouse sera victime d'une maladie mortelle, et Dieu n'aura pas cillé davantage. Cependant, cette épouse était croyante. Mais sa foi fut heureuse. Elle ne voyait pas la douleur partout, et n'en faisait pas un argument. L'amour ne lui était pas blessure. Pour elle, Dieu n'était pas absent : il suffisait d'aimer la vie. Revenant sur certains événements marquants de sa vie, abordant avec simplicité de grandes questions comme celle du Mal, de la mort, de la foi ou de l'amour, Etienne Barilier nous livre ici un texte intime et lumineux, qui bouleverse et vous retient encore bien après sa lecture.