Le petit seigneur
Quatrième de couverture
Dans certains quartiers de certaines villes, il est plus difficile d'être un enfant, il est plus difficile de grandir, il est plus facile de faire des erreurs. Dans certains quartiers de Naples, des enfants vivent la nuit, vendent de la drogue et ne vont jamais à l'école. Mais grâce à des hommes et à des femmes, qui devinent ce que ces enfants et ces ados pourront devenir, la nuit n'est pas faite que pour ça. La nuit est faite aussi pour montrer son courage, son sens du sacrifice, sa détermination. La nuit est aussi faite de métiers honnêtes et courageux.
Lu par:
Francine Chappuis
Mots-clés:
Drogue
/
Naples (italie)
/
Littérature italienne
/
Roman (jeunesse)
Durée:
2h. 9min.
Édition:
Montrouge, Bayard, 2021
N° de notice:
69872
Source:
Bibliothèque Sonore Romande
ISBN:
9791036304736
Documents similaires
Lu par:Francine Crettaz
Durée: 5h. 42min.
Genre: Nouvelle
Quatrième de couverture: Le néoréalisme italien traduisait les anachronismes et les paradoxes d'un pays en gestation, chloroformé par vingt années de dictature, et soudain réveillé par les horreurs de la guerre. Telle est l'optique dans laquelle se situe La mer ne baigne pas Naples. Paru en 1953, ce livre révélait la personnalité marquante d'un nouvel auteur. Or, encore aujourd'hui, ce document sur Naples, qui a valeur de témoignage littéraire, n'a rien perdu de sa force et de son originalité. Deux nouvelles et trois "reportages" composent le recueil. Le naturalisme des deux nouvelles se prolonge avec les descriptions goyesques de "L'or de Forcella" et de "La ville involontaire", ainsi qu'avec la visite du royaume des morts que constitue "Le silence de la raison". Dans ce dernier texte, l'évocation des intellectuels napolitains, dont l'autrice partagea la jeunesse et les enthousiasmes à la fin de la guerre, se mêle au déchirement des illusions perdues et à la lucidité implacable du jugement. Le regard d'Anna Maria Ortese envoûte, et à travers celui-ci c'est la ferveur d'une intelligence et l'authenticité d'une vision qui s'imposent.
Lu par:Francine Crettaz
Durée: 12h. 53min.
Genre: Voyage/exploration
Quatrième de couverture: 1835. Alexandre Dumas, cherchant l’inspiration pour un drame sur la Rome antique, arrive à Naples où, signalé pour ses esclandres révolutionnaires lors des journées de 1830, il doit séjourner clandestinement. Bien décidé, malgré l’adversité, à explorer à toute allure les multiples facettes de cette ville bouillonnante, Dumas veut tout voir et tout entendre. Avec son enthousiasme habituel, il parcourt Chiaia, quartier des étrangers et de l’aristocratie, Forcella, royaume des avocats et des plaideurs, Toledo, rue des promeneurs et des boutiques, mais aussi Pouzzoles, et bien sûr le Vésuve, Pompéi et Herculanum. Au fil de chaque rue, devant chaque monument, le grand écrivain populaire se fait le cicerone de son lecteur, qu’il entraîne dans son sillage à la découverte d’une ville dont il est passionnément épris. Dans un ébouriffant tourbillon d’anecdotes et d’érudition, où la drôlerie le dispute au tragique, ce flâneur nous fait profiter de sa curiosité insatiable : spectacles de rue, fêtes, processions, superstitions populaires instruisant sur l’art de se prémunir contre le mauvais œil, mœurs culinaires et religieuses… Mais aussi éclairages sur l’histoire : celle récente de l’occupation française et des amours de lord Nelson avec la belle lady Hamilton, celle, immortelle, de l’Antiquité romaine, dont témoignent d’époustouflants vestiges. « Voir Naples et mourir », dit le proverbe. Certes, mais avec Dumas pour guide.
Lu par:Francine Crettaz
Durée: 5h. 59min.
Genre: Essai/chronique/langage
Quatrième de couverture: «Ces nouvelles chroniques napolitaines recoupent des faits vrais et vérifiables, quelle que soit l'époque, la plus proche comme la plus lointaine. J'ai simplement mis en forme réaliste baroque l'actualité et l'Histoire que traversent crimes et amours. Actualité et Histoire offrant une source contemporaine unique de connaissance et d'émotion.» Jean-Noël Schifano. Depuis Chroniques napolitaines (1984) jusqu'à Encore un tour autour de la vie (2016), tous les livres de Jean-Noël Schifano portent la marque de son inépuisable et contagieuse passion napolitaine. Comme la plus humaine des passions.
Lu par:Sylvain Jaquenoud
Durée: 1h. 54min.
Genre: Roman historique/biographique
Quatrième de couverture: 1938. Naples. Le professeur Renato Caccioppoli (1904-1959) est un génie napolitain des mathématiques, universellement reconnu, et une figure célèbre dans sa ville. D'une beauté diabolique, ce petit-fils déjanté de Mikhail Bakounine se met en tête de pourrir la rencontre en fanfares et défilés des deux compères, Mussolini et Hitler, venus passer une journée, le 5 mai, dans la grande Cité capitale couverte de croix gammées et de faisceaux fascistes. En plein triomphe du nazisme, aux yeux de toute une population et de toute une Europe qui hurlent à la guerre et d'une Italie qui, la même année, vote les lois raciales, un homme se dresse, l'ironie à la bouche et au geste, et ridiculise le racisme, le conformisme, la soumission, la bêtise. Une histoire vraie, exemplaire, lumineuse, folle, ivre, drôle et tragique.
Lu par:Etienne Riobé
Durée: 5h. 55min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: " Lorsqu'on commande un café à Naples, on peut en régler un second qui sera offert à qui n'aura pas les moyens de s'en payer une tasse. Il est indiqué sur l'ardoise du bar comme un café sospeso : un café suspendu. Voici un récit composé de sept histoires que j'ai recueillies par bribes au café Nube pendant les quarante dernières années. Toutes sont liées par ce fil invisible qu'est le café suspendu. Du côté de celui qui offre comme de celui qui reçoit, la vie passe dans cette tasse... " Le narrateur, Jacques Madelin, un Français installé à Naples après une déception amoureuse, passe le plus clair de son temps installé au café, juste en bas de chez lui, à prendre des notes en observant les personnes qui se croisent, se cachent ou se cherchent, les rencontres amoureuses ou amicales qui se tissent. La peau d'un crocodile de légende transformée en un étrange sac, une femme trompée qui s'arrange avec la maîtresse de son mari pour garder ce dernier, une jeune femme qui doit se débarrasser du foulard légué par sa grand-mère pour retrouver le goût de vivre, un écrivain aux mille visages, un homme qui a peur de dormir, et même un médecin chinois qui veut soigner les gens en bonne santé... Tout en racontant des histoires imprégnées de psychanalyse, pleines d'humanité, de fantaisie, de souvenirs, de récits historiques ou légendaires, Jacques dessine au fil des pages un bouleversant autoportrait. C'est aussi un livre sur la charité, sur la manière dont la prodigalité se répercute sur nos destins. Le talent de conteuse d'Amanda Sthers fait merveille, alliant grâce poétique, peinture des sentiments et évocation d'une ville à l'atmosphère unique.
Lu par:Danielle Schwartz
Durée: 14h. 25min.
Genre: Roman historique/biographique
Quatrième de couverture: Par une belle journée d’avril 1943, dans les laboratoires Sandoz à Bâle, c’est un accident de manipulation qui permet au professeur Albert Hofman de se rendre compte de la puissance du diéthyllysergamide, cette molécule qu’il a réussi à synthétiser à partir de l’ergot. Intrigué par sa propre réaction suite à l’ingestion involontaire du produit, le chimiste fonde immédiatement de grands espoirs thérapeutiques sur sa découverte. Mais c’est seulement près de 20 ans plus tard et de l’autre côté de l’Atlantique, dans le département de psychologie de l’université de Harvard, que l’on s’intéressera vraiment au potentiel de ce qui est encore considéré comme un médicament et qui deviendra une drogue à la mode connue sous le nom de LSD. Fitz est justement étudiant de cette prestigieuse université en 1962 quand son directeur de thèse, Tim Leary, commence des expérimentations avec la fameuse molécule produite par les laboratoires Sandoz. Malgré sa situation financière précaire - sa femme Joanie a arrêté ses études quand elle est tombée enceinte et son salaire de bibliothécaire ne permet pas à la petite famille de vivre correctement - Fitz est irrésistiblement attiré par le petit cercle qui gravite autour de Tim Leary et de son collègue Dick Alpert et se réunit tous les samedis soirs lors de « séances » visant l’élargissement des consciences. Très vite, lui et son épouse sont happés par l’expérience hallucinatoire et psychédélique, et cherchant à la renouveler le plus souvent possible, une vie en dehors de la petite communauté de fidèles leur paraît bientôt impossible. Lorsque les autorités académiques de Harvard finissent par exclure Tim et Dick à cause de l’absence de rigueur scientifique de leurs travaux, mais aussi parce que la presse a commencé à s’émouvoir de leurs pratiques, ils n’hésitent pas longtemps avant de rompre les amarres. Avec une douzaine d’autres fidèles ils déménagent à Millbrook, dans le nord de l’État de New York, et s’installent dans une grande bâtisse qu’on prête à Tim afin qu’il puisse aller au bout de ses « recherches ». Mais si le sexe et les « trips » dominent le quotidien d’une communauté désormais incapable de vivre sans les prises régulières de LSD (appelé « le sacrement »), ils mettent aussi à rude épreuve le couple de Joanie et Fitz, ainsi que l’avenir de leur fils Corey… À travers ce saisissant portrait de groupe, T.C. Boyle fait revivre une époque, celle du début des années 60, quand Aldous Huxley, J.F. Kennedy, John Coltrane et les Beatles faisaient la une des journaux, ce moment de l’Histoire où toute une génération éprise de liberté avait imaginé que les psychotropes permettraient à l’humanité tout entière de vivre une autre vie.
Lu par:Sylvie Habary
Durée: 5h. 15min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: En 1967, l'héroïne est un élément prépondérant du paysage urbain de New York. Bobby, junkie du Sherman Square, rencontre Helen, une étudiante idéaliste, et l'entraîne dans son quotidien héroïnomane. La pénurie de drogue altère rapidement leur histoire d'amour.
Lu par:Annie Hutton
Durée: 15h. 4min.
Genre: Roman historique/biographique
Quatrième de couverture: 4 mai 1970. Dans quelques heures, quatre étudiants manifestant contre la guerre du Vietnam seront tués à Kent State University. De l'autre côté de l'Atlantique, en Angleterre, le psychiatre Zachary Bushner a des projets un peu particuliers pour l'hôpital qu'il dirige. À Concept House, les malades ne sont pas séparés des médecins, et l'on soigne parfois les psychoses à coups de drogue... C'est ainsi que, en ce jour historique, docteurs et patients s'embarquent dans un mauvais trip sous LSD. Le délire naît, prend forme, s'étend. Cinq ans plus tard, alors qu'il regarde Les Dents de la mer avec son fils, Bushner a une révélation : et si le mauvais trip du 4 mai 1970 était à l'image des horreurs du siècle ? Après tout, parmi les patients, se trouvent un observateur du bombardement d'Hiroshima et un rescapé du naufrage de l'USS Indianapolis, au cours duquel cent marins furent dévorés par des requins... Requin exploite toutes les ressources du roman moderniste pour explorer avec brio une autre histoire du vingtième siècle, pleine de bruit et de fureur.
Lu par:Jean Frey
Durée: 11h.
Genre: Histoire/géographie
Quatrième de couverture: La drogue est la continuation de la politique par d'autres moyens : telle est sans doute l'une des leçons les plus méconnues du IIIe Reich... Découverte au milieu des années 1930 et commercialisée sous le nom de pervitine, la méthamphétamine s'est bientôt imposée à toute la société allemande. Des étudiants aux ouvriers, des intellectuels aux dirigeants politiques et aux femmes au foyer, les petites pilules ont rapidement fait partie du quotidien, pour le plus grand bénéfice du régime : tout allait plus vite, on travaillait mieux, l'enthousiasme était de retour, un nouvel élan s'emparait de l'Allemagne. Quand la guerre a éclaté, trente-cinq millions de doses de pervitine ont été commandées pour la Wehrmacht : le Blitzkrieg fut littéralement une guerre du « speed ». Mais, si la drogue peut expliquer les premières victoires allemandes, elle a aussi accompagné les désastres militaires. La témérité de Rommel, l'aveuglement d'un Göring morphinomane et surtout l'entêtement de l'état-major sur le front de l'Est ont des causes moins idéologiques que chimiques. Se fondant sur des documents inédits, Norman Ohler explore cette intoxication aux conséquences mondiales. Il met notamment en lumière la relation de dépendance réciproque qui a lié le Dr Morell à son fameux « Patient A », Adolf Hitler, qu'il a artificiellement maintenu dans ses rêves de grandeur par des injections quotidiennes de stéroïdes, d'opiacés et de cocaïne. Mais, au-delà de cette histoire, c'est toute celle du IIIe Reich que Ohler invite à relire à la lumière de ses découvertes.
Comment j'ai infiltré les cartels de la drogue: [quand la réalité dépasse tous les "polars"]
Cattaneo, Fausto
Lu par:Jean-Frédéric Henchoz
Durée: 10h. 11min.
Genre: Société/économie/politique
Quatrième de couverture: Klaus Barbie et les cartels de la drogue colombiens, les mafias turques et la route des Balkans, le blanchiment de l'argent des trafics dans les banques helvétiques : le commissaire Fausto Cattaneo a été de toutes ces enquêtes. Aujourd'hui lâché par ses pairs et poursuivi par les tueurs sud-américains, il dresse un bilan d'impuissance. Véritable Fregoli des opérations d'infiltration, tantôt garagiste véreux, trafiquant de haut vol, avocat marron, financier sans scrupules ou banquier cynique, il raconte de l'intérieur cet univers hallucinant où se côtoient gangsters, policiers et informateurs sans que les frontières entre chaque catégorie apparaissent toujours clairement. Entre protections politiques et rivalités policières, amateurisme des uns et manque d'audace des autres, cette démystification du monde des trafiquants de drogue conduit aussi Fausto Cattaneo, l'un des agents de pénétration les plus décorés de sa génération, à porter de graves accusations sur les étranges pratiques de certains de ses collègues comme sur la frilosité de quelques prestigieux magistrats.
Lu par:Brigitte Cacheux
Durée: 7h. 31min.
Genre: Roman : au sens large et aventures
Quatrième de couverture: En 1920, Tito Arnaudi débarque à Paris. Pour gagner sa vie, ce jeune dandy décide d'inventer des faits divers sordides pour les vendre auprès de la presse à scandale. Parallèlement, il s'initie à deux poisons redoutables, la cocaïne et l'amour.
Lu par:AVH
Durée: 9h. 25min.
Genre: Biographie/témoignage
Quatrième de couverture: La veuve du narcotrafiquant colombien révèle les coulisses de la légende liée à son ex-mari. Elle raconte comment, en partageant sa vie vingt ans durant, elle a assisté au meilleur comme au pire, entre luxe et violence. Outre son témoignage, elle demande pardon aux victimes tombées dans le sillage de celui qui fut un temps l'homme le plus dangereux de Colombie.