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Recherche par lecteur : Bertrand Baumann

554 résultats. Page 20 sur 28.

Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 1h. 39min.
Genre littéraire : Pratique/cuisine/alimentation
Numéro du livre : 19905
Résumé:Ce livre propose les recettes des grands chefs invités dans l'émission Pique-assiette et des conseils inédits. Il est complété par des recettes d'Annick, qui restent dans la thématique du menu et/ou des produits, mais qui sont complètement différentes.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 12min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 19843
Résumé:Comme ses Cinq méditations sur la beauté, ce texte de François Cheng est né d'échanges avec ses amis, auxquels le lecteur est invité à devenir partie prenante. Il entendra ainsi le poète, au soir de sa vie, s'exprimer sur un sujet que beaucoup préfèrent éviter. Le voici se livrant comme il ne l'avait peut-être jamais fait, et transmettant une parole à la fois humble et hardie. Il n'a pas la prétention de délivrer un « message » sur l'après-vie, ni d'élaborer un discours dogmatique, mais il témoigne d'une vision de la « vie ouverte ». Une vision en mouvement ascendant qui renverse notre perception de l'existence humaine, et nous invite à envisager la vie à la lumière de notre propre mort. Celle-ci, transformant chaque vie en destin singulier, la fait participer à une grande Aventure en devenir.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 49min.
Genre littéraire : Poésie
Numéro du livre : 19844
Résumé:Les poèmes de Jacques Prévert recueillis en 1946 dans Paroles étaient comme repris à la rue, où ils étaient nés et depuis des années s'échangeaient, se récitaient, entre amis et initiés. La couverture originale de ce premier recueil en disait aussi long sur leur origine que sur leur destination : un graffiti urbain photographié par Brassaï et maculé de lettres capitales écarlates peintes à la hâte. Le signal était puissant, choisi : marginal dans la vie et dans les arts, Prévert entendait bien l'être aussi par ses livres.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 11h. 5min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 19840
Résumé:En 1955, un jeune étudiant islandais arrive à Copenhague pour faire ses études. Là il va se lier d'amitié avec un étrange professeur, bourru, érudit et buvant sec, spécialiste des Sagas islandaises, ce patrimoine culturel inestimable qu'ont protégé les Islandais au long des siècles comme symbole de leur nation. Il découvre le secret du professeur, l'"Edda poétique", le précieux "Livre du roi", dont les récits sont à l'origine des mythes fondateurs germaniques, lui a été volée pendant la guerre par des nazis avides de légitimité symbolique. Ensemble, le professeur et son disciple réticent, qui ne rêve que de tranquillité, vont traverser l'Europe à la recherche du manuscrit. Un trésor pour lequel certains sont prêts à voler et à tuer. Un trésor aussi sur lequel on peut veiller et qu'on peut aimer sans en connaître la valeur. Une histoire inhabituelle et une aventure passionnante sur ce qu'on peut sacrifier et ce qu'on doit sacrifier pour un objet aussi emblématique qu'un livre. Arnaldur Indridason met son talent et son savoir-faire de conteur au service de son amour des livres. Et de ce livre mythique en particulier.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 7h. 35min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19829
Résumé:Ecrit dans le vent: ce titre dit à la fois la légèreté et la fugacité. Légèreté que cette sorte de nonchalance avec laquelle l'auteur flâne pour ainsi dire dans sa vie; s'arrête, pensif, près d'un chat; jette un regard doucement mélancolique sur le temps qui est déjà passé; s'émerveille de la présence d'un arbre dans le coin du paysage; se confie à l'instant présent, s'abandonne doucement à ses sortilèges. Ce qui n'exclut pas, çà et là, une bouffée de nostalgie, l'ombre portée d'un désespoir qu'on veut tenir à distance. Mais la tonalité dominante de ce livre, ce qui lui donne ce charme qui ne désarme pas et qui est sa vérité la plus grave, c'est ce sentiment permanent des choses qui passent, des instants qui s'en vont irrémédiablement, des êtres qui déjà s'éloignent. Le beau projet de vouloir retenir un peu la vie était en fin de compte possible, à condition que le livre dans lequel il se réalisait nous vienne «sans rien en lui qui pèse ou qui pose», comme en passant: qu'il soit écrit dans le vent.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 15min.
Genre littéraire : Psychologie/médecine
Numéro du livre : 19755
Résumé:"L'année dernière, confie Woody Allen, j'ai eu des problèmes avec le fisc. Sur ma déclaration d'impôt, j'ai essayé de faire passer mes notes de psychiatre en frais professionnels. Mais l'administration a dit que ça faisait partie des loisirs. On est arrivé à un compromis et on a fait passer ça en dons carritatifs." Sur le chemin accidenté de la vie, Woody Allen peut accompagner chacun tel un chaleureux complice, un guide et un initiateur. Une occasion d'explorer quelques thèmes communs au réalisateur et à la psychanalyse : l'angoisse, l'identité et le changement, le pouvoir de la parole. "Et pour finir, conclut Allen, j'aimerais avoir un message un peu positif à vous transmettre... Je n'en ai pas... Est-ce que deux messages négatifs, ça vous irait?"
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 9h. 18min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 19749
Résumé:En 1937, les envahisseurs japonais pénètrent dans Nankin, une ville pleine de victimes et vidée de ses hommes. Flamme d'Ibis, une étudiante en art âgée de seize ans, n'a la vie sauve que pour être apparue désirable aux yeux de Hayashi, le colonel japonais. Ce dernier, tiraillé entre son fond de sauvagerie et une délicatesse cultivée, choisit de protéger la jeune Chinoise, tout en abusant d'elle. Une relation ambiguë s'instaure entre eux, jusqu'au retour, en secret, du père de Flamme d'Ibis... Ce huis clos à trois personnages sur une toile de fond chaotique et sanglante reprend les interrogations qui hantent Paul West : comment un individu peut-il endurer son traumatisme et le rendre, sinon admissible, du moins pensable ? Comment habiter son propre corps devenu étranger, comment habiter la langue du barbare ? Telles sont les questions posées par ce texte où s'affrontent, dans le choc de la Chine et du Japon, l'extrême culture et l'extrême sauvagerie. Rien d'étonnant si, dans ce roman à la fois érotique et onirique, le style de Paul West oscille à en donner le vertige entre les deux pôles de la crudité et de la préciosité.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 23h. 3min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19745
Résumé:Toute sa vie, Jasper Dean a hésité entre détester, plaindre, adorer et assassiner son père, Martin. Maintenant que Martin est mort, Jasper peut revenir à loisir sur le cas de ce philosophe autodidacte, génie méconnu et féroce misanthrope qui s'est brûlé les ailes à vouloir sortir de l'ombre de son frère Terry, Robin des bois moderne adulé des foules en Australie. De dépressions passagères en illuminations foudroyantes, d'amours contrariées en atroces trahisons, de clubs de strip-tease en paquebots clandestins, père et fils vont se retrouver embarqués dans une aventure qui les dépasse. Mais, face aux coups du sort, c'est en Jasper que Martin trouvera le meilleur compagnon d'infortune de ses vains efforts pour laisser une trace de son passage dans ce monde qu'il méprise...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 27min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 19633
Résumé:A force d'accumuler, au fil des ans, des notes et des esquisses d'écriture à tout propos, on finit par découvrir en son aval un empilement alluvionnaire qu'il faut bien se résoudre un jour à inventorier. De tel amas est prélevé et rassemblé ici ce qui, aux yeux de l'auteur, dévoile ses obsessions, ses sentiers, ses contradictions et qui peut éclairer l'œuvre publié jusqu'ici. Notules, fragments, ébauches, confidences, relations de voyage, haïkus s'additionnent et se bousculent en une chronologie parfois incertaine. Ces textes se révèlent être de deux natures presque opposées : le registre de la sédentarité, de la méditation et de l'immersion dans la nature, d'une part, et, d'autre part, la confrontation avec l'espace urbain et le mouvement du monde. Pseudo-journal d'une vie à deux temps, le recueil témoigne de la tension incessante entre le dedans et le dehors qui peut se résumer dans la formule: sortir de soi, rentrer en soi. Ou, par référence à l'aventure jamais achevée du travail poétique, savoir passer sans coup férir du dépaysement au repaysement.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 11h. 7min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 19622
Résumé:Tout a commencé quand Barthélémy Piéchut, maire de la commune de Clochemerle-en-Beaujolais, dévoila à Ernest Tafardel, l'instituteur, son projet : - Je veux faire construire un urinoir, Tafardel. - Un urinoir ? s'écria l'instituteur, tout saisi ... Le maire se méprit sur le sens de l'exclamation : - Enfin, dit-il, une pissotière ! Cette vespasienne, destinée, bien plus peut-être, à confondre Mme la baronne Alphonsine de Courtebiche, le curé Ponosse, le notaire Girodot et les suppôts de la réaction, qu'à procurer un grand soulagement à la gent virile de Clochemerle, sera édifiée tout près de l'église où Justine Putet, aride demoiselle, exerce une surveillance étroite... Dès sa parution, Clochemerle, chronique rabelaisienne, a connu un énorme succès qui ne s'est jamais démenti. C'est maintenant un classique de la littérature comique.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 47min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19603
Résumé:Quelle est donc cette chimère illusoire et vide de sens que cette absurde quête du bonheur ? Le niais et débilitant contentement de soi est une fin suprême pour les frileux, les imbéciles dont la seule ambition consiste à contourner les obstacles, à se soustraire à la souffrance. À l'image de cette horde d'invertébrés léthargiques- l'humanité dans toute sa petitesse- ce fils renégat répondant aux critères de la moyenne exulte dans sa vie d'homme adapté au monde d'aujourd'hui. Foutaises, dit le père ! Car enfin, s'il faut accepter et céder à la vieillesse qui s'annonce, faut-il pardonner à sa progéniture de se complaire dans l'inaction ? C'est à moins que l'on prendrait la plume pour réveiller en lui ses instincts emportés, son âme révoltée. Alors, le voilà qui vitupère et qui rage contre tous, misogyne, mal embouché. Rares sont les élus de son cœur. A-t-il eu des illusions, elles se sont défilées. Pourtant la tempête qui déferle ne peut dissimuler les remords qui l'étreignent, ceux d'avoir fait d'un fils un parfait étranger. (Lenaïc Gravis et Jocelyn Blériot
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 19min.
Genre littéraire : Humour-satire
Numéro du livre : 19583
Résumé:Deux extraterrestres débarquent pour une mission d'étude. Le lieu : la terre. Sujet : les hommes. L'auteur de ce journal a la responsabilité de cette mission. Croyant bien faire, il envoie son subalterne Gurb au contact de la zone et de la "faune autochtone", métamorphosé pour l'occasion en une forme qu'il imagine totalement passe-partout : Madonna. Il ne lui faudra pas plus de 20 heures pour qu'il disparaisse et que, sans nouvelles de lui, le narrateur se voit contraint de partir à sa recherche et à la découverte de Barcelone et des habitudes terrestres. Notre héros se retrouve alors à son insu au centre d'aventures pour le moins désopilantes. Mais enfin, de qui parle-t-on ici ? De nous bien sûr ! De notre société, de ses mœurs et de ses coutumes, de son arrogance et de sa lâcheté. De ses bons côtés aussi, de ce qui fait que nous sommes parfois vils ou valeureux. Et si souvent, à la lecture de ce petit livre, un rire salutaire et incontrôlable vous secoue comme un prunier, il s'en faut aussi de peu parfois pour qu'il nous inspire la terreur de nous-mêmes. Car l'humour délirant d'Eduardo Mendoza est ainsi dosé qu'il recèle toujours une part certaine de férocité. Ainsi, par moments, on en viendrait presque à s'écrier : pauvres extraterrestres perdus dans ce monde de fous !
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 3h. 15min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19577
Résumé:Dès les premières pages, Amers évoque le roman noir et sa psychologie vacillante. D'abord, un accident de voiture, presque banal, une femme fauchée dans la nuit, qu'on abandonne comme si de rien n'était. Et puis un homme, journaliste fameux, activiste forcené, qui disparaît sans rien dire ni rien laisser derrière lui, comme un fantôme de papier. Entre ces événements, deux femmes, Gabrielle, l'épouse délaissée, et Mirna, la maîtresse, qui tâchent de comprendre chacune de leur côté le départ de l'homme aimé. Soucieuse de sauvegarder les apparences, Gabrielle maquille la rupture en décès, pour ne rien changer à sa vie d'artiste, faite d'émissions de radio culturelles, de cours de piano à des enfants ignares et de considérations ennuyeuses sur la bonne philippine. Pas dupe du subterfuge, Mirna échafaude mille théories sur cet abandon précipité, tout en se lamentant de cette vie vouée à patienter. Puis la police commence à s'en mêler... (http://www.lexpress.fr)
Durée : 4h. 29min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19438
Résumé:Cesare Pavese est un écrivain italien. Il vit l'Italie fasciste de Mussolini à laquelle il s'oppose par l'intermédiaire du groupe antifasciste « Giustizia e Liberta » ; il est exilé en Calabre. Cet événement biographique est significatif dans sa production littéraire puisqu'il le pousse sans aucun doute à réfléchir sur l'existence humaine, à travers ses Dialogues avec Leuco notamment. Alors qu'il s'inscrit dans le mouvement néoréaliste de l'époque, il rompt avec ses formes caractéristiques pour ses Dialogues avec Leuco qu'il considère comme son chef d'œuvre. Ce travail, écrit entre 1945 et 1947, est divisé en vingt-sept dialogues qui mettent en scène des personnages mythiques, sauf exceptions comme Sappho ou Hésiode. Leuco, abréviation du mythique Leucotea (Ino, épouse du roi de Orcomeno Athamas) qui protège les naufragés fait également référence à son amour à la fois passionnel et frustrant pour Bianca Garuffi. Ce titre donne le ton de son ouvrage qui se veut une réflexion existentielle et personnelle à travers le support mythologique, en vue de protéger les hommes de leur naufrage, peut-on penser...
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 22min.
Genre littéraire : Voyage/exploration
Numéro du livre : 19402
Résumé:Note de l'éditeur : Le Mississippi constitue l'élément fondateur de la pensée et de l'œuvre du géographe Élisée Reclus. A la suite du coup d'état du 2 décembre 1851, et l'avènement de Napoléon III, Élisée Reclus, alors âgé de 21 ans, s'exile aux États-Unis et s'installe à la Nouvelle Orléans, au bord du Mississippi. C'est là qu'il découvre la réalité de l'esclavage et c'est là aussi qu'il explore l'un des plus grands fleuves du monde. Il lui inspirera plus tard un de ses ouvrages majeurs, L'Histoire d'un ruisseau. Mais de cette expérience sur le Mississippi, il en fera d'abord son premier livre, dont nous publions les meilleurs extraits. On y voit apparaitre les deux courants qui irrigueront son œuvre : l'anarchisme et une vision à la fois naturaliste, sociale et poétique de la géographie.
Durée : 1h. 38min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19363
Résumé:
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 2h. 49min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19356
Résumé:A l'exemple de Gorki, faut-il avoir subi toutes les misères et senti toutes les beautés du monde, pour oser s'attaquer aux souvenirs de l'enfance, exhumés de la mémoire avec la fulgurance de l'éclair ? Mémoires séquentielles qui expliquent l'amour de la liberté et de la justice mais aussi la violence, la tendresse, la rébellion que pimentent et adoucissent tout à la fois l'humour et la satire de soi-même. « "Ce sont les hommes qui amènent leurs fils à l'école le premier jour " : d'un geste inhabituel, mon père m'empoigne la main qu'il serre très fort à me faire mal. Je le regarde mais lui ne me voit pas. On dirait qu'il a hâte d'arriver ; j'ai de la peine à le suivre. Mon sac d'école ballotte dans mon dos ; on entend qu'il n'y a pas grand-chose dedans : une règle, une plume à bec, une boîte de crayons de couleur Caran d'Ache. Jeudi dernier, je suis allé avec ma mère aux Galeries Vaudoises. Le sac, c'est moi qui l'ai choisi : il est rouge avec des lanières blanches, aux couleurs de la Suisse. »
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 21h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19320
Résumé:Le Bossu est un roman de cape et d'épée de Paul Féval, initialement publié sous la forme de feuilleton dans le journal Le Siècle du 7 mai au 15 août 1857. Il est considéré comme l'une de ses œuvres les plus marquantes et comme un modèle du genre. L'action, répartie en six parties et soixante-deux chapitres, se déroule en deux temps bien distincts, en 1699 et 1717, principalement en France et notamment à Paris, et met en scène l'histoire du Chevalier Henri de Lagardère. Outre divers personnages de fiction, on croise dans le roman plusieurs personnages historiques, tels que le Régent Philippe d'Orléans, l'abbé Dubois, le banquier et économiste John Law et même le tsar Pierre le Grand, dont certains se voient, en outre, mêlés à des péripéties romanesques totalement inventées.
Lu par : Bertrand Baumann
Durée : 12h. 30min.
Genre littéraire : Policier/épouvante
Numéro du livre : 19286
Résumé:À la Body Armour, société de protection des puissants, les gorilles sont chargés d'intimider les malfaiteurs — les invisibles, qui ne paient pas de mine, étant des gardes du corps bien plus redoutables. Invisible, Lemmer a fait quatre ans de taule pour meurtre et tente de refaire sa vie lorsqu'on lui confie une nouvelle mission : protéger la belle et frêle Emma Le Roux, patronne d'un cabinet de consultants. Il va la voir et écoute son histoire.
Durée : 2h. 45min.
Genre littéraire : Théâtre
Numéro du livre : 19228
Résumé:" Si tu avais vécu cette époque, tu comprendrais ce que tu nous dois. Tu ne sais pas ce qu'était la vie avant nous. Pour danser le tango, il fallait un courage ! Sais-tu que la proportion des femmes perdues était incroyablement faible, je ne sais pas, deux pour cent, peut-être ? Sais-tu qu'on s'extasiait devant la peinture naturaliste ? Et devant le théâtre bourgeois ! Le théâtre bourgeois, tu te rends compte, quelle horreur ! "