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Les éclats

Résumé
Los Angeles, 1981. Bret, dix-sept ans, plongé dans l’écriture de Moins que zéro, entre en terminale au lycée privé de Buckley. Avec Thom, Susan et Debbie, sa petite amie, il expérimente les rites de passage à l’âge adulte : alcool, drogue, sexe et jeux de dupes. L’arrivée d’un nouvel élève fait voler leurs mensonges en éclats. Beau, charismatique, Robert Mallory a un secret. Et ce secret pourrait le lier au Trawler, un tueur en série qui sévit dans les parages. Terrorisé par toutes sortes d’obsessions, Bret se met à suivre Robert. Mais peut-il se fier à son imagination paranoïaque pour affronter un danger menaçant ses amis et lui-même, et peut-être la ville et le pays entier ? Après six romans culte, Bret Easton Ellis revient avec le roman de la maturité, un texte étincelant profondément marqué par l’émotion.
Durée: 23h. 35min.
Édition: Paris, Lizzie, 2023
Numéro du livre: 74785
Produit par: Commerce
ISBN: 9791036626968

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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Quatrième de couverture : Moins que zéro n'a rien d'un manifeste. C'est un roman de Los Angeles, ville dure, ville sans âme. " On peut disparaître ici sans même s'en apercevoir ", écrit Bret Easton Ellis. L'auteur (qui a seulement vingt ans) ne cherche d'ailleurs pas à nous dire autre chose que ce vide, ce sentiment d'une existence privée de sens. Pour autant, son récit ne tourne pas en rond. Il y a, au contraire, chez Bret Easton Ellis une extraordinaire puissance de la narration. Il nous ébranle ce petit jeune homme. Ses références, il ne faut pas aller les chercher en littérature mais plutôt du côté du rock, ce reflet clinquant de notre époque. A l'image de cette musique, Ellis est spontané, violent et son expression dépouillée. Le roman des années est né. Ouf ! il était temps.
Lu par : Meriem Pouessel
Durée : 17h. 53min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:" Je suis créatif, je suis jeune, [...] extrêmement motivé et extrêmement performant. Autrement dit, je suis foncièrement indispensable a la société ". Avec son sourire carnassier et ses costumes chics, Patrick Bateman correspond au profil type du jeune Yuppie des années Trump. Comme ses associés de la Chemical Bank, il est d'une ambition sans scrupules. Comme ses amis, de il rythme ses soirées-cocktails pauses cocaïne. À la seule différence que Patrick Bateman viole, torture et tue. La nuit, il dévoile sa double personnalité en agressant de simples passants, des clochards, voire un ami. Mais il ne ressent jamais rien. Juste une légère contrariété lorsque ses scénarios ne se déroulent pas exactement comme prévu...
Lu par : Noëlle Baticle
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Clay, l'anti-héros du premier best-seller de Ellis, Moins que zéro, revient à Los Angeles. Il a vingt ans de plus, il est un peu plus vieux, un peu plus seul et désoeuvré. Il retrouve ceux qu'il a connus dans sa jeunesse, Blair, Trent, Julian, Rip. les représentants d'une génération dorée et perdue, abandonnés à la vacuité, la solitude et la vanité qui les détruisent. Producteur associé à l'adaptation cinématographique de son dernier scénario, Clay participe au casting du film, joue de son pouvoir, séduit Rain, une jeune actrice sublime et sans talent, lui fait de fausses promesses. Il est prêt à tout pour la posséder. Mais qui manipule qui ? Clay découvre vite qu'il est constamment observé et suivi.Jalousie, trahisons, meurtres, manipulations. ici, dans la Cité des Anges, chacun se heurte aux mêmes jeux d'emprise et aux mêmes démons, s'enivre de sexe, d'images, de drogues, de fêtes irréelles. et se révèle toujours plus amer et désespéré. Le vide et la fureur aspirent les personnages, et leur font perdre tout sens des limites. On est saisi par la virtuosité du style sobre et acéré, les chapitres courts donnent à la narration un rythme percutant. L'atmosphère est oppressante, la noirceur non dépourvue d'humour. L'angoisse et la tension croissantes annoncent une lente descente aux enfers. Le portrait de notre époque est aussi violent que subversif.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 15h. 44min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Un roman complexe où l'auteur entremêle sa vie et celle des personnages qu'il a créés dans une fable sur la célébrité, ses avantages et le lourd tribut qu'elle réclame de ses trop consentantes victimes. Mélange habile de récit gothique, d'humour et d'autobiographie. Descriptions explicites de violence. (Canadian National Catalogue)
Lu par : Laurent Mantel
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Numéro du livre : 22514
Résumé:L'ennemi numéro un des partisans du "politiquement correct" a encore frappé. Après avoir révélé, dans "American Psycho", la face obscure des "yuppies", Bret Easton Ellis noue ensemble la dictature de l'apparence et la brutalité aveugle du terrorisme dans "Glamorama". De New York à Paris, le narrateur, Victor Ward, ne sait plus distinguer la réalité de sa mise en scène. Son oscillation entre le monde glacé du "star-système" et ses divers représentants, et le monde politique des intrigues et des complots l'entraîne dans une dérive (très) sanglante. Manipulé de toutes parts, Victor souffre. Son identité et sa santé mentale connaissent quelques dérèglements. Ses seuls repères restent les noms de marques et les personnages connus, et la prolifération de dialogues idiots ou absurdes, contaminés par les pubs télé, masque la profondeur de son malaise. Victime et coupable, Victor est à l'image de ce qu'il montre, ambigu et flou. Roman de l'excès, "Glamorama" parachève avec brio le travail de sape des illusions entrepris par Bret Easton Ellis.
Lu par : Suzanne Bettens
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Résumé:" Les trois meilleurs écrivains américains vivants sont Bret Easton Ellis, Bret Easton Ellis et Bret Easton Ellis. Tous les autres donnent sommeil (...). On lui reproche de ne parler que de sexe, de violence et de fric, mais c'est l'Amérique qu'il décrit - le pays qui mélange le mieux ces trois ingrédients. Dans Zombies, son quatrième livre, il enfonce le clou. On retrouve ses héros superficiels qui hésitent entre se tuer, regarder MTV ou reprendre un Valium (...). C'est un livre incroyable. Ellis fait précisément à la littérature ce que Basquiat a fait à la peinture : la réveiller."
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Résumé:Que raconte White, première expérience de " non-fiction " pour Bret Easton Ellis ? Tout et rien. " Tout dire sur rien et ne rien dire surtout " pourrait être la formule impossible, à la Warhol, susceptible de condenser ce livre, d'en exprimer les contradictions, d'en camoufler les intentions. White est aussi ironique que Moins que zéro, aussi glaçant qu'American Psycho, aussi menaçant que Glamorama, aussi labyrinthique que Lunar Park, aussi implacable que Suite(s) impériale(s). Loin des clichés toujours mieux partagés, plus masqué que jamais, Bret Easton Ellis poursuit son analyse décapante des Etats-Unis d'Amérique, d'une façon, comme il le dit lui-même, " ludique et provocatrice, réelle et fausse, facile à lire et difficile à déchiffrer, et, chose tout à fait importante, à ne pas prendre trop au sérieux ". Que raconte White en ayant l'air à la fois de toucher à tout et de ne rien dire ? Peut-être que le fil à suivre est celui du curieux destin d'American Psycho, roman d'horreur en 1991 métamorphosé en comédie musicale à Broadway vingt-cinq ans plus tard. Ellis a dit autrefois : " Patrick Bateman, c'est moi. " Il ne le dit plus. Et si Patrick Bateman était devenu président ? P. G.
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Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:M. Sammler est un juif polonais, un intellectuel qui a échappé au double racisme nazi et polonais. À plus de soixante-dix ans il s'installe à New York et se trouve maintenant confronté en Amérique à la contestation générale, au bouleversement de toutes les valeurs sur lesquelles se fondait pour lui la culture. À travers les réflexions de ce spectateur lucide et désenchanté, Saul Bellow fait preuve d'un humour caustique, incisif, qui met en relief, jusque dans les moments les plus tragiques, les aspects absurdes de l'existence.
Lu par : Hubert Charly
Durée : 13h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
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Résumé:Dans " L'hiver du doyen ", Saul Bellow juxtapose deux villes, et deux mondes, radicalement dans dans leurs structures politiques et sociales. Albert Corde, doyen d'une université de Chicago et sa femme Minna, astrophysicienne de réputation internationale, Roumaine assée à l'Ouest se trouvent bloqués en hiver à Bucarest où la mère de Minna a, médecin-psychiatre, ex-ministre de la santé, se meurt à l'hôpital. Les visites étant en principe interdites dans le service de réanimation, Corde et sa femme se heurtent à l'intransigeance du directeur de l'hôpital. Corde ne peut visiter la ville tout seul de peur d'être arrêté sous un prétexte fallacieux. Il ne lui reste qu'à tuer le temps, dans l'appartement glacial qu'occupait sa belle-mère, en ressassant les problèmes qui l'attendent à Chicago. Car avant de quitter l'Amérique, Corde s'est mis à dos la communauté universitaire et les média en accusant ceux-ci dans une série d'articles, d'ignorer les conditions de vie épouvantables des taudis et des prisons de Chicago, conditions qui condamnent pauvres et Noirs à disparaître. En outre, Corde est entraîné dans le proies de deux Noirs accusés d'avoir assassiné un de ses étudiants. En juxtaposant Bucarest, sinistre, oppressante et Chicago, violente et décadente, Bellow met en lumière les deux pôles entre lesquels oscille le monde moderne : la bureaucratie barbare d'un état policier et l'anarchie d'une " société de plaisir ", qui ne supporte pas de reconnaître les monstruosités qui la gangrènent. Mais comme toujours dans les romans de Bellow, les tribulations du héros, à la fois angoissantes et comiques, sont traitées avec cet humour qui souligne la relativité des choses.
Lu par : Suzanne Bettens
Durée : 11h. 33min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 18841
Résumé:Depuis l'arrivée du couple Daniels, la petite bourgade de Winsville, en Virginie, est en émoi. L'intense beauté de Vienna, sa déroutante culture, sa passion immodérée pour les arbres suscitent l'admiration des uns, l'effroi des autres, les commentaires de tous. Un jour, Willard s'en va et laisse Vienna élever seule leurs deux enfants, Willa et Elliott, deux sauvageons pétris de curiosité et de connaissances. Dès lors, les rumeurs enflent. Jalousies et désirs se multiplient, se cristallisent. Puis le destin commence à s'acharner sur les Daniels. Forte de sa foi païenne, de son appétit de vivre, de l'amour qu'elle porte à Willa et Elliot, Vienna entre alors éperdument en résistance.
Durée : 8h. 32min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 14758
Résumé:Présentation de l'éditeur : " Cet été-là, j'eus à m'occuper de quatre chiens, de trois chats, des enfants Moran, de Daisy, ma cousine âgée de huit ans, et de Flora, la toute petite fille d'un artiste du coin. Sans oublier, pendant quelque temps, une portée de trois lapins sauvages, abandonnés sous notre escalier de service... Mouillés et aveugles, ils se pelotonnaient en une espèce de boule grise. Ils étaient si petits qu'il était difficile de savoir si leur corps bougeait au rythme de leur coeur ou de leur respiration. Cela se passait à la fin du mois d'août. " Bien des années plus tard, Theresa évoque l'été de ses quinze ans, été durant lequel elle est devenue la baby-sitter attitrée de ce quartier cossu de Long Island. D'une rare beauté, " une jeune Elizabeth Taylor ", elle vit cette période un peu floue entre l'enfance et l'adolescence, où les travers des adultes apparaissent au grand jour, et où l'on découvre l'amour et la mort. Un roman d'apprentissage qui décrit, par petites touches subtiles, pleines de tact, ce difficile passage de l'adolescence.
Durée : 8h. 26min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17828
Résumé:En 1792, un jeune homme, prédicateur itinérant, est témoin d'une atrocité raciste. Il se dit fils d'esclave mais ne donne jamais son nom. Ce pourrait être n'importe qui. L'artiste. Le lecteur. ... Il entreprend de raconter toutes ses tribulations. Y compris ses crises d'épilepsie accompagnées de visions merveilleuses, et sa quête infinie d'une « femme en bleu » qui ne cesse d'apparaître et de disparaître dans les méandres de son récit. Est-elle l'insaisissable objet de son désir ? La case vide qui fait tout simplement que le monde reste en mouvement ?