Alberto Sartoris, architecte ; le 25 mars 1987 à Cossonay
Résumé
Né à Turin, élevé à Genève et ayant vécu principalement dans le canton de Vaud, ce chantre de l'architecture rationaliste a parcouru le monde pour y donner leçons et conférences. Il a côtoyé tous les peintres, poètes et écrivains romands du moment et a formulé les lois de l'architecture moderne qui «n'aurait peut-être pas existé sans Le Corbusier, un des plus grands architectes de tous les temps».
Lu par :
Alberto Sartoris
Genre littéraire:
Biographie/témoignage
Mots-clés:
Architecture
/
Entretien
/
Biographie
Durée:
45min.
Édition:
Yverdon-les-Bains, Plans-fixes, 1987
Numéro du livre:
15591
Produit par:
Plans Fixes
Collection(s):
Plans-fixes
CDU:
720.92 A/Z
Documents similaires
Lu par : René Henny
Durée : 49min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19539
Résumé:Allergique aux carrières fermées, il se dégage des voies ordinaires de la médecine pour mieux aider les enfants en difficulté. A la tête de l'Office médico-pédagogique, il s'intègre dans un vaste mouvement de modernisation du traitement des problèmes de l'enfance. On voit naître ainsi, à l'échelle du canton de Vaud, une véritable politique de l'enfance en difficulté, avec des structures cohérentes, inspirées des grands psychiatres et psychanalystes français.
Lu par : Jacqueline Veuve
Durée : 49min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19532
Résumé:Le rêve de devenir réalisatrice, qui l'habite depuis son enfance, se concrétise suite à ses rencontres avec Jean Rouch au Musée de l'Homme à Paris où elle fait un stage de documentaliste. De retour en Suisse, elle réalise en 1966, en collaboration avec Yves Yersin, « Le panier à viande », son premier court métrage. Les contacts avec Richard Leacock, lors de son séjour aux Etats-Unis dans les années 70, sont déterminants pour la suite de sa carrière. Avec persévérance, l'une des premières femmes cinéastes suisses développera une oeuvre abondante de plus de 60 documentaires sur l'histoire, les modes de vie, les métiers, le savoir-faire, la vie quotidienne avec ses gestes, ses réalités et ses rêves. Une forte inquiétude devant l'oubli, corollaire des fulgurantes mutations de la société, transparaît dans cette démarche. Plus à l'aise dans les documentaires, comme elle l'avoue elle-même, sa créativité se révèle néanmoins dans deux longs métrages de fiction - « Parti sans laisser d'adresse » (1982) et « L'Evanouie » (1993).
Lu par : Rémy Theytaz
Durée : 48min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19535
Résumé:La vie d'antan était dure, mais variée et aventureuse pour les enfants du Val d'Anniviers. La population nomadisait au gré des saisons et des travaux. Et comme le lui disait un de ses proches: "Tu te souviens, Rémy, autrefois, le tiers monde, c'était nous !" Alors l'alpinisme, avant le tourisme, pour ceux que n'effrayaient pas l'imprévu, les dangers et la grandeur de la montagne, fut le moyen, pendant la courte saison d'été, de gagner un peu plus que ne le permettait la précaire économie des paysans de montagne. Durant de nombreuses années, à la tête de cordées formées de fidèles clients, Rémy Theytaz exercera ce métier de guide avec talent et autorité.
Edith Naef, professeur de rythmique : le 3 février 1996 à l'Institut Jaques Dalcroze, Genève
Naef, Edith
Lu par : Edith Naef
Durée : 46min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15808
Résumé:En 1908, elle rencontre Emile Jaques-Dalcroze dont elle trace un portrait tout en finesse, mettant en évidence sa gentillesse, sa simplicité, son respect des enfants. Ce maître l'introduit dans sa classe de rythmique. Depuis lors, elle n'a plus quitté l'Institut. Aujourd'hui encore, elle y donne une leçon de rythmique par semaine avec autorité et un enthousiasme tonique. Itinéraire rectiligne et sans faille que celui de Mademoiselle Naef, née en janvier 1898. Elle nous étonne, elle nous confond par sa jeunesse de coeur et son exemple.
Lu par : Léonard Gianadda
Durée : 48min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19510
Résumé:Deux voies en parallèle s'accomplissent dans le parcours de vie de Léonard Gianadda. La premièreest la construction, héritée de l'histoire familiale, la secondeprend naissance lors d'un voyage en Italie en 1950 avec sa mère et ses frères. Il visite Rome, Florence, Naples, c'est l'éblouissement par l'art. La Fondation Pierre Gianadda créée en 1978 sera la concrétisation de ces deux voies. Pour insuffler un essor constant à la Fondation, il faut un esprit d'entreprise. L. Gianadda tisse un réseau mondial avec les plus grands musées, entretient des contacts étroits avec les collectionneurs, ce qui va lui permettre d'organiser de prestigieuses expositions. Dans son plaisir à transmettre au plus grand nombre ce qu'il aime, la musique tient une place privilégiée: il invite les plus grands noms à donner des concerts dans les lieux mêmes de cette Fondation qui, condamnée au succès, accueille tous les jours, depuis trente ans, sept cents visiteurs.
Lu par : André Ramseyer
Durée : 46min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19518
Résumé:Etre sculpteur, c'est être patient, très patient même. L'oeuvre se conquiert de haute lutte, dans le temps. Réflexion, absence de précipitation dans le propos, équilibre de la parole, simplicité et rigueur marquent le discours d'André Ramseyer. Elève de Zadkine, de Moore et de Jean Arp, c'est grâce à ces maîtres que le jeune sculpteur trouvera sa propre voie. Se laisser guider par la matière, lui faire confiance dans sa capacité de conduire notre main, "être humble en face d'elle", telles sont quelques-unes des attitudes qui fondent la démarche de l'artiste dans la lente conquête des formes, des vides et des lignes.
Lu par : Bernard Reichel
Durée : 47min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15776
Résumé:Les souvenirs les plus anciens de Bernard Reichel se confondent avec la musique. Schubert, Beethoven et Mozart, plus tard Bach, marquent ses jeunes années. Au Locle, où sa famille se trouve dans les années quinze, il rencontre Charles Faller et, par lui, Emile Jaques-Dalcroze. Il voue sa vie entière à la double activité de compositeur et de pédagogue à l'Institut Jaques-Dalcroze et au Conservatoire de Genève. Son oeuvre étonne par sa richesse et la diversité des genres, musique vocale et instrumentale qui nous propose le réconfort d'une vision équilibrée de l'homme.
Lu par : Francine Simonin
Durée : 50min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 15778
Résumé:La peinture, pour Francine Simonin, jurassienne d'origine, vaudoise de naissance et canadienne d'adoption, est un corps-à-corps toujours recommencé. Un pari sur la décharge de l'instant, sur l'état d'urgence, ce moment privilégié où soudain, dans un précipité de pulsion et de pensée, le geste se cristallise sur le papier. Surgi des tréfonds, il est langage du corps et il en recrée inlassablement l'image, entre anatomie et archétype. L'artiste dit l'importance pour elle de faire la navette entre deux continents et deux cultures, l'Amérique l'encourageant dans la libre exploration picturale, la Suisse l'incitant plutôt à synthétiser son geste et sa pensée dans la gravure.
Lu par : Marie-Hélène Fehr Clément
Durée : 46min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19540
Résumé:Née à Lausanne en 1918, Marie-Hélène a baigné dès l'enfance dans une atmosphère d'artistes. Très tôt, elle sait qu'elle sera peintre. De caractère rebelle et indépendant, elle ne suivra aucune formation. C'est aux côtés de son père Charles Clément qu'elle peint ses premières toiles, remarquées par René Auberjonois qui l'encouragera. En 1944, elle épouse Otto Fehr, juriste à Zurich où elle s'établit durant 47 ans. De façon vivante, elle retrace des situations cocasses de ces années où elle était partagée entre son rôle de mère de famille et sa vocation d'artiste. De retour à Lausanne en 1991, elle poursuit sa carrière de peintre, s'attachant, d'un regard sans complaisance, à l'essentiel. Son impertinence et l'à-propos de ses interventions dans ce film sont source de jouvence.
Lu par : Jenny Humbert-Droz
Durée : 48min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19541
Résumé:Née en 1892, Jenny Humbert-Droz vit à La Chaux-de-Fonds. Une vie étroitement mêlée à l'Histoire et à celle de son mari, pasteur, objecteur de conscience, secrétaire de la IIIe Internationale. La vie à Moscou dans les années vingt, puis l'activité clandestine en Suisse. Les espoirs détruits, les espérances nouvelles. Les flux et les reflux de l'Histoire. Un témoignage très actuel sur l'infatigable engagement d'une femme qui, au-delà des antagonismes idéologiques, se passionne pour les grands problèmes de notre époque.
Lu par : Anne Perrier
Durée : 46min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19556
Résumé:D'une manière simple et intense, Anne Perrier retrace ses années de vie où la poésie l'a toujours habitée. Elle évoque les rencontres décisives : l'Abbé Journet, qui fut jusqu'à sa mort son premier lecteur ; le poète portugais Christovam Pavia, auquel elle dédiera son recueil Lettres perdues ; Jean Hutter, son mari, éditeur successivement à La Baconnière et à Payot Lausanne, grâce à qui elle entre en relation avec de nombreux écrivains. Enfin, elle parle avec chaleur de son amitié avec Doris Jakubec qui a oeuvré à la diffusion de sa poésie en Suisse et à l'étranger. La poésie illumine cet entretien, lors duquel Anne Perrier lit quelques-uns des poèmes de ses nombreux recueils.
Lu par : Etienne Delessert
Durée : 49min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 19552
Résumé:Les livres d'enfants ont fait connaître dans le monde entier ses animaux et ses splendeurs picturales. Ce film Plans-Fixes d'Etienne Delessert retrace sa conquête de la communication visuelle. Une émotion d'adolescent face aux affiches des rues de Lausanne suscite une éruption d'idée, de livres, de journaux. Projets, dessins et savoir-faire le portent à Paris et à New-York. Son apport au renouveau des arts visuels est vite reconnu. Sa collaboration avec des pionniers du graphisme, du théâtre ou de la psychologie, Lubalin, Ionesco ou Piaget autant qu'avec de jeunes créateurs proches, n'empêchent pas les milliers d'heures solitaires, crayon ou pinceau à la main, qui ont fait naître l'art de Delessert, visages et diables, plumages et paysages. Son message personnel nous saisit, incontournable, jailli d'une mise en page ou d'aquarelles intimes, d'un dessin de presse ou d'un conte fantastique.